Ce que dit La Plaine de nous

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le 3 Nov 2018
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Ce que dit La Plaine de nous
Ce que dit La Plaine de nous

Ce que dit La Plaine de nous

Depuis plusieurs semaines, l’aménagement de La Plaine fait l’objet d’affrontements, de discussions, de débats ardents jusque dans les commentaires de nos articles. Le débat est tranché, à la fois sur le mode d’opposition au projet que sur le fond de ce dernier. Parmi nos abonnés, certains nous demandent de clarifier notre position : pour ou contre le projet ? Pour ou contre les opposants ? Pour ou contre les riverains ?

Depuis le début (l’intégralité de notre suivi est ici), nous essayons de suivre une ligne : rendre compte des points de vue des aménageurs comme des opposants au projet. Car ces deux points de vue racontent la ville. Nous n’avons pas de position qui épouserait celle des uns, ou des autres. Nous ne sommes pas neutres, ni même objectifs car ce sont des absolus difficiles à tenir. En revanche, nous nous efforçons d’être honnêtes dans notre démarche éditoriale. Marsactu est un être vivant, collectif. Nous avons également des débats entre nous sur la nature de notre couverture de ce sujet depuis le dévoilement des intentions de la Ville et de sa société d’aménagement, devenue depuis métropolitaine.

Ce que ce face-à-face raconte c’est la défiance d’une partie de la population vis-à-vis des projets municipaux, notamment quand ils ont trait aux quartiers centraux, symbole d’une identité plurielle et populaire partagée. C’est aussi le