Marseille assourdissante : le bruit, enjeu de santé publique négligé
Avec l'arrivée de l'été les fenêtres s'ouvrent la nuit pour faire entrer un peu de fraîcheur. Mais avec elle, viennent toutes les nuisances sonores de la rue qui, au quotidien, dégradent la santé. Pour l'heure le sujet ne semble pas être la priorité des politiques publiques.
Le boulevard Sakakini au croisement du boulevard Jeanne d'Arc.
Suzanne Leenhardt
Commentaires
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Bernard Donadio : “Les moyennes réalisées masquent les pics de bruit”.
Oh combien vrai !
Car, si le bruit de fond est élevé en général, un sujet particulièrement critique ce sont les motos/scooters aux pots trafiqués. Ce qui semble être une spécialité marseillaise car, quand on se déplace dans d’autres villes, on en croise beaucoup moins souvent (voire pas du tout dans certains pays…).
Là nul besoin de mesures compliquées et coûteuses : il “suffit” d’un peu de volonté politique pour faire des contrôles.
Mais que peut-on espérer dans un pays où le gouvernement doit être condamné plusieurs fois par le Conseil d’État pour simplement mettre en place le contrôle technique des deux roues motorisés, obligatoire depuis plusieurs années ?
Et où l’adjoint chargé de la Police Municipale dit (réunion en début d’année) “nous avons deux sonomètres, bientôt quatre, mais pour l’instant la PM n’a pas verbalisé pour bruit excessif.”
Ce qui est intéressant c’est l’argument évoqué par certains motards : “c’est pour la sécurité, afin qu’on nous entende arriver”.
Mais on n’aurait nul besoin de les entendre arriver s’ils respectaient le code de la route !
On retourne vraiment au Moyen Age dans cette ville : “faites place, manants, j’arrive sur mon destrier.”
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Je suis tellement rassurée de lire que je ne suis pas seule à constater la mode du deux roues bruyant dans Marseille qui n’existe effectivement pas dans d’autres villes…
Ces gens sont des animaux, ils en entendent un faire du bruit et s’imposer, il faut qu’ils fassent pareil.
Il est nécessaire d’agir contre ces comportements stupides qui pourrissent la qualité de vie, mais cela prendra des décennies, vu l’absence de réaction des pouvoirs publics je n’ai aucun espoir.
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Il faudrait effectivement contrôler et amender les deux roues avec des échappements trafiqués, ce qui est fait dans bons nombres de villes.
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Je suis motard. Je me déplace exclusivement en deux roues et je suis moi même incrédule face aux échappements non autorisés qui pullulent sur les motos et scooters. Lorsque un engin sort de l’usine il est aux normes et à bas régime c’est supportable pour tout le monde. Comment peut-on laisser prospérer ces pièces rapportées et greffées sur une multitude de véhicules. C’est incompréhensible !? Une seule moto ou scooter peut déranger ou réveiller des milliers de personnes sur son trajet. Et n’allons pas croire que seuls les propriétaires des “quartiers” équipent leurs deux roues de ces immondes dispositifs. Du 7° au 16°arrondissement, des Honda XADV, aux Harley ou BMW 1200, tous participent à ce narcissisme de pacotille, à cette virilité d’enfant de 12 ans…
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Merci d’aborder ce sujet du bruit, des nuisances sonores à Marseille venues des automobiles, des motos, des scooters. Les zones piétonnes sont aussi touchées par les nuisances sonores : le bas de la Canebière et le Vieux Port en général : Tam tam, musique avec amplificateurs +++, causant un vrai problème d’usage. On laisse faire.. et tant pis pour ceux qui travaillent, ceux qui vivent proches de ces zones, ceux qui voudraient profiter d’une terrasse de café, d’un banc . Le bruit , la musique remplissent aujourd’hui l’espace et c’est devenu la norme. L’appréciation du bruit c’est subjectif dit on souvent.
Récemment, je faisais remarquer à un employé d’une épicerie paysanne du centre ville que la musique dans la boutique était trop forte.”benh oui Madame mais nous on travaille ici toute la journée..on en a besoin “.
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Oh combien vrai! On ne sait plus si on est dans une épicerie ou une boîte de nuit.
Effet pervers du bio: ça rend con.
