La réhabilitation de la piscine Nord au point mort

À la une
le 23 Oct 2014
17
La réhabilitation de la piscine Nord au point mort
La réhabilitation de la piscine Nord au point mort

La réhabilitation de la piscine Nord au point mort

En 2013, c'était un des symboles de l'effort gouvernemental pour Marseille. Certes, la réhabilitation de la piscine Nord n'a jamais figuré en toutes lettres dans le relevé de décisions du plan concocté par le gouvernement Ayrault pour Marseille. Mais la maire des 15e et 16e arrondissements Samia Ghali (PS) avait arraché des fonds auprès du premier ministre […]
10 ans d'indépendance
UNE FIERTÉ, UNE FÊTE
UN COMBAT

Commentaires

L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.

  1. Jean-Marc Jean-Marc

    Effectivement, des Piscines sans fonds deviennent vite des gouffres…

    Signaler
  2. Pétrone Pétrone

    Et i dit quoi le valeureux Miron, après avoir terrassé le fn ?

    Signaler
  3. Anonyme Anonyme

    Le système montre enfin les limites de la méthode Ghali il faut dire qu’on ne peut pas être à la fois sur les plateaux télé et s’occuper des dossiers

    Signaler
  4. anonyme anonyme

    pauvre ville

    Signaler
  5. Electeur du 8e Electeur du 8e

    L’inénarrable Miron, son fantastique plan (de fermeture des) piscines, et sa propagande sur les “nombreux bassins” dont bénéficieraient les quartiers nord !

    En chiffres, c’est plus clair : ” En 2008, la deuxième ville de France comptait vingt-deux bassins municipaux. Il en reste quatorze, dont deux fermés cet hiver pour « travaux de réfection ». (…) Dans les quartiers nord, qui regroupent cinq arrondissements, c’est l’hécatombe. Quatre sites ont fermé et ressemblent désormais à des squats. Il ne subsiste plus que quatre piscines pour 285 000 habitants. Une seule ouvre le samedi, aucune le dimanche.” (http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/12/17/marseille-brasses-coulees_4336040_3224.html)

    Et la piscine de Luminy, unique bassin de 50 m, est-elle une “priorité” pour M. Miron ? Elle a fermé fin 2008 pour “4 ans” de travaux… qui n’ont jamais commencé ! (http://installations-sportives-marseille.over-blog.com/article-dossier-piscines-86665213.html)

    Signaler
  6. Anonyme Anonyme

    Le conseil général va distribuer près de 300 millions d’euros pour le sénatoriales. Il a qu’à faire un petit effort pour la piscine des quartiers nord.

    Signaler
  7. Marseillais indigné Marseillais indigné

    Rassurez vous Gaudin, “le povre vieux ” , trouvera du fric pour continuer à paver le Vieux port et pour construire un téléphérique vers la Bonne mère :Ce sera comme le tramway ,qui roule à un train de sénateur,son joujou pour transporter les seniors locataires des HLM de croisière

    Signaler
  8. Anonyme Anonyme

    Anonyme, 3 novembre 2014 à 11:39 min Correction

    Pour le Sénat ‘est déjà fait Au tour maintenant des cantons La décentralisation c’est le retour à la féodalité ,le Duc des Bouches du Rhône récompense ses fidèles barons

