La folle saga de la Fondation Vasarely, 30 ans de péripéties romanesques
La parution de l'ouvrage "Le Pillage" cosigné par la journaliste Laetitia Sariroglou et Pierre Vasarely offre l'occasion de se plonger dans 30 ans d'une épopée vertigineuse. Où se mêlent intimement art, utopie et escroquerie.
Déclarée d'utilité publique en 1971, la fondation ouvre ses portes au Jas de Bouffan en 1976. Quinze ans avant que la famille commence à se déchirer... (Photo C.By.)
Commentaires
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Ça pique les yeux, ça pique des sous. Une histoire ancienne: de nos jours de telles dérives ne seraient plus possibles.
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Cela continue, hélas !
Ce doyen Debbash me poursuit, ce doyen contre lequel, nous, étudiants à la fac de sciences de saint Jérôme, sommes mis en grève car nous allions devoir accueillir les 1ères années de Droit et les étudiants en psycho ( cette science molle au milieu des sciences dures ). Nous avons perdu.
En 1975, je passe tous les concours possibles pour pouvoir aider mes parents à payer les études de mes frères et sœurs , reçue à l’écrit du concours d’inspecteur des PTT, j’accepte sans attendre les autres résultats : j’accepte et à l’oral: « que pouvez-vous nous dire du doyen Debbash ? « , « oh cela pourrait être long car c’était mon doyen d’université ! « et ils ont dit « bien « et ils sont passés à autre chose.
Des reproductions de Vasarelly, il y en avait dans la fac et cela nous parlait et ce roman autour de la succession vaudrait la peine que l’AN et le Sénat s’y penchent
J’en profite au détour du chemin pour dire à cet homme dont les médias nous abreuvent que lorsque j’ai passé mon concours et été reçue 2ème sur 151 postes à pourvoir au niveau national, les 3 membres du jury étaient des hommes et moi, une femme avec un nom et prénom maghrébin et jamais ils ne m’ont posé de questions sur mes origines ou sur mes attaches religieuses, je suis athée et profondément laïque ( mon père est celui qui m’ à enseigner que à l’origine les religions ne sont pas vraiment mauvaises mais que ce sont les hommes qui la pervertissent )
Il est fort probable que vous m’ayez rencontrer un jour à la Poste ou pour La Poste mais, mon nom de famille est italien et comme certains Kabyles, « je ne souffre pas du délit de faciès
Bien à vous et merci pour vos commentaires qui m’instruisissent.
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J’ai fait des fautes de frappes insupportables, excusez moi quoique cela soit impardonnable.
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