Une enquête pour travail dissimulé rapporte à la pénitentiaire deux grosses cylindrées
Pour la première fois, le parquet de Marseille a affecté à l'administration pénitentiaire des avoirs saisis lors d'une enquête toujours en cours. En l'occurrence, deux voitures chiffrées à plusieurs dizaines de milliers d'euros.
Les directions du parquet de Marseille, de l'Agrasc et de l'administration pénitentiaire. (Photo : CMB)
Commentaires
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Quelle procédure de bon aloi ! …
Bravo pour le détail, en effet on conçoit que les services en cause aient besoin de véhicules – à condition de s’assurer que les mis en cause n’en ont pas gardé les clés ? – ,
et que, d’autre part, les mêmes services n’aient pas besoin de yachts = mieux vaut les vendre, même si les enchères ne crèvent pas les plafonds, ça fait toujours un peu de trésorerie dans les caisses du service public.
Youpi !
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Étonnant, cette ré-utilisation de Ferraris ou autres joujoux par les services pénitenciers. Je vois pas bien l’intérêt : entre la consommation d’essence, l’assurance, le peu de place disponible dans ce genre de voitures, le coût de la maintenance, etc …
Si j’étais les services pénitenciers, je les vendrais.
Ou alors, il y en a chez eux qui ont des goûts de luxe. Attention, c’est ce qui dirige vers la case prison, parfois !
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