    Signaler
  9. Anonyme Anonyme

    Marseille n’a pas changée. Une fracture sociale profonde. La ville est coupée en deux pôles Nord et Sud. Gaudin ne l’accepte pas alors que les faits sont là. Aujourd’hui le secteur Nord de Marseille manque fortement de cohérence du fait d’une urbanisation très rapide au gré des opportunités foncières et de la juxtaposition des cités les unes à côté des autres mais avec peu de communication entre elles. Cette partie de la ville a toujours voté massivement pour FN et cela pour deux raisons ; l’insécurité et le chômage. Les statistiques sont éloquentes. Marseille reste en tête des villes françaises pour la grande criminalité. Aujourd’hui, la précarisation massive des populations apparue dans le cadre d’une forte désindustrialisation qui touche la ville, conduit néanmoins à la ghettoïsation de certains quartiers du Nord. Le chômage massif y contribue, avec des taux de 30% à 40 % d’inactifs de 16 à 25 ans. Pourtant un emploi sur 7 est associatif. La fonction publique et associés, les hôpitaux et la fonction territoriale etc. représentent presque 70 % de l’emploi. Vous avez dit le clientelisme ? La ville a 950 voitures de fonction et 60 chauffeurs.
    La ville est globalement pauvre mais aussi très endettée 3.841 € par habitant et pour rembourser cette dette il faudrait presque 17 ans. Marseille est N° 1 sur ce sujet. Le matraquage fiscal à Marseille par la ville et aussi par le Conseil Général et la Région est devenu insupportable. A Marseille l’intégration intercommunale ne diminue pas les impôts municipaux. Le transfert de compétences aurait dû, logiquement, se traduire par une diminution des taxes versées à la commune. Mais non, Gaudin a remplacé trois quarts des fonctionnaires transférés à la communauté urbaine. Mais l’effet pervers de la multiplication des niveaux de collectivités se vérifie une fois de plus.
    Marseille de demain peut-elle être celle d’une qualité de vie en tous lieux, estompant les différences entre les cadres de vie? Ou au contraire, ne risque-t-elle pas de connaître des disparités grandissantes, avec une qualité environnementale pour les hauts revenus, de laquelle les plus démunis seront plus exclus encore et plus exposés aux risques? La proximité des lieux de résidence, de travail, de consommation, de services, voire de loisirs est-elle aujourd’hui possible? Quels sont les impacts de ces nouvelles préoccupations sur les actions des collectivités territoriales? Quels impacts sur le futur schéma directeur pour Marseille? Les évolutions législatives récentes, tant nationales qu’européennes, sont-elles adaptées pour répondre à cette dimension de l’aménagement du territoire? Comment s’articulent les différents niveaux institutionnels et territoriaux pour une qualité du cadre de vie à portée de tous? Quels sont les espaces d’action et de participation active des citoyens? Comment les différents acteurs peuvent-ils construire ensemble une ville durable sans en partager la même vision? Comment construire durablement quand la demande sociale appelle une réponse urgente? Quels financements pour ces investissements?
    Ces questions demandent des réponses rapides et concrètes. Les analyses et les constats sont faits. Il faut passer à l’action. Un jour l’action du Maire de Marseille appartiendra à l’histoire. J’aimerais que les mots clés décrivant son contribution soient :
    · · prospérité économique
    · · excellence de gestion
    · · baisse de fiscalité et d’endettement
    · · ville propre est sécurisée.
    On peut espérer.
    Extrait : J’ai plus envie non plus de me fader encore et toujours les exposés béats de mes concitoyens fortunés, tous persuadés que le milieu de la cité phocéenne se situe entre la rue Jean Mermoz et le boulevard Lord Duveen. Désolé les gars, le centre ville, à Marseille, c’est au milieu du cloaque, pas à Saint Giniez. Tous les naufrages économiques de l’histoire récente de ma ville tournent autour de cette erreur fondamentale d’appréciation de la haute bourgeoisie locale.
    J’ai plus envie de ce manque d’imagination institutionnalisé, plus envie de palabrer sans fin avec des parents dont la seule idée d’avenir pour leur progéniture se résume à: “Un boulot à la mairie ou au Département”.
    J’ai plus envie d’entendre les mots “Tranquille”, “On s’arrange”, “Hé, c’est bon, allez, ha…” prononcés paresseusement par des piliers de bistrots.
    J’ai plus envie de ce manque de rigueur élevé en principe de vie.
    J’ai plus envie de l’incivisme, plus envie de la médiocrité comme religion, plus envie du manque d’ambition comme profession de foi.
    J’ai plus envie des discours placebo autour de l’équipe locale de foot en lieu et place d’une vraie réflexion sur la culture populaire. J’ai plus envie non plus de me tordre à payer des impôts démesurés et de subir l’insalubrité à longueur de vie.
    J’ai plus envie de m’excuser d’être Marseillais devant chaque nouveau venu croisé, décontenancé par sa découverte de ma ville… Ma ville! Et pourtant, Marseille… Pourquoi j’ai plus droit à ma ville ? Merde !”
    Philippe Carrese
    Et voici la conclusion de M. Boulesteix pour lequel j’ai un grand respect et qui vient d’être mis en touche par ces « amis » :

    La politique locale à Marseille relève aujourd’hui de pratiques inacceptables pour moi. Je pense que cette ville va dans le mur. Elle manque d’investissements, on les fait fuir. Elle manque de responsables politiques d’envergure, c’est un handicap majeur. Elle manque de stratégies innovantes, on se complait dans les images d’Epinal et les attitudes théâtrales. La lutte contre les inégalités et la pauvreté n’est pas qu’un problème de maillage politique. Elle passe aussi par un changement profond des pratiques politiques qui devrait avoir été initié depuis longtemps. Cette ville est dominée par l’immobilisme social et économique. C’est l’une des plus inégalitaires et on y trouve les quartiers les plus pauvres de France, mais aussi les plus riches. La droite se réjouit de l’abstention qui fait trébucher la gauche, mais l’abstention est avant tout le signe que l’offre politique ne correspond pas à la situation d’abandon d’une grande partie de la population et des quartiers. Les effets de manche théâtraux des responsables politiques locaux sont pitoyables. Ils ne sont supportables que si, à côté, peuvent se développer d’autres pratiques politiques, ouvertes, participatives, responsables.: http://boulesteix.blog.lemonde.fr/2014/03/26/bonne-chance-marseille-malgre-tout/#sthash.DH6e1QIR.dpuf

