Sirènes et midi net : la sirène du premier mercredi du mois comme support aux arts de la rue

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le 4 Nov 2010
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Comme tous les premiers mercredi de chaque mois, les sirènes civiles se font entendre dans toute la ville. Alors pourquoi ne pas jouer avec elles ? C’est l’idée qu’a eu Lieux publics – Centre national de création. Et depuis sept ans, à midi pile chaque premier mercredi du mois, une compagnie propose une pièce de théâtre sur le parvis de l’Opéra. Au rythme de ce signal sonore, elle propose au public quelques minutes d’évasion.
Aujourd’hui, ce sont les « Cuniténistes » qui se sont prêtés au jeu et au sons de ces sirènes avec une pièce : « Le silence est une rivière qui coule dans tous les sens ». Nous avons rencontré Alain Fraud, le réalisateur de cette représentation philosophique. Bon on  a pas tout compris, mais c’était très sympa…

Un lien En savoir plus sur le site de Lieux publics, l’organisateur de ces créations dans le rue

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Commentaires

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  1. benvoyons benvoyons

    C’est ça, continuez à cautionner (en en parlant) ce misérabilisme pseudo artistique qui caractérise si bien la “scène” culturelle marseillaise. A l’image des syndicats locaux, on à affaire à des demeurés (en apparence seulement, car lorsqu’il s’agit de chasser les subventions, ils sont incroyablement forts pour compter ! ). Les “arts” de la rue, ben voyons, avant c’était dédé les clodo du coin qui faisait rire en chantouillant, en dansant, en mimant, en parodiant pour une piècette, aujourd’hui ce sont des tarés, soit disant artistes, qui VENDENT (moyennant moultes subventions) du n’importe quoi, emballé dans un discours ” j’me la pète”. Les “arts de la rues” aucune ville en France n’en veut, pour Paris c’est du n’importe quoi, pour Lyon, on en rigole encore, mais…pour Marseille (vu le niveau intellectuel de ses dirigeants politiques) il y a le mot “art” dedans alors on prend, ça remplira toujours le cahier des charges ! Si bien que Marseille est devenue la destination de tous les tarés en quette de subventions, tous les “artistes” ratés, tous ceux qui sont rejetés ailleurs, ben ils finissent ici, bien au chaud à proposer de la sous-culture, empochant les chèques et rêvant de “remonter” à Paris avec de VRAIS projets. Surtout ne regardons pas ce qui se passe ailleurs, contentons nous de cette soupe tièdasse et faisant semblant que… Nos valeureux élus, qui passent ( pour certains) la moitié de la semaine à Paris, eux savent et surtout voient ce qui se fait en matière de politique culturelle, d’expo de qualité, d’événements artistiques…mais pour ce gros cochon de “peuple” marseillais, les délires misérabilistes d’une bande de crétins, c’est largement suffisant. Car les politiques ont compris depuis Defferre (droite comme gauche) qu’en affinant le goût des marseillais pour les belles choses, et en ouvrant leurs esprits à l’art (le vrai pas le misérabiliste qu’on a ici), il y avait danger. Danger à ce qu’ils voient, enfin, l’état poisseux de la classe politique locale qui les dirige. Alors, on subventionne à tour de bras, des ” projets ” dignent de la psychiatrie ! On finance même ” une cité des arts de la rue “, trop cool pépé Gaudin, aprés la comédie musicale chalala poï poï “les enfants du soleil” d’Arcady et Barbelivien qui a couté un bras et quelques reins aux contribuables marseillais avec le succés que l’on connait, c’est aujourd’hui une “cité des arts de la rue”, certaines mauvaises langues diraient qu’il y a déjà le métro pour ça ! Qu’importe, on balance le fric. Si encore les marseillais avaient en retour des “spectacles” dignes de ce nom, même pas, une fois par mois des barjots envahissent l’esplanade d’un opéra agonisant, pour se foutre de la gueule des gens, le tout pendant une minute chaque mois ( et certains critiquent les 35 h ! ). Aller vaut mieux zapper. Certaines belles âmes, aprés lecture de ce commentaire énervé, me traiteront de bauf (ben voyons) et sortiront de belles phrases sur l’art et ses “différents lieux d’expression”, que la rue est le lieu premier d’échange populaire…patati patata…m’enfous, pour ma ville et pour mes enfants, j’ai envie de gens honnêtes dans leur démarche dites artistique, j’ai envie de projets qui soient à la fois beaux, forts et qui l’espace d’un moment (plus qu’une minute) poussent à la reflection ou à l’appaisement. J’en ai marre des défilés pagnolesques du type Massalia et actions psychiatriques d’un petit groupe de tarés qui s’auto-proclame artiste. L’exemple des malades mentaux qui ont envahis la poste de 5ème, avec des armes factices, et qui ont appelé ça, une “action artistique” est symptomatique du haut et profond niveau artistique dans lequel on baigne à Marseille. Alors de grace arrêter de parler cette escroquerie

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