La vice-présidente du centre communal d’action sociale tente de corriger le tir

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Bref
le 16 Mar 2018
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Après l’incident grave survenu entre deux agents du centre communal d’action sociale et relaté par Marsactu, la vice-présidente du CCAS et élue municipale (LR), Sylvie Carrega a accepté de le commenter auprès de La Provence, le samedi 10 mars. Or, les propos cités entre guillemets, venaient singulièrement en défense de Bernard A., le directeur des services techniques accusé d’avoir braqué une arme sur un subordonné. L’élue le qualifie en effet de “nounours” et ajoute : “Il y a des gens qui n’acceptent pas les ordres et c’est ce qu’il se passait entre les deux hommes. Il y a eu visiblement de nombreuses provocations qui ne justifient évidemment en rien cette réaction inacceptable mais peuvent un peu l’expliquer.”

Mais deux jours plus tard, le lundi 12, l’élue fait parvenir un communiqué à l’ensemble des salariés dans lesquels, elle réaffirme sa condamnation d’un acte “impardonnable” mais revient sur ces propos : “En aucun cas, je n’ai émis de propos concernant l’état des relations professionnelles, dont je n’avais pas connaissance, existant entre ces deux personnes : ces termes confiés au journalistes sous couvert d’anonymat m’ont été attribués à tort”. Une version en brèche par le journaliste de La Provence, joint par Marsactu qui maintient avoir repris “mot pour mot les propos de l’élue”.

Soucieuse de rééquilibrer ces propos, elle ajoute dans le communiqué : “Il est apparu que mon absence de propos concernant mon soutien à la victime a été mal interprétée. Cela n’était en aucun cas mon intention : les qualité de Daniel et son comportement professionnel n’étant plus à démontrer”.

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