Des femmes journalistes de la Provence racontent leur “plafond de verre très bas”
62 femmes journalistes sur 65 du journal La Provence signent un texte pour dénoncer le "plafond de verre" qui règne dans leur entreprise.
Des femmes journalistes de la Provence racontent leur “plafond de verre très bas”
Commentaires
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Ah bon? La Provence n’est pas un journal avant-gardiste? surtout depuis l’arrivée de FOG, cet homme à la pensée profonde et à l’esprit lumineux…
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Se priver potentiellement et volontairement de 50 % de compétence et d’intelligence dans une entreprise est le signe hors mis d’être rétrograde ,de non efficacité , de manque de vision et d’une politique en matière de ressources humaines ahurissante.50 % c’est donc pour mémoire, le pourcentage des femmes sur cette planète.
Les entreprises qui réussissent font confiance aux femmes , sauf bien sûr dans ces contrées attardées du Sud où le machisme perdure. Nos amis anglo-saxons eux l’on bien compris dans leur culture managériale et heureusement les grands titres de la presse française l’ont bien intégré aussi, nombres de femmes sont de fameuses journalistes ou éditorialistes.
Concernant la Provence à part le foot, le foot et le fait d’être l’organe de presse de la mairie ou bien la chronique hebdomadaire des maisons de retraite , ce qui d’ailleurs aujourd’hui est la même chose , on ne peut qualifier ce quotidien de grand titre, vu le niveau rédactionnel actuel.
Visiblement et suivant les dires de ces femmes journalistes à Marseille , cette conception du management n’est pas encore arrivée dans nos contrées éloignées.
Ceci expliquant sûrement cela.
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Tout à fait de votre avis sur l’analyse de ce grand journal quotidien qu’est la provence.
Nous aurions pu espérer à la venue de ce grand esprit qu’est FOG, également grand amateur –au sens noble- de femmes, que la situation s’améliore….ben a priori non.
Bon leur initiative est largement légitime et de bon aloi : continuons, continuez le combat.
Je serais quand même pour évaluer à une juste mesure les capacités des journalistes en général, qui ont droit à tout mon respect, bossant dans cet organe de presse “nullicipal”
Cependant que je lis, chaque jour leur/notre journal, je m’interroge. Ce matin encore, le compte rendu de la cérémonie annuelle des vœux ( !) de ravier dans mon quartier du 12e est assez significatif. 2000 personnes dans le gymnase du collège des caillols, ah…et elles sont rentrées comment ? les unes sur les autres, en biais ou en long…. Cet endroit est petit, mais je peux me tromper.
Surtout, le corps de l’article est à la gloire de tout ce que va faire ce nouveau maire, remplaçant de la souriante et conviviale boyer, dans nos quartiers…ouiiii l’année ne devrait pas suffire, mais l’intention y est.
J’appelle un peu ça « servir la soupe ». Alors pour moi que ce soit masculin ou féminin…franchement peu importe. C’est surtout usant.
Mais comme Antoine de Meria, c’est sûrement parce que les responsables éditoriaux se privent de 50 % d’intelligence et de compétences possibles…. et je dis : chiche !!
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La notion de maison de retraite est d’ailleurs adaptée pour FOG qui a trouvé là une cantine au soleil sans même avoir à travailler sur une quelconque ligne éditoriale…
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Il y aurait donc une ligne éditoriale à travailler ? Elle est pourtant très claire : être du côté du manche, ne vexer personne, se focaliser sur l’OM, les cérémonies de voeux et les faits divers pour éviter les sujets de fond.
Quant à FOG, mieux vaut qu’il n’imprime pas trop sa marque : on se souvient qu’il ne manquait pas une occasion, au Point, de chanter sans nuance les louanges de son ami Gaudin. Si La Provence veut conserver quelques lecteurs, elle n’a peut-être pas intérêt à indisposer ceux qui commencent à trouver un peu long le règne du jeune élu de 1965…
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La ligne éditoriale se situant entre le fais divers “social” ou autoroutier…
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La ligne éditoriale est devenue un pointillé éditorial.
Ce matin : La Provence 37 pages.
37 pages dont 2 de télé reste 35
35 pages dont 1 page de jeux reste 34
34 pages dont 2 pages de courses reste 32
32 pages dont 4 pages de pub reste 28
28 pages dont 5 pages d’immobilier reste 23
23 pages dont 2 pages d’annonces légales reste 21
21 pages dont 1 d’avis de décès reste 19
19 pages dont 2 de cirages de pompes à la mairie reste 17
17 pages dont 4 de sports reste 13
13 pages dont une quatrième qui reprend les infos de l’intérieur reste 12
12 pages dont 3 culture y compris les horaires de cinéma , et avec une mention spéciale pour la rubrique littéraire avec R.FREGNI qui est à mourir de rire. Les vivants au prix des morts est un bon livre , mais il ne faut quand même pas exagérer, reste 9 pages.
9 pages couvrant le monde, la région et Marseille (je ne compte pas les 1/2 pages de pub à déduire encore et la Une aussi).
Ca c’est du journalisme Frantz-Olivier ! Les vivants au prix des morts dit-il.
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“Bas de plafond”, ça parle de FOG là non ?
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Mesdames, prenez-en du gabian !
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