La Ville d’Aix envisage de conserver les vestiges du palais de justice
En amont des travaux de rénovation des trois places, dans le centre d’Aix, des fouilles se sont tenues, comme le racontait Marsactu en juillet dernier. Les recherches menées par les équipes du service archéologie de la Ville ont mis au jour les traces de l’ancien palais comtal datant de 1227, où séjournaient les comtes de Provence, et même le roi René en 1450. Devant la variété et la qualité des vestiges, la Ville a finalement décidé de lancer des études pour permettre de conserver certains éléments à la vue du public, annonce La Marseillaise dans son édition de vendredi. Un dispositif de dalles vitrées est envisagé, à charge pour les études d’indiquer quels éléments mettre en valeur et le coût d’installations adaptées.
Source : La Marseillaise
Commentaires
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Pendant ce temps, à la Corderie…
Autres lieux, autres moeurs. Et c’est dans la ville fondée par les Grecs qu’on trouve désormais les barbares.
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On ne pourrait pas mieux dire.
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Jolie formule !
Mais Aix la romaine fut-elle un jour plus barbare que Marseille la grecque ?
Si on se réfère aux mœurs politiques des deux cités : j’en doute sérieusement.
Aix est aussi livrée aux bétonneurs fous mais par tradition elle respecte son centre historique alors que Marseille lui tourne souvent le dos jusqu’à parfois l’oublier. Et quand ce centre revient dans le viseur des édiles, ceux-ci sont prêts à tout saccager pour faire du neuf.
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Vous êtes dur avec les Barbares . Les Celtes étaient aux yeux des Romains des Barbares et pourtant quelle civilisation que la leur.
Qualifiez plutôt concernant ceux qui ont pris la décision portant sur le site de la Corderie d’ignares, de benêt, de bouché, d’abêti .
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Je me dois de rappeler que le TGI d’Aix en Provence a été construit après destruction de l’ancien palais comtal au 19eme siècle. Le siècle de Mérimée et des monuments historiques….
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Oui sûrement .
Alors dans ce sens , nous pouvons aussi raser St VICTOR que l’on doit entretenir régulièrement et qui coûte beaucoup aussi et qui nous encombre la rue SAINTE.
Avec ce raisonnement l’ancienne Major a été amputée de sa moitié au XIX e , l’Eglise ST MARTIN rasée, les Moulins, Place des MOULINS itou , et la Vieille CHARITE a faillis y passer aussi. Je ne vous parle pas des vestiges du Centre Bourse qui sans Malraux , ad Patrem!
Simplement et petit problème nous n’avons jamais eus dans la région un Viollet-Leduc ou un Mérimée.
Par contre au XIX e à Marseille, les affairistes étaient déjà bien là et ressemblants étrangement à ceux d’aujourd’hui avec les copains de la municipalité de l’époque.
Nihil novi sub sole
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