Le département des Bouches-du-Rhône a la pire capacité de désendettement de France
Avec 2,2 milliards d’euros de dettes, le département des Bouches-du-Rhône arrive dernier au classement national de la capacité de désendettement, conclut l’Observatoire des finances et de la gestion publique locales (OFGL) dans un rapport cité par La Provence. Ainsi, en 2024, la capacité de désendettement était de 6,7 ans en moyenne au niveau national, là où celle des Bouches-du-Rhône atteint 19 ans. Cette donnée financière correspond au temps que mettrait la collectivité à rembourser sa dette si toute son épargne brute y était consacrée. Or, la dette de la collectivité présidée par Martine Vassal a augmenté de 244 % en dix ans.
Cet été, l’agence de notation Fitch a rétrogradé la note du département, de “AA” à “A+”. En conséquence, les banques pourraient se montrer plus frileuses à accorder des emprunts à la collectivité. Nos confrères pointent notamment, dans la colonne des dépenses, la hausse de la masse salariale, passée de 6 595 à 7 235 agents entre 2016 et 2024. Mais aussi les subventions accordées aux communes. Ce dernier point était déjà épinglé en 2022 par la chambre régionale des comptes, estimant que ce poste de dépenses ne répondait “que partiellement à un objectif de solidarité territoriale”. De son côté, le département indique à nos confrères avoir baissé de 32 millions d’euros ses dépenses de fonctionnement dans son budget primitif de 2025.
Source : La Provence
Commentaires
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élue en 2015 au CD, vassal a réussi à augmenter la dette de 244 % !!!
bravo, beau résultat et bonne gestion.
et elle souhaite avec sa fine équipe “reprendre” marseille !!!
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Bravo ! De moins en moins de service public de plus en plus cher, un vrai succès.
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Je ne me souviens plus : lors de son bilan de mi-mandat, il n’y a pas si longtemps, Mme Vassal a-t-elle fait état de cette réussite financière ?
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Elle ne se vante pas de cette situation la brave dame de Provence, c’est bizarre ! Et elle vient donner des leçons !
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Le système Vassal! Une bande d’assistés qui font du story telling! C’est ça la réalité de la,droite…on s’en fout plein les poches, et on coule les finances publiques…mais on s’en prend aux pauvres et aux immigrés…et on traite les autres d’assistés
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Mais la présidente que vous décrivez se débrouiller comme une truffe, elle n’a pas fait des études de gestion, commerce, management dans la high kedge school de Luminy?
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Je ne comprends pas que la droite locale ne parvienne pas à trouver un·e candidat·e plus présentable. Entre son talent pour dilapider l’argent public en dépit des recommandations de la CRC, sa propension à instrumentaliser les féminicides au profit de sa petite carrière personnelle et ses fanfaronnades déplacées (dans La Provence du 27 septembre : “Je vais vous faire une confidence : Benoît Payan ne sera plus maire.”), elle est vraiment pitoyable.
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alors à l’époque autour de 1985, c’etait l’école supérieure de commerce…devenu “kedge” bien plus tard. et il n’est nulle part fait écho d’un diplôme quelconque obtenu.
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Elle a surtout hérité de la boite de papa qu’elle s’est empressé d’enterrer – touchant au passage de confortables indemnités en liquidation.
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Il y a 15 ans, le Dépaetement était le 2ème plus riche de France après le 92.
Avec la gestion de Martine Vassal, on en est là aujourd’hui…
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1/3 de contribution Guerini
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« Dettes à 2,2 milliards d’euros : carton rouge pour les finances du Département des Bouches-du-Rhône ».
Le titre de la Provence décrit parfaitement la décrépitude des finances gérées par la droite.
« La droite c’est la faillite » voilà un bon slogan.
Plutôt que de s’opposer à la salle de soins par pure dogmatisme le préfet devrait s’empresser de mettre le département 13 sous tutelle.
Pour motif de salubrité publique.
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Saadé vise.le CD13 ?
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+10% de masse salariale en 6 ans, quand la Cour des Comptes explique clairement que les collectivités, surtout sur notre territoire, doivent réduire la voilure.
Ce n’est pas de l’incompétence. C’est la volonté claire de pérenniser le système Gaudin, pour se faire réélire. C’est du clientélisme, au détriment du reste des citoyens, qui paient par leurs impôts des inutiles inactifs.
Et ça fait pareil à la Métropole.
Et, hélas, ça a fait pareil à la Ville de Marseille qui, elle aussi, promettait le contraire.
Bref.
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