Comment, malgré dix ans d’alertes et de sanctions, le docteur Assor continue à opérer

Enquête
par Eva Thiébaud & Jean-Marie Leforestier
le 4 Mar 2024
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Malgré les multiples procédures et signalements qui le visent, comme l'a révélé Marsactu la semaine dernière, le chirurgien orthopédiste Michel Assor continue d'opérer. L'attitude de l'ordre des médecins, de l'agence régionale de santé comme de ses confrères interroge.

La clinique Arthrosport, dans le 9e arrondissement de Marseille. (Photo : Éva Thiébaud)
La clinique Arthrosport, dans le 9e arrondissement de Marseille. (Photo : Éva Thiébaud)

La clinique Arthrosport, dans le 9e arrondissement de Marseille. (Photo : Éva Thiébaud)

“Au bout d’un moment, on ne sait plus comment faire pour l’arrêter”, commente un spécialiste local de la santé publique. Malgré les multiples signalements devant les chambres du conseil de l’ordre des médecins pour ses méthodes, qu’il prétend révolutionnaires, Michel Assor, médecin orthopédiste, n’a jamais écopé que de sanctions mineures. Depuis huit années également, une enquête pénale est en cours au tribunal judiciaire de Marseille.

Michel Assor dit avoir inventé une technique pour soigner l’arthrose du genou et, selon lui, repousser la pose d’une prothèse. Pour “décomprimer” le genou, le chirurgien “libère la rotule” en coupant ligaments et tendons, puis il promet la repousse du cartilage grâce à l’action de cellules souches. Pour éprouver cette technique, il a conduit un essai clinique entre 2010 et 2014, qui a attiré l’attention de l’agence régionale de santé (ARS). Car si certains patients encensent le travail de Michel Assor, d’autres ont expérimenté après l’opération des infections ou des complications importantes les laissant parfois handicapés, comme Marsactu l’a raconté dans un précédent article. Comment, malgré de nombreuses alertes, le chirurgien peut-il continuer à opérer?

De longue date, des professionnels de santé avaient repéré les pratiques du docteur Michel Assor. Et la fronde avait pris jusque dans les murs de la clinique Vert-Coteau où il opère. En mars 2014, trois médecins anesthésistes y refusent d’endormir les patients promis à une opération avec l’orthopédiste. Auprès de la chambre disciplinaire de l’ordre régional des médecins, ils déclarent “ne plus pouvoir assurer la sécurité des patients dans le respect des recommandations de la société française d’anesthésie réanimation”. Michel Assor estime de son côté que les anesthésistes en question ont manqué de loyauté en arrêtant soudainement de prendre en charge ses malades. Ils écoperont d’ailleurs d’un blâme et lui ne sera pas poursuivi.

“Du bricolage d’orthopédiste”

Un autre professionnel de santé témoigne auprès de Marsactu sous couvert d’anonymat : “Il est connu comme le loup blanc. Personnellement, je refuse de m’occuper de ses patients. Il y avait des séquelles, des infections, des problèmes d’hygiène, tous types de complications. Cela se savait dans le milieu. J’ai l’impression que si j’avais fait la moitié de ce qu’il a fait, je serais déjà radié”. Questionné, un médecin spécialiste du genou estime encore que la seule technique de Michel Assor constitue une alerte majeure. “Ce qu’il fait, ce n’est pas de la science, c’est du bricolage d’orthopédiste”, jauge-t-il. Et le même d’ajouter : “Bien réalisées, ces techniques ne devraient pas entraîner une partie des effets secondaires rapportées par les patients”.

J’ai vu divers spécialistes. Aucun ne souhaitait me réopérer. L’un d’eux a eu cette phrase :  « Avec Assor, personne s’en sort ».

Un ex-patient

Du côté des patients traumatisés, certains racontent la difficulté à trouver un nouveau médecin après l’opération pratiquée par Michel Assor. L’un d’entre eux, qui nous a contactés après la parution du premier article, rapporte une errance médicale après son passage dans les mains de l’orthopédiste marseillais : “Après mon opération et les problèmes que j’ai eus, j’ai vu divers spécialistes. Aucun ne souhaitait me réopérer. L’un d’eux a eu cette phrase :  « Avec Assor, personne s’en sort »”.

