Artistes, habitants et experts au chevet du ruisseau des Aygalades
Dans le Nord de Marseille, le petit fleuve côtier retrouve lentement sa nature malgré les nombreuses pollutions, avec le concours de la population et l'implication de la Cité des arts de la rue.
La cascade connaît un certain succès lors des jours d'ouverture. (Photo : Gaëlle Cloarec)
Commentaires
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Quel dommage que le vrai nom de ce cours d’eau ait été éradiqué ! Par des “géographes” ou des fonctionnaires venus d’autres contrées ? Parce que c’est compliqué à prononcer ? Parce que ça ressemble à une langue étrangère ?
Le BIAOU n’est pas un ruisseau, c’est un fleuve côtier ! Il ne fait que passer aux Aygalades ! Quel dommage que Marsactu se fasse complice de cette petite négation de l’identité provençale ou marseillaise !
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Petite précision, biaou ou “biau’ est le provençal de béal qui désigne un canal.
Quand j’étais gamin on l’appelait aussi couramment le “bachas”. Il existe d’ailleurs une traverse du Bachas. Ce mot est guère flatteur car il désigne en provençal un fossé, un cloaque, ce que ce cours d’eau a dû rapidement devenir à la fin du XIXe avec l’industrialisation du quartier.
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A propos d’Eric Lenoir, je vous recommande le lecture de son livre “petit traité du jardin punk – Apprendre à désapprendre” aux éditions terre vivante – 10 €..
Egalement le livre de photos ayant comme thème le ruisseau des Aygalades et comme auteur-photographe Geoffroy Mathieu : “la mauvaise réputation” Zoème éditions (zoeme.net).
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Éric Lenoir vient de publier, toujours chez Terre vivante, Le grand traité du jardin punk (plus de 200 pages,25€). Une somme pour qui veut jardiner sans perturber les écosystèmes et favoriser la biodiversité.
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Même si l’article parle du ruisseau des Aygalades (que l’on appelle parfois Caravelle), il précise bien que c’est un fleuve côtier, puisqu’il se jette dans la mer et qu’il a des affluents.
Par contre le Jarret, affluent de l’Huveaune, est une rivière.
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De nombreux moulins qui ont utilisé l’eau du ruisseau le dernier a cessé de fonctionner dans les années 50
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Article intéressant car bien écrit et abordant les diverses problématiques et acteurs du “dossier”.
Ah si seulement… on avait agi plus tôt !
J’espère que Marseille va pouvoir retrouver, aménager, protéger, ces espaces oubliés, essentiels à tout point de vue (écologique, social, sanitaire…),
Et cessez d’en bousiller.
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