Le Printemps marseillais propose à EELV et au Pacte démocratique de renégocier une union
Une lettre ouverte en forme d’invitation. Le Printemps marseillais, qui réunit des partis de gauche (PS, PC, LFI notamment) et associations, propose à Europe écologie – Les Verts, au Pacte démocratique et aux signataires de l’appel “Marseille urgence 2020” de “poursuivre les discussions dans le but de nous présenter unis aux prochaines élections municipales”. Une première date, le 30 novembre, est suggérée pour discuter du programme. Deux autres thèmes clés sont posés, pour lesquelles des rendez-vous doivent être fixés : le processus de désignation des candidats et la “mobilisation citoyenne”.
Contacté, Sébastien Barles, tête de liste désignée par EELV, indique que son comité de campagne a décidé de ne pas donner suite à cette appel. “Nous n’avons plus de temps à perdre dans des processus voués à l’enlisement et sans règles ni projet clair autres que l’incantation à l’unité”, justifie-t-il.
Cette initiative intervient une semaine après la “médiation” portée par le député Jean-Luc Mélenchon (lire notre article sur cette réunion fleuve de plusieurs heures). Le Pacte démocratique, qui y a participé, a quant à lui rompu début novembre les négociations directes avec le Printemps marseillais, au profit de rencontres bilatérales avec chaque parti et collectif.
Commentaires
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Plus c–n qu’EELV “tu meurs quand je pense que j’ai voté pour eux
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quelle drôle d’idée !
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J’ai, pour ce qui me concerne, quelques amis qui votent E.e.L.v et à qui je conseille tous les 4 ans de voter vert puisque telle est leur opinion, mais de se retenir de le faire, avec la plus grande violence, lors des élections européennes.. Ceci tout d’abord du fait qu’ils sont avant tout d’invétérés eurobabaphiles, confondant l”u’.E avec l’Europe, la confondant qui plus est avec les peuples européens, alors qu’elle est pour ces peuples qu’un carcan, une prison les insérant sous la coupe du marché financiarisé et du principe constitutionnel de la concurrence” libre” et pas faussée du tout, tout en les dépossédant du bon vieux principe fondateur du/des peuples souverain(s).
Mais aussi et surtout parce que ce n’est ni leur rendre service, ni faire avancer l’écologie politique. A chaque fois, et suite à ces élections, ils se confortent dans leur eurobabaphilie chronique, mais également se prennent le melon et autres chevilles qui gonflent,, sont gravement affectés et désitués par leur score à ces élections et s’empressent de gâcher la chose, comme suite aux 16% et quelques de la liste Chon Bendit.. ça ne rate jamais!
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barles a la grosse tête et vassal lui dit merci
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Avec le changement climatique, les Verts ont attrapé le melon.Pourtant, l’histoire politique associe un Vert à une pastèque, l’intérieur est plutôt rose pâle ou rouge vif.Le virus électoral agit aujourd’hui sur la génétique des valeurs…
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Que voulez vous! Rien n’est tout vert ou tout noir, et il nous faut cultiver une approche contradictoire, dialectique quoi (mais c’est devenu un gros mot!). Le bio connait aussi ses travers; Et, comme le disait (l’écrivait!) un journaliste du “canard enchainé”, à propos de la liste des dits verts aux élections européennes, il y a ” De drôles d’asticots chez les verts”
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“…sans règles ni projet clair autres que l’incantation à l’unité”…
M. Barles, vous faites des lapalissades, maintenant ?!Je vous confirme que les citoyens que je côtoie (aux profils socio-cul relativement divers) ne s’accordent, pour l’heure, que sur une chose : l’unité des partis de sensibilité démocratiques et écologistes !
Quelle posture ridicule de votre part, que celle de minimiser cet enjeu. Ça devrait être votre unique préoccupation : matin, midi et soir. Ri-di-cule.
Par ailleurs, en lisant votre pré-programme dans l’un de vos billets. Je me disais que les trois partis en question allaient présenter des programmes identiques. Identiques, parce que de bon sens (le diable se cachera dans leur mise en oeuvre) ! Si la ponctuation ou la mise en page devrait varier, vous dites en substance la même chose : démocratie locale et contrôle de l’action publique, écologie.
(Ce à quoi, je rajouterai : encadrement des loyers. Car toute action sur le cadre de vie augmente quasi mécaniquement le coût du foncier et des loyers.)
bref ENTENDEZ-VOUS capeu di bondiu !
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Qui s’étonne de la réponse de Barles ? Ce Monsieur parle de rassemblement comme Gaudin fait des promesses : l’essentiel est de dire, pas de faire. Pour lui, le “rassemblement” ne se conçoit qu’autour de sa personne : il s’agit plus d’ego-logie que d’écologie.
C’est très bien dit ci-dessus : “l’incantation à l’unité”, qu’il semble condamner, est simplement le reflet d’une condition nécessaire pour remplacer le gang gaudiniste par une véritable municipalité démocratique.
