Air to go, une nouvelle application citoyenne qui évalue la qualité de l’air
L’observatoire indépendant Atmosud, présentait ce mercredi Air to Go, une application qui fournit en temps réel, mais aussi à l’avance, des données sur la qualité de l’air. Pour la région PACA, quatre polluants, tels que les particules fines, sont ainsi recensés et cartographiés de façon ultra-précise.
Créé en collaboration avec l’agence régionale de santé et Atmo Auvergne-Rhône-Alpes, l’outil vise à sensibiliser les citoyens et particulièrement les personnes vulnérables que sont les jeunes enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées ainsi que les personnes souffrant de problèmes respiratoires.“On ne respire pas aujourd’hui un air qui est sain et qui respecte notre santé”, souligne Damien Piga, directeur innovation chez Atmosud. Les données peuvent aussi informer les automobilistes et les encourager à ajuster leurs déplacements : en regardant la carte, les zones les plus polluées restent évidemment les axes routiers en heure de pointe.
L’application s’adresse également aux sportifs grâce à une carte intelligente qui permet de calculer la qualité de l’air sur un trajet selon le mode de transport, à pied ou à vélo, et l’horaire de sortie. Pour les cyclistes comme pour les joggeurs, “ça peut devenir un outil de confort”, précise Damien Piga. Petit à petit, le directeur “espère que l’appli soit utilisée” jusqu’à devenir “un réflexe dans le quotidien des citoyens”. Dans un premier temps, Atmosud attend les premiers retours d’expériences des utilisateurs en vue de pouvoir, par la suite, faire évoluer l’application.
Commentaires
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A ne pas confondre : Air Togo desservait Lomé, Cotonou et Paris.
La compagnie a cessé son activité depuis juin 2005. Pourquoi ne pas utiliser le français pour nommer cette application ? Un truc un peu poétique. Beau de l’air
par exemple.
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Avant, il y avait “SignalAir”. Pas si mal trouvé je pense.
ATMOSUD aurait pu lancer un appel à propositions, avec prix pour le gagnant, genre une station de mesure de qualité de l’air à installer en mode “do it yourself”, heu pardon, en bricolage autonome.
Mes propositions : “LeBonPif”, “RESPIR”, “ATCHUM” …
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Plus tu es inculte, plus tu utilises du mauvais anglais – les coiffeurs Hair Style, les ongleries Nail Bar, les mauvais restaurants Mac food ou Golden food, les esthéticiennes un peu cagoles Beauty success, désolant !
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Patafanari, j’allais écrire comme vous.
On pourrait penser que c’est une compagnie aérienne à bas prix.
Pourquoi utiliser l’anglais pour une application destinée au public français?
Une manière d’afficher que le monde anglo-saxonne serait plus moderne et innovant que les autres? Une façon de révérer la langue de “l’Empire”?
Cette fascination pour l’anglais et surtout pour les EU à quelque chose de pervers car il est pervers de prendre plaisir à se dévaloriser et se soumettre.
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En effet Barbapap, a la différence que dans ce cas il ne s’agit pas d’un petit salon de coiffure mais de scientifiques et d’institutionnels que nous finançons.
Cela me rappelle le “contact tracing” de la Sécu et autres “click and collect” des annonces pendant le Covid. J’en conclue que notre administration aussi est elle inculte ou bien qu’elle est soumise à une certaine idéologie.
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Yes, Me Too, je like pas trop cette newspeach modernisante ! Et je crains effectivement qu’elle se répande même dans les strate “Managériales” de l’administration française. Dans une réunion, ça en envoie des bien tassées, dans le style “Dead Line”, “Schedule”, “BackLog”, etc.
à gerber devant tant de conformisme bêlant. Les précieuses ridicules sont de retour ! (ont elles d’ailleurs un jour disparu ? …).
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J’ai voulu télécharger l’application. Ne fonctionne qu’en région Rhône-Alpes et Bourgogne Franche-Comté.
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J’ai téléchargé sans difficulté et chez moi, cela fonctionne tout à fait à Marseille ! Bizarre…
L’icône est bien un nuage blanc avec une petite flèche à droite dans un cercle, sur fond bleu foncé, chez vous aussi ?
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Moi aussi, ça marche. Indice 3,5 vers La Joliette à 9h par exemple. Plutôt bien, l’ergonomie et la clarté de l’appli, je trouve.
@Sylotte : attention, quand on cherche Air To Go sur le “PlayStore”, une appli vient avant le vrai Air To Go.
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ça fonctionne bien sur apple aussi
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Avant de clean my calanques je consulte air to go, sinon je étouffe myself .
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Quelques remarques sur les grotesques d’aujourd’hui :
1- si vous voulez avoir une subvention, inventez (ou copiez) un bidule que vous présenterez avec les mots-clés “environnement+appli+réseau+convivial”, assaisonner d’un peu de greenwashing (tiens, un globbishisme que les subventionneurs n’aiment pas) ;
2- trois commerces qui viennent d’ouvrir en l’espace de 300 mètres rue de Lodi :
a- un endroit où tu peux prendre un café en branchant ton ordinateur ou en rechargeant ton téléphone (comme beaucoup d’endroits qui s’appellent “café”)… ADALAB COWORKING ;
b- une boutique de fleuriste-libraire-café… MO : STERA COFFEE, PLANTS, BOOKS ;
c- une boutique de fringues d’occase, là accrochez-vous… DIGGER CLUB + thanks, it’s vintage ! + Curated Vintage & SECOND HAND boutique from the 70’s, 80’s, 90’s, Y2k + FOLLOW us (adresse insta) + ONLINE SHOP (adresse internet). Nota bene : un signe sûr qu’on ne connaît pas l’anglais est la manie de mettre des apostrophes n’importe où, spécialité des enseignes de coiffure ou des échoppes de malbouffe. En anglais les années 70, ça se dit seventies et l’abréviation est 70s.
Le mieux est que ces braves gens se croient défenseurs des minorités culturelles et tout et tout. Mais la servitude linguistique volontaire ne les gêne pas du tout. Pour mettre les points sur les i : je savoure l’anglais, Shakespeare, RL Stevenson, Dashiell Hammett, Ken Loach, Billie Holiday, Patti Smith, Gil Scott-Heron et Public Enemy et j’en passe. Le contraire de l’anticulture de Musk, Trump et leurs sous-produits “verts”.
Et si Marsactu nous faisait un petit reportage d’été sur les façades globbishées ? On pourrait envoyer les adresses et les photos à la rédaction, ce serait bien d’aller interroger les commerçant.e.s sur leurs motivations.
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Au delà de ces “applis” de peu de poids et, finalement, sans légitimité, on aimerait bien avoir des capteurs de particules fines et C.O.V. (composés organiques volatiles) homologués (et donc assez fiables, on peut l’espérer) placés le long du littoral de Marseille.
Mais pour l’instant, mis à part l’initiative – à leur frais – de quelques habitants du 15-16 qui ont installés des capteurs PurpleAir (voir https://map.purpleair.com/1/mPM25/a10/p604800/cC0#13.06/43.34725/5.33652 pour les mesures en direct et les historiques) aucunes mesures n’est faites officiellement, mesures qui permettraient aux citoyens d’avoir les preuves qu’on les empoisonnent et d’agir en conséquence.
La vraie démocratie c’est avant tout l’information libre et l’éducation des citoyens (et inversement).
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Yesss!
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Tiens tiens, intéressant. Cela signifie-t-il qu’ ATMOSUD exploite des données incomplètes, non certifiées ou partielles ?
ça serait grave …
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