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Quand j’ai contacté mpm pour ce problème de bruit, de vitesses excessives, mais aussi celui de la sécurité des piétons, le “directeur voiries” m’a répondu que le bd gaston crémieux 8ème étant une voie de liaison inter-quartiers (quel axe ne l’est pas ?) la vitesse “n’avait pas vocation à être réduite à 30km/h”. On le retrouve sur votre carte mais le tout bagnoles semble être une priorité à marseille.
merci pour cet article
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Bonjour,
Nous habitons rue St Pierre entre la Timone et la Conception. Le bruit vient bien souvent des véhicules motorisés (souvent les mêmes qui passent), bruits de moteurs ou de sono créés par des gens qui pensent être seuls au monde.
Quand ce n’est pas les concerts de klaxons inutiles (quand on est 200 mètres avant un carrefour bloqué on est pas entendu). En fait, le bruit c’est avant tout de l’incivilité. Des opérations de police devrait avoir lieu régulièrement sur toute la ville mais à quoi bon. Nos services de police en sous effectifs et mal équipés ne peuvent pas grand chose…et comme les autorités s”en battent le flanc….
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Bonjour. Et parler du bruit c’est aussi parler du bruit quotidien des activités économiques (livraisons, transpalettes dès 6h du matin, des bruits des garages de 7h30 à 21h30 alors que les activités doivent arrêter à 20h…). Et pour ça, les services ville (compétents), ou État sont inexistants. Pourtant beaucoup de villes ont installés chartes et setvices compétents qui sensibilisent et interviennent rapidement. Une enquête sur ces bruits du quotidien serait intéressante car dans ces cas là, sans appui des autorités, ce sont des années de galère, le pot de terre…. Merci par avance à Marsactu !
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Ce qui me réveille le matin ce sont les livraisons et les éboueurs.
Et les harley davidson avec pots trafiqués qui rentrent au petit matin.
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Ne se concentrer que’sur le bruit automobile me paraît assez illusoire…dans l hypercentre, par exemple, les nuisancessont de tous ordres : voisinage, locations type airbnb, motos, musique amplifiée, et cela la nuit particulièrement.
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Et pour mettre un peu de douceur et d’harmonie dans ce vacarme on a droit a des concerts au Parc Borely sur les Plages c’est à se demander pourquoi l’on a construit des salles de spectacles
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Je plussoie, les parcs et bords de mers ponctuellement investis par des évènements pourquoi pas, mais dès lors, il faudrait une réglementation sur le bruit, mettre une sono à fond la caisse en pleine journée dans ces espaces publics est une façon de s’approprier les lieux.
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Il faudrait aussi aborder le problème des engins de nettoyage de la voirie qui font un vacarme incroyable au petit matin.
D’autres villes ont fait le choix de s’équiper d’engins silencieux:
https://www.youtube.com/watch?v=P1fpNyNjk4w
A Marseille, ce n’est manifestement pas le cas…
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C’est effectivement un point qui me surprend toujours : pourquoi les engins de nettoyage marseillais sont-ils beaucoup plus bruyants que ceux d’autres villes ?
On a l’impression qu’ils cherchent à attirer l’attention : “regardez, je nettoie, quel exploit !”.
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En faisant des S au jet d’eau sur le trottoir pour réhumidifier les crottes de chien.
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La seule façon de régler une (grande) partie du problème – les voitures et motos avec pots trafiqués – est d’installer des radars anti bruits.
Les différentes polices font quelques contrôles pour faire genre on s’en occupe mais ça ne règle rien.
Des radars et des contrôles techniques, vous réduisez le bruit par deux !
C’est malheureux mais le français ne comprend que ça !
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Le contrôle technique n’a aucun effet il suffit de louer et d’installer un pot d’échappement conforme pour le jour du contrôle et le tour est joué
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Pour les radars encore plus simple il suffit d’ éviter les rues où ils sont installés
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Celui qui veut contourner la loi réussira toujours, la grande majorité ne démontera pas son pot d’échappement tous les deux ans.
Idem pour les rues à éviter, vous en mettez sur tous les grands axes, jarret, prado, L2…et vous verrez les résultats après quelques pv, ils changeront d’avis.
Personne ne croyait aux radars fixes, et ça a quand même fait lever le pied aux français
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Comme par hasard Marseille ne s’est pas portée volontaire pour expérimenter les “radars méduses” qui sont en test dans différentes sites (pour les métropoles Paris, Lyon (Bron), Nice et Toulouse).
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Le problème du bruit à Marseille n’est ni nouveau ni prioritaire dans les politiques publiques.