La confraternité en question

Malgré cette connaissance répandue des problèmes posés par les techniques de Michel Assor, personne ne monte vraiment au créneau pour protéger les patients. La faute notamment à un corporatisme inscrit dans la loi puisque le code de la santé publique demande aux médecins d’“entretenir entre eux des rapports de bonne confraternité” et de se donner “assistance dans l’adversité”. Un chirurgien renommé dont nous savions qu’il n’a pas souhaité  “passer après” le docteur Assor glisse : “Le conseil de l’ordre n’attend que le type d’interview que je pourrais vous donner, pour me condamner à un blâme ou me suspendre.”

C’est justement dans les bureaux de l’ordre départemental qu’atterrissent les signalements des personnes opérées pour y être analysés. Certains sont transmis à la chambre disciplinaire du conseil régional de l’ordre pour y être jugés, d’autres sont classés. Comment est effectué le choix des plaintes traitées ou non traitées ? Dans son rapport de 2019 sur l’ordre des médecins, la Cour des comptes regrette le manque de rigueur et d’impartialité dans le traitement partout en France. “Les signalements, dans leur grande majorité, ne sont pas considérés par l’ordre comme des plaintes et ne sont, en conséquence, pas déférés devant la justice ordinale, remarque-t-elle. Dans un certain nombre de cas, l’absence de poursuites disciplinaires pose question”. Sous couvert d’anonymat, un ancien membre du conseil de l’ordre des Bouches-du-Rhône complète : “En fonction de qui est incriminé, les plaintes passent au-dessus ou au-dessous de la pile”.

Les atermoiements de l’ordre des médecins

De fait, la position du conseil de l’ordre des Bouches-du-Rhône (CDOM 13) vis-à-vis des pratiques de Michel Assor n’est pas évidente à saisir. Le CDOM13 se trouve du côté des plaignants en 2016 devant la section des affaires sociales, puis en 2018, devant la chambre disciplinaire régionale, lorsqu’elle reproche au médecin la poursuite sans autorisation de son essai clinique usant de cellules souches dans la régénération du cartilage du genou. Outre la recherche sauvage, le traitement “d’une patiente mineure”, le “défaut d’information” ainsi que l’absence “de soins consciencieux” sont reprochés au médecin. Mais en appel, le CDOM 13 a disparu des décisions.

Le conseil se désiste dans une autre affaire : alors que Michel Assor est suspendu pour quelques mois à la suite de procédures liées à son essai clinique, il dispense tout de même des soins à un patient, en avril 2018. À nouveau, le conseil départemental des Bouches-du-Rhône part en première instance du côté des plaignants et en décembre 2018, la chambre disciplinaire Paca prononce une suspension d’un mois. Échaudé par la faiblesse de la sanction, le CDOM 13 fait appel et demande en avril 2019 à la chambre nationale de prononcer une sanction plus sévère. Puis quelques mois plus tard, le 12 juillet 2019, le conseil se désiste de façon incompréhensible.

Le conseil de l’ordre semble toutefois avoir depuis lors adopté une position moins conciliante. Il a ainsi groupé quatre dossiers de patients pour les traduire devant la section disciplinaire du conseil régional de l’ordre en 2023.  Il accompagne aussi une autre instance disciplinaire qui se tiendra le 21 mars devant la même juridiction. Selon nos informations, il s’agit d’un dossier repêché in extremis. Dans un premier temps, celui-ci avait été classé par l’ordre départemental. Pourtant, l’homme concerné, Jean-Baptiste F., rapporte une vie brisée, comme nous l’avons déjà détaillé dans un premier article :

“Avant, je faisais du sport trois fois par jour malgré une légère douleur ; là je ne peux plus courir ni marcher normalement, on a même un temps évoqué une amputation. C’est une catastrophe, cela a eu des conséquences sur toute ma vie. Je travaillais dans un métier d’action, maintenant je suis dans un bureau. J’ai été un an en arrêt de travail, j’ai fait une dépression, ma femme est partie en répétant « on ne vit plus qu’à travers tes genoux ».”

Que s’est-il passé à l’intérieur de la boîte noire du conseil départemental de l’ordre ? Celui-ci n’a pas répondu aux diverses sollicitations de Marsactu. Contacté personnellement, le secrétaire général du conseil départemental, qui fait également partie du conseil national de l’ordre, Bruno Mellet, n’a pas davantage souhaité s’exprimer. “Après avoir pris conseil, je ne peux que souligner l’obligation de secret professionnel qui s’impose à nous en toute circonstance. Je suis donc au désespoir de ne pouvoir accéder à votre sollicitation”, nous écrit-il. Michel Assor semble avoir eu plus de chance. Quand il nous reçoit en compagnie de son avocat Alexis Reyne début février, il indique avoir rencontré le secrétaire général en 2020 ou 2021.  “On a discuté pendant près de deux heures”, se souvient l’orthopédiste qui se félicite de “meilleures relations depuis deux ou trois ans” avec le conseil départemental de l’ordre.

Michel Assor dispose d’une relation privilégiée avec un autre membre de l’ordre départemental et régional : Guy Recorbet, dont l’orthopédiste souhaitait la présence lors de l’entretien avec notre journal. Selon Michel Assor, il faisait partie du “comité de suivi” de son essai clinique. On trouve aussi son nom sur un document de demande de poursuite de l’essai daté de 2015 que nous a fourni Michel Assor. “Il n’est pas venu [à l’entretien] car il craignait d’être juge et partie, nous indique l’orthopédiste. Mais il a demandé à ce qu’on le tienne au courant”. Contacté plus tard par téléphone par Marsactu, Guy Recorbet a refusé de répondre à nos questions.

procédure de radiation hors délai

Tout aussi obscur se révèle le positionnement de l’Agence régionale de santé (ARS). C’est pourtant cette agence qui est à l’origine de la plainte pénale déposée en 2015 ; c’est elle aussi qui est à la manœuvre dans les procédures impliquant le CDOM13. Dans celle relative à l’essai clinique, ses conclusions, particulièrement accablantes, seront reprises par la section disciplinaire régionale  – qui décidera d’une interdiction d’exercer la médecine de six mois.

Au vu des faits rapportés, la sanction paraît bien faible à l’ARS, qui demande en appel la radiation pure et simple de Michel Assor. Mais l’agence fait à ce moment-là une erreur incompréhensible : elle dépose son appel en retard. “Ces conclusions doivent, dès lors, être rejetées en raison de leur tardiveté”, constate la chambre disciplinaire nationale. Une erreur lourde de conséquences, puisque l’orthopédiste aura donc fait, seul, appel de la première décision. Dans ce cas, la chambre d’appel ne peut pas aggraver la sanction ; elle la ramènera à trois mois de suspension ferme. Sollicitée par Marsactu sur son erreur, l’ARS refuse de s’exprimer sur le cas Assor, en faisant état de l’existence d’une information judiciaire.

Je considère que la résistance du conseil national de l’ordre, avec ses décisions au final favorables, est une victoire.

Michel Assor

Les atermoiements du CDOM13 comme de l’ARS et leurs abandons en appel ont conduit les chambres nationales à systématiquement minorer les sanctions prises au niveau régional. Mais dans d’autres cas, la chambre d’appel a aussi diminué spontanément la sanction. Suite à la plainte de la caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) des Bouches du Rhône concernant également l’essai clinique de Michel Assor et reprochant notamment à l’orthopédiste des facturations excessives d’honoraires, la chambre régionale a prononcé en 2015 une interdiction de donner des soins pendant trois ans. En appel, la CPAM a demandé d’aggraver la sanction. Mais Michel Assor a, lui aussi, fait appel :  les trois ans ont finalement été ramenés à trois mois. “J’étais bien content”, commente l’orthopédiste. Dans un mail qu’il nous envoie pour compléter notre entretien, il écrit :  “Je considère que la résistance du conseil national de l’ordre, avec ses décisions au final favorables, est une victoire”.

Autre motif de satisfaction pour Michel Assor : “Bruno Thiré me soutient”, assure-t-il. Il s’agit du directeur de la clinique Vert-Coteau où il continue d’opérer. Ce dernier n’a pas répondu à notre demande d’entretien. Le président de la Commission médicale d’établissement, Jérôme Cau, explique quant à lui être lié par contrat avec Michel Assor et ne pouvoir se substituer à l’ordre : “Tant qu’il n’est pas suspendu, nous n’avons aucune raison de lui demander de partir”.


Suite à la publication de cet article, le docteur Michel Assor nous a fait parvenir un texte, le 15 mars 2024. Bien qu’il ne remplisse pas les conditions pour constituer un droit de réponse, nous avons accepté d’insérer le message ci-dessous. Marsactu maintient l’ensemble des éléments révélés dans le cadre de son enquête.

Suite à la publication, le 4 mars 2024 d’un article « Comment, malgré dix ans d’alertes et de sanctions, le docteur Assor continue à opérer » qui s’inscrit dans le prolongement d’un précédent article pour lequel le Dr ASSSOR a exercé son droit de réponse et entend déposer une procédure pénale pour diffamation, ce dernier se doit également de répondre aux allégations et insinuations diffamantes et calomnieuses que contient cet autre article.

D’abord, cet article apparait une seconde fois remettre en cause la pratique et la technique du Dr ASSOR qualifiée ici de « bricolage d’orthopédiste » qui seraient sources de nombreuses complications.

Or, comme cela est rappelé dans le droit de réponse sous l’article du 28 février, la technique du Dr ASSOR a été mise en point et perfectionnée depuis plus de 30 ans.

Elle a fait l’objet de très nombreuses publications, aussi bien en France que dans le monde.

Elle a été entérinée par plusieurs experts, dont un collège de 3 experts qui ont reconnu les bonnes pratique du Dr ASSOR et un taux de complications extrêmement faible de 0,86 %.

Elle fait aujourd’hui l’objet d’un large consensus et apparait d’ailleurs pratiqué par d’autres chirurgiens,  aussi bien en France qu’à l’étranger, comme en témoignent les nombreuses publications sur Pubmed.

Ensuite, les auteurs de l’article qui ont pu constater que le Dr ASSOR n’avait jamais été mis en examen, et qu’il avait reçu pour seule sanction, une sanction ordinale de quelques mois pour des motifs strictement administratif (et au demeurant contestables liés à la gestion de l’essai clinique consécutivement à la requalification du produit de concentration tissulaire PCT, accepté au début de son essai clinique en 2010, en un médicament de thérapie innovante MTI en octobre 2014), semblent vouloir se substituer au procureur et au juge pour affirmer de manière non équivoque que le Dr ASSOR mériterait des sanctions plus sévère, voire devrait être interdit définitivement d’exercer.

Pire encore, les auteurs de l’article semblent vouloir expliquer ces faibles sanctions, par des connivences qui pourrait exister entre le Dr ASSOR et les différentes parties prenantes, notamment le Conseil de l’Ordre des médecins, les établissements hospitaliers, voire même l’ARS.

De telles insinuations apparaissent particulièrement diffamantes et surtout parfaitement contraire à la réalité des faits et à l’acharnement procédurale dont le Dr ASSOR est victime depuis qu’il a « osé » être à l’initiative d’un essai clinique de thérapie cellulaire dans l’arthrose du genou qui s’est avéré être un succès !

C’est notamment cet acharnement de l’ARS et du Conseil de l’Ordre qui avait conduit à devoir « subir » une expertise de compétences par un collège de 3 experts demandée par le Conseil départemental de l’Ordre des Médecins des Bouches du Rhône, et qui, après plusieurs mois d’investigations, ont souligné les bonnes pratiques, compétences et connaissance du Dr ASSOR, outre le taux particulièrement faible de complication de 0,86 %, rejetant ainsi les accusations fantaisistes de complications lors de l’essai clinique par des personnes malintentionnées et non spécialisées de la CPAM et l’ARS.

C’est également cet acharnement qui, encore récemment en 2023, a conduit le Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins des Bouches du Rhône a maintenir son action contre le Dr ASSOR alors même que les plaignants s’étaient désistés, conduisant le Conseil Régional à condamner le Conseil départemental à 1.500 euros pour avoir maintenu une plainte sans fondement et sans élément probant.

C’est encore cet acharnement qui a conduit le Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins des Bouches du Rhône a accusé le Dr ASSOR de « charlatanisme » pour son traitement de l’arthrose du genou avec greffe de ménisque, grief qui a totalement et définitivement été écarté par le Conseil Régional.

Enfin, les centaines pour ne pas dire les milliers de patients qui ont manifesté et continuent à manifester leur satisfaction du Dr ASSOR et son parfait dévouement constituent sans doute la meilleure réponse et expliquent sans doute pourquoi le Dr ASSOR continue aujourd’hui d’exercer et à se défendre malgré les pressions dont il fait l’objet.

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Eva Thiébaud
Jean-Marie Leforestier
Journaliste | jm.leforestier@marsactu.fr

Commentaires

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  1. CAT13 CAT13

    Panier de crabes

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  2. barbapapa barbapapa

    Les con.frères grenouillent sur le dos et les genoux des pauvres patients non avertis

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  3. Tyresias Tyresias

    Oui, il doit falloir aller au pénal.

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    • jacques jacques

      le civil est préférable car le pénal tient le civil en l’état et le temps qu’il y ait un jugement le perdant a le temps d’organiser son insolvabilité. Au civil il peut être condamné en 1ere instance à verser une provision sans délai . Taper ou ça fait mal y’a que ça qu’ils comprennent.

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  4. julijo julijo

    oui, l’obligation du secret professionnel…il n’est pas suspendu…. prévention d’innocence….etc.
    bref, il y a plein de locutions sur ces thèmes, mais l’essentiel c’est : fermez là ! et circulez il n’y a rien à voir !

    par contre, on ne fréquente pas un chirurgien orthopédique ni par hasard, ni facilement, on doit y être envoyé par un médecin référent sécu, non ?
    médecins, qui n’ont pas le “droit” de s’exprimer sur assor, mais qui peuvent éventuellement vous envoyer ailleurs….

    et puis vert coteau comme beauregard fait bien partie des établissements sainte marguerite, établissements privés, qui font surtout du fric !

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    • jacques jacques

      et surtout au civil, car là on tape au portefeuille, et comme le penal tient le civil en suspens, on perd des années et ça permet d’organiser son insolvabilité.

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    • jacques jacques

      il est tout à fait possible-et j’en parle d’expérience- de consulter un spécialiste de n’importe quelle branche sans passer par un généraliste. Le médecin référent est une première garantie, mais si on a la chance d’avoir des relations fiables dans le milieu médical, on peut déjà faire un premier tri. Et internet a aussi son utilité.

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    • printemps ete 2020 printemps ete 2020

      Toujours pareil , c’est déprimant !
      Besoin d’air , c’est irrespirable !

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  5. Patafanari Patafanari

    Passion du bricolage + goût du lucre + sens de l’entregent = Bobos à gogo.

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  6. jacques jacques

    L’action de groupe ça aide si on est assez nombreux et qu’on trouve une association pour porter les plaintes.

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  7. Alain Sudesson-Plaingray Alain Sudesson-Plaingray

    On le voit très bien actuellement avec les condamnations absurdes, par l’ordre des médecins, de médecins qui ont tenté de lutter contre ceux qui étaient antivax et colportaient de fausses, voire dangereuses, informations : l’ordre des médecins est un panier de crabes rempli d’individus pourris jusqu’à la moelle.

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  8. chlochette chlochette

    L orthographe désastreuse vient du docteur ou de Marsactu?

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    • barbapapa barbapapa

      Les médecins en général ne sont pas très doués pour les lettres, bien plus forts en qcm

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    • AlabArque AlabArque

      Pas que l’orthographe, la syntaxe aussi est pitoyable, et cf la réponse du même zozo à l’article précédent [28 février] où il écrit carrément le contraire de ce qu’il voulait (sans doute) écrire.
      Même dans un QCM (ou ‘surtout dans un QCM’), il vaut mieux connaître le sens des mots et des tournures qu’on emploie. Un toubib illettré, soit, mais littéralement ignare, c’est dangereux !

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