Ville de Marseille, communauté urbaine, conseil départemental, conseil régional… Combinées, ces collectivités brassent près de 8 milliards d’euros de budget annuel. Au-delà des arbitrages sur les priorités politiques, les conditions d’attribution de cet argent public soulèvent parfois des questions. Certains cas, où la ligne pénale semble franchie, sont du ressort de la justice. Mais bien plus souvent, ils relèvent d’une zone grise où le clientélisme voisine avec les largesses vis-à-vis de groupes privés. Les sommes représentent quelques milliers d’euros pour un emploi d’avenir, plusieurs centaines de milliers pour un concert ou des millions pour une société de travaux publics. À défaut d’être judiciaires, ces débats soulevés par Marsactu sont éminemment politiques. Ce dossier regroupe des articles publiés entre 2010 et 2015.
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