Cela touche absolument tous les quartiers et toutes les classes sociales : pots trafiqués, engins bruyants (T Max et autres), motos aux moteurs qui chauffent pendant 10 min, excès de vitesse de la part des particuliers mais aussi des services publics qui ne respectent rien pour finir plus tôt, démarrages en trombe comme si une urgence vitale était en cours, sonos, après-midi entre amis qui ne savent pas s’exprimer autrement qu’en riant et parlant fort.
Ce n’est pourtant pas compliqué de prendre conscience que nous ne sommes pas seuls au monde et que le calme, le respect des autres est important pour vivre en harmonie.
Ça ne veut pas dire vivre comme des moines mais simplement prendre conscience que nous ne sommes pas seuls au monde dans une grande ville et respecter autrui.
Cet individualisme exacerbé à Marseille me répugne, le quotidien devient insupportable et les statistiques le montrent : les trentenaires fuient pour élever leurs enfants dans des villes où la qualité de vie est meilleure.
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Tout le monde, je pense, se souviens du premier confinement en 2020. Ce n’était peut-être pas très agréable, mais au moins on s’entendait vivre : pas de scooters, pas de motos, pas d’abrutis amateurs de fortes accélérations et de hurlements de moteur, pas de restaurants ou de magasins se croyant autorisés à envahir toute une rue avec de la musique amplifiée, etc.
Oui, le bruit ça fatigue, surtout en été quand on ne peut pas faire autrement que de vivre fenêtres ouvertes, et encore plus le soir quand on cherche la fraîcheur et le repos.
Dire, comme Mme Ventron, que le bruit est une pollution “subjective”, c’est une façon élégante de dire que la puissance publique s’en fout : le bruit est parfaitement mesurable, et ses dégâts sur la santé parfaitement connus. Et elle en rajoute en évoquant la ZFE, dont les effets sont nuls et vont le rester pour des tas de raisons déjà évoquées (impossibilité de changer de voiture pour une part notable des habitants de son périmètre, je-m’en-foutisme des autres, absence totale de contrôles…) : franchement, l’argumentation est faible.
Comme pour la pollution de l’air, où il a fallu attendre des mises en demeure successives pour commencer à se dire qu’il faudrait peut-être faire quelque chose, on va probablement faire de la lutte contre le bruit une priorité quand on y pensera, un jour peut-être.
On pourrait commencer à rendre la vie moins facile aux conducteurs de deux-roues motorisés, ça règlerait une partie du problème : la prolifération de ces véhicules, depuis quelques années, pose de multiples problèmes (sécurité des piétons, pollution de l’air, bruit, encombrement des trottoirs) sans que personne ne lève le petit doigt.
Et à propos de la remarque faite par @Syol dans un autre commentaire, sur le raccourci “bruit = sécurité” que font certains propriétaires de deux-roues motorisés, un article intéressant à lire pour démystifier ce qui n’est qu’un prétexte : https://moto-securite.fr/motards-bruit/.
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@Electeur du 8e
Merci pour ce lien, lecture passionnante !
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Mon problème avec le bruit est un peu différent des vôtres peut être parce que je suis motard et que j’ai l’habitude d’entendre des contre vérites a ce sujet …là où j’habite en vente ville mon problème de bruit est constitué par l’utilisation abusive des sirènes par la police, les pompiers, la pénitencière, les ambulances. J’ai pu noté à plusieurs reprises une sirène toutes les 3 minutes entre 17h et 22h, sans parler de la nuit alors que les rues sont désertes les coups de sirène à chaque intersection de rue à 3h du matin. Sans parler que la police n’utilise pas sa sirène de nuit , moins bruyante et pourtant obligatoire, cette même police qui utilise la siréne pour allez se garer devant son commissariat. Il y a aussi la municipale qui dévale les rues vides toute sirène hurlante un dimanche très tôt….il y a plusieurs années, à Paris toutes ces sirènes des services publics ont été interdites après 22h. C’est donc possible même si on objecte la nécessité de service qui n’est qu’un prétexte..c’est plus facile de s’en prendre aux motos
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Quelqu’un parlait du silence lors du confinement en 2020. J’ai un autre témoignage : un jour de grève des poids lourds, avec blocage des accès routiers, je me suis retrouvé dans un ville sans voiture (Toulouse en l’occurrence). Magique ! Expérience inoubliable. On entendait même les pas des gens dans la rue (et on marchait partout, en toute sécurité, pas que sur les trottoirs). Les gens étaient décontractés, près à l’échange, avenants …
Je crois qu’une bonne partie de la solution se trouve dans l’éducation (comme toujours). Des cours de silence à l’école …
Après, les infrastructures, l’aménagement de la Ville, ça compte aussi bien sûr. Tiens, voilà un autre avantage de la mobilité électrique. Outre qu’elle pollue pas dans la ville (elle pollue ailleurs, mais il y a moins de monde …), elle ne pollue pas (trop) sonorement.
