Le gabian a pris son envol

Le gabian a pris son envol

Ce mardi matin, nous avons présenté à la presse un premier bilan du retour enthousiasmant de Marsactu. En voici l’essentiel en quelques lignes. Les enquêtes ont repris de plus belle, sur le député Jean-Pierre Maggi, mis en examen, sur les dysfonctionnements à l’unité d’hébergement d’urgence de Marseille, ou encore sur la petite embauche familiale du maire du 13e et 14e arrondissements Stéphane Ravier. Ce retour aux claviers a permis de conforter le journalisme que nous défendons.

Avec ce rebond nous avons aussi poursuivi le travail sur les données, avec une analyse des biens mis en location sur la plateforme Airbnb à Marseille. Des informations exclusives aussi, comme celle l’investisseur fantôme de Marion Maréchal-Le Pen dans l’entre deux tours des régionales ou sur l’état des bibliothèques marseillaises.

Marsactu a aussi pris le large dans ses éditions week-end, une des nouveautés avec notamment un très beau reportage sur l’île du Planier ou une immersion à Gémenos, la “ville qui arrose ses habitants”. Il y a eu aussi cette tribune édifiante d’une enseignante des quartiers Nord sur l’état de son école, qui a trouvé un écho dans de nombreux médias. Marsactu a élargi sa palette et amélioré le suivi des dossiers en créant un fil “Bref” en accès libre, alimenté en direct du lundi au vendredi.

Plus de 800 abonnés

Cette reprise éditoriale a été accompagnée en décembre de la bascule sur abonnement. Marsactu totalise déjà plus de 800 abonnés à la fin janvier. Ce début dynamique nous conforte dans ce choix de modèle économique. Autre bonne nouvelle, nos abonnés nous font confiance dans la durée, en privilégiant les formules à l’année ou au trimestre. Le passage sur abonnement n’a pas altéré le trafic vers Marsactu. Comme par le passé, le site compte 60 000 visiteurs uniques par mois. Bien sûr, ils ne sont  pas (encore) tous abonnés.

Afin de permettre à notre média de se développer, d’innover, nous lançons l’ouverture de notre capital dès aujourd’hui. Ces nouveaux actionnaires – qui pourront être des lecteurs – n’auront bien évidemment pas d’influence sur la ligne et le travail éditorial de Marsactu. Nous vous en reparlerons bien entendu.