    Signaler
  10. Anonyme Anonyme

    Rien que des bouches ! Ayrault fine bouche, Miron grande bouche, Jibrayel “la” bouche, Ghali jolie bouche et très pauvres quartiers Nord

    Signaler
  11. piqueboufigue piqueboufigue

    ah les promesses,le defilé des ministres,les conseils de ministre a la prefecture des bd rhone,toutes les semaines un ministre était la oui a Marseille,rue quartier,sisite,et pourquoi,mais c était pour faire gagner et livrer aux socialistes,et bien non les marseillais on decider autrement oui,et a present on paie pour ne pas avoir voter pour le celebre comique qui porter les couleurs des socialistres,lui a tout perdu.mais a present c est lui qu il faut voir et lui dire alors ou sont les sous, des milliards promis et la piscine nord alors,mais c est vrai il n aime pas la maire du 15/16 elle luis a tenu tete et elle a eu raison.

    Signaler
  12. piqueboufigue piqueboufigue

    le clow,j ai dis la verité,tes leçon tu les donne a tes semblable,pauvre clow,tes bien triste.

    Signaler
  13. piqueboufigue piqueboufigue

    moi je me pose une question,puisque ,monsieur le sénateur maire,brillament réelu est si nul d apres vous bien sur,pourquoi il n ont pas élu le camelot du PS,qui n a meme pas su conserver sa mairie de secteur,les marseillais ont choisi et bien choisi,mais la ça vous etrangle bien sur ,je vous comprends!!!

    Signaler
  14. Anonyme Anonyme

    Un mois de loyer du vélodrome c’est pas 5-600000€ ?
    Avec ça on peut rénover une piscine non ?
    Ah moins que je n’ai pas bien compris comment ça marche 😉

    Signaler
  15. Anonyme Anonyme

    …ne mélangeons pas tout…
    La SEULE raison du SCANDALE des travaux du Vélodrome c’était car il fallait ABSOLUMENT faire bosser le batiment, BOUYGUES en l’occurence; on comprendra aisément que pour un chantier comme cette piscine les enjeux ne sont pas TOUT A FAIT les mêmes…
    Non mais franchement, vous croyez que les bédouins du Quatar l’ont eu pour quoi, l’organisation de la coupe ?
    “Pour la première fois en 20 ans, je ne sais pas où sera ma prochaine affectation, tous les collègues sont au Quatar”, dixit un chef de chantier sur le stade vélodrome…
    FINIE, l’époque ou ça pouvait bétonner à mort en France, en fianançant les partis politiques : y’a plus d’sous…
    Certains seraient bien inspirés de lire la tribune d’Edgar MORIN parue ce jour dans “Le Monde”, pour comprendre sur quelle pente nous sommes.
    FINIES LES CONNERIES, maintenant on ne rigole plus.

    Signaler
  16. José 2014 José 2014

    Ces chicaneries politiciennes à la sauce marseillaise frelatée sont déplorables ! Elle le sont d’autant plus que c’est au détriment des habitant(e)s des quartiers Nord ! Et quand on se dit que Marseille est censée être une putative Capitale européenne du sport en 2017 (sic), cela fait sourire, rire ou pleurer, selon… Et si Richard Miron démissionnait de son vrai-faux mandat d’adjoint aux non-sports ?!

    Signaler
  17. Electeur du 8e Electeur du 8e

    Pour que ce forum ne devienne pas tout à fait silencieux, un lien vers un mémoire universitaire édifiant, que je viens de trouver bien qu’il date de 2011, sur l’état des lieux des gymnases marseillais, qui ne vaut pas mieux que celui des piscines : http://docnum.univ-lorraine.fr/public/SCDSCI_M_2011_GAUDIN_FABIEN.pdf

    Extraits :

    “Nous observons un net ralentissement de la construction de gymnases depuis le milieu des années 1980 avec seulement sept nouveaux gymnases depuis 1986. L’âge moyen des gymnases marseillais est de 33 ans alors que l’âge moyen des équipements sportifs français est d’environ 20 ans. Cette décrépitude rend les gymnases vulnérables aux intempéries (problèmes de fuites en cas de pluie) et obsolètes au regard de la demande.”

    “Marseille accumule du retard et notamment dans la construction d’équipements nouvelles générations. Seconde ville de France au rayonnement européen, Marseille doit se positionner pour accueillir des événements d’envergure nationale et internationale. Seul le Stade
    Vélodrome et le Cercle des Nageurs de Marseille permettent d’accueillir ces événements.”

    Mais tout va bien quand même, Marseille fait semblant d’être “capitale européenne du sport” : joli papier d’emballage plein de vide !

    Signaler

Vous avez un compte ?

Mot de passe oublié ?


Ajouter un compte Facebook ?


Nouveau sur Marsactu ?

S'inscrire