Très beau sujet, mérite qu’on y retourne !
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Pour avoir une école en dessous de chez moi je peux vous certifier que les cours de silence ne sont pas à l’ordre du jour bien au contraire les pseudo activités périscolaires se résument le plus souvent à des matchs de foot qui se jouent dans la plus pure tradition du Vélodrome mais en plus des spectateurs les joueurs poussent des hurlements qui arrivent à couvrir les bruits des motos
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Le bruit routier, qu’il provienne de la circulation automobile incessante, des pots trafiqués ou des sirènes de police abusives est un énorme problème.
Mais il n’est pas le seul.
Je plains vraiment les résidents des groupes HLM infestés de trafiquants de drogue qui subissent toute la journée sous leurs fenêtres les hurlements d’animaux des chouf et qui sont réveillés à une heure du mat’ par des feux d’artifice fêtant une journée de deal fructueuse. Qui s’en préoccupe? Cela durera et s’amplifiera tout autant qu’on tolérera ce “commerce”.
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“Le but c’est d’avoir moins de voitures et que l’habitant prenne naturellement un transport en commun” dit cette dame de… ha, maire de Cabriès, pardon… Ca doit expliquer le “naturellement”, par exemple légèrement moins évident pour les habitants de la Belle de Mai qui se retrouvent en ZFE.
https://marsactu.fr/entree-en-vigueur-de-la-zone-a-faible-emission-la-belle-de-mai-entre-deni-et-inquietude/
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Et la pollution sonore insupportable des salles de mariages comme le Florida Palace dont les soirées se tiennent non seulement les week end qui commencent le vendredi mais aussi en semaine et ce jusqu’à 3-4 h du matin et souvent plus tard. Le bruit des basses ou plutôt les tremblements traversent l’autoroute et pourrissent les nuits des ruelles en face.
Ajoutez y l’autoroute et les travaux de son élargissement depuis des mois, les bouchons du matin et du soir, les hélicoptères de la Timone et de la gendarmerie surtout tard la nuit en été, les va et vient des camionettes des PME installées au milieu des petites maisons avec claquement des portes et bavardages des chauffeurs à haute voix tôt le matin, les fous du volant ddu chemein de lArmée d’Afrique (oui je sais on a le silence absolu du cimetière St Pierre de ce côté). C’est notre petit enfer quotidien que nous payons 3000 €/an.
Les élus dont notre adjoint à la “Tranquillité publique” répondent par mail par le numéro de la police municipale.
La police ? quand ils “n’ont pas d’équipage” ou de véhicule disponibe, ils vous répondent que “Marseille est une grande ville où il se passe des choses bien plus graves” ou “peut ête que le Florida a une dérogation jusqu’à 5 h du mat” ou “voyez avec votre CIQ” quand vous ne vous trouvez pas “transféré” sur la plateforme de Brignoles” où on vous demande de quoi vous parlez.
Alors ?
Pour le moment remercier Marsactu de soulever ce lièvre en attendant de gagner au loto et de foutre le camp.
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A quand la limite a 70km/h de l’A 50 dès son départ, comme tous les autoroutes en zone urbaine, notamment l’A7 !!
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A quand l’interdiction des joueurs de TAM TAM après 10h sur le quai de la Fraternité,sous l’ombrière.
Merci Marsactu de venir en aide aux riverains qui ne peuvent pas ouvrir leurs fenêtres.
La police municipale ne peut rien faire (c’est elle qui le dit)
L’adjoint chargé de la tranquillité publique fait la sourde oreille aux rythmes des tam-tam
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De mon temps (celui des M, Bleues et Chaudrons), un simple pot plat et hop verbalisé par les CRS au coin des rues. Mais aujourd’hui, il n’y a plus de CRS au coin des rues pour contrôler ces assourdissantes personnes.
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