Le média épistolaire La Disparition, basé à Marseille, ne veut pas disparaître

Soutien
Bref
le 27 Mar 2024
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Un exemplaire de La Disparition. Photo DR.
Un exemplaire de La Disparition. Photo DR.

Un exemplaire de La Disparition. Photo DR.

Le média épistolaire La Disparition lance une campagne d’abonnements pour éviter de disparaître. Ses deux fondateurs, Annabelle Perrin et François de Monès, expliquent avoir besoin de 300 abonnés supplémentaires avant le 15 avril pour pouvoir poursuivre leur projet. Et ce, “pour faire face à l’augmentation des prix du timbre et du papier, ainsi qu’à l’érosion du lectorat !”

Depuis deux ans, La Disparition envoie tous les quinze jours un récit journalistique épistolaire, que les lecteurs reçoivent directement dans la boîte aux lettres. Le média, conçu à Marseille, est 100 % indépendant, sans publicité, et imprimé en France. On peut y lire la disparition d’un village en Chine, au profit de la gentrification et du tourisme. Plus proche de chez nous, La Disparition a aussi chroniqué la destruction de la tour des Cyprès (13e), ou le passé mystérieux des îles du Frioul.

Commentaires

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  1. Patafanari Patafanari

    Délicieusement rétro. Mais destiné à disparaître une fois la mode passée. Comme les magasins d’alimentation en vrac, le retour du Polaroïd et, espérons le bientôt, le vélo.

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    • vékiya vékiya

      et comme certains de vos commentaires

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    • polipola polipola

      Merci vekiya je n’aurais pas dit mieux !

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    • leb leb

      Vous avez raison, rien ne vaut un samedi après midi embouteillé à Plan de Campagne.

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  2. Vand Vand

    Je ne connaissais pas, j’ai été voir, immédiatement abonné, merci pour le relais !

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