Contrairement à son faux jumeau Fos Tonkin, pour lequel le débat public avait eu lieu dans la même période, le projet Fos Faster avait recueilli fin 2010, comme le montre le bilan réalisé par la commission chargée d’organiser la concertation, une franche opposition de nombre d’acteurs, dont le maire de Fos-sur-mer René Raimondi (PS). Le premier, avec 400 millions d’euros d’investissements, consistait à prolonger la durée de vie du terminal méthanier, qui affiche déjà 40 ans au compteur. Pour le second, l’alliance de la major pétrolière Shell et Volpak (spécialiste de ce type de projets) comptait miser 800 millions d’euros sur un nouveau terminal, bâti sur une île artificielle. « Sur le projet de GDF Suez, à Tonkin, c’est la pérennisation ...
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