Malade, la gardienne d’une école polluée obtient réparation
Après un combat judiciaire qui aura duré plus de quatre ans, la gardienne de l'école Oasis-Aygalades (15e), dont les sols étaient pollués, vient d'obtenir gain de cause. Sa maladie, une dépression réactionnelle, a été reconnue comme la conséquence d'une faute de la Ville, son employeur.
Ecole élémentaire des Aygalades. Photo : Boris Barraud.
Commentaires
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Bravo à elle.
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Une action collective en dépression réactionnelle aux dysfonctionnements du ramassage des ordures, des transports en commun, de la gestion des bibliothèques et des écoles aurait des chances de prospérer…. Flute, il faudrait encore augmenter les impôts locaux pour dédommager nos préjudices !
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Bravo à cette femme qui s’est battu pour ces convictions et son préjudice physique et psychologique.
Honte à ceux qui osent parler d’impôts locaux car on parle d’un humain qui a aussi un cancer!!!
Je pense que la haute administration abuse bien plus de l’argent de nos impôts que le personnel municipal.
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