L'hypothèse d'une arrivée d'une soixantaine de familles à roms à proximité d'une cité en cours de rénovation urbaine soulève la colère d'une partie des habitants.

L'objectif est de saisir un juge en urgence pour obtenir l'affectation d'une AESH dans les jours suivant la décision du tribunal administratif. 

Dans un arrêté qui entre en vigueur ce jour, le préfet des Bouches-du-Rhône a pris la décision de prolonger les mesures qui visent à limiter la propagation du Covid-19.

Le chantier, dont la ville de Marseille est le maître d'ouvrage, prévoit notamment de reconstruire les bâtiments accueillant actuellement l'école de voile et le pôle nautique.

Le groupe immobilier a mis sur la table une offre à 38 millions d'euros, dont un acompte de 12 millions payable dès cet automne.

Ils s'opposent à l'obligation vaccinale qui s'appliquera aux professionnels de santé dès le 15 septembre.

Le propriétaire estime que cette mesure a entraîné une baisse de la fréquentation de 30 % et espère obtenir la même décision que dans les Alpes-Maritimes.

Comme d'autres maires, cette opposante acharnée de la métropole s'émeut avant tout de la remise en cause des équilibres financiers anciens entre communes et intercommunalités.

Plus d'un milliers d'agents devraient être privés d'activité et de salaire à partir du 15 septembre.