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Vous avez raison, mais je ne comprends pas pourquoi le Printemps Marseillais ne fait pas une offre publique à EELV en détaillant quel type d’accord est proposé, de sorte que les électeurs – nous – soient à même de juger si l’accord est équilibré, qui est de bonne foi et qui ne l’est pas. Sinon, le dialogue de sourds (les vrais sourds ou ceux qui ne veulent pas entendre) peut durer longtemps…
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Je ne suis pas à l’intérieur du Printemps marseillais, mais vu de l’extérieur j’ai l’impression que tout cela est fondé sur la bonne foi des uns et des autres, et sur une forme d’égalité entre les différentes parties prenantes, l’objectif étant de dégager un consensus.
De toute façon, soyons clair : quelles qu’en soient les modalités, EELV-Marseille souhaite-t-il l’union ? La réponse est certainement non. Le vocabulaire peu amène de Barles ne laisse aucun doute. Mais au moins sa clarté permettra de reconnaître le responsable du résultat des élections à venir – quel qu’il soit…
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[Supposition saugrenue]
Il faudrait que le Printemps Marseillais investisse Michèle Rubirola, pendant que Barles courra après des soutiens LREM. Vous savez…. Ceux qui ont reculer entre autre sur le glyphosate ! Et là, on pourra se marrer un bon coup !
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Suivez Barles sur Facebook. Chacun de ses posts triomphants est commenté par moins de 10 personnes, dont la moitié lui reproche son cavalier seul. Voilà une belle dynamique !
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Non merci! Je ne vais jamais sur Facebook, pas plus que sur autres réseaux asociaux (quoique que concernant Barles, ça me démange fort, mais non merci !). Bon, mais après, il faut quand même respecter, ou à défaut prendre en compte, l’individualisation du combat politique, l’authenticité de la parole portée par chacun, l’incarnation quoi (et que les Végan viennent pas ergoter hein!), le verbe qui devient… (mais non, pas verbeux nooonnn) : Barles parle, y en a même qui pense qu’il ne sait faire que ça ( tu parles, tu parles, c’est tout c’que tu sais dire…), les média recueille la sainte parole et la répercute. Et quoi qu’il dit?
Quand il crée sa boutique marseillaise, et à l’adresse du Printemps Marseillais : Je n’ai pas de temps à perdre dans des négociations boutiquières… où l’on perd son temps.
Quand le député Mélenchon, jouant les “entremetteurs” l’invite à une réunion avec Pacte Démocratique et Printemps Marseillais, pour réenvisager le champ des possibles et les suites à donner : Je n’ai pas de temps à perdre. (ça commence toujours comme çà). c’est que voyez vous, je poursuis mon sillon, pour nourrir le rassemblement, avec d’autres que vous donc, et remplir de mesures basculantes le programme, tout aussi basculé (qui ne bousculera pas grand chose d’ailleurs, dans le réel) et que ça me prend un temps fou, vous pouvez pas savoir…
Et quand on le ré invite à une rencontre avec Printemps Marseillais, Pacte démocratique et Urgence Marseille 2020 : Je n’ai pas de temps à perdre ( enfin c’est plus groupal, nous n’avons pas de… ou alors c’est le nous de Majesté) dans l’enlisement et dans l’incantation à l’unité, en tout cas avec vous; c’est que voyez vous je suis actuellement fort mobilisé dans l’incantation de l’arc progressiste, et ç’est que ça prend un temps fou ce truc là, et que ça épuise son homme…
Bon là, on comprend que c’est dur, et qu’un tel arc in Progress, qu’on commence à voir dans quel vert pré il commence, mais qu’on sait pas trop s’il finit avec L.R.E.M ou un vague rabibochage LREM/LR de 2ème main voire de 3ème, c’est du grand format, et qu’il faut du muscle et de l’énergie pour le bander l’arc, avec le risque omniprésent que ça débande au pire de moments, on n’est pas à l’abri… Enfin Quoi il ne vient pas mais il a toujours une excuse…
Bon, sauf si vous avez un budget postal prévisionné très haut, je crois quand même qu’on peut arrêter d’envoyer des missives, passer presto à l’urgence suivante, construire l’unité entre Printemps et Pacte, et avec les ceusses des verts qui ne partage pas l’hubris de Barles et de ses affidés, quitte pour ce faire de bien vouloir accepter de” perdre un peu de temps”, qui ne sera pas perdu, et les marseillais.es vous en seront reconnaissant, et à la fin c’est eux qui votent!
Quant à Barles, si ça marche pas, si ça tourne à la débandade, s’il échoue à gagner son CDD de 6 ans, faudra penser à la reconversion, on verra bien dans qu’elle branche, mais faudra quitter le langage performatif, donc la com’ et la religion (même verte) c’est foutu, et éviter bien sur la littérature… même de gare, les créneaux et parts de marché sont maintenant bien occupés.
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Oui, je vote Michèle Rubirola !
Et je ne pense pas que ce soit farfelu. Mon sondage personnel, farfelu mais qui en vaut d’autres, en l’état des listes aujourd’hui serait (sur les secteurs gagnables) :
ps+pc+lfi+les autres : 8%
eelv tout seul : 8%
Une verte reconnue et engagée à gauche Michèle rubirola tête de liste avec eelv rallié (barles avec une eelv tête de liste à gauche s’écroule à 3% et ne peut pas tenir tout seul) : 30% et une mairie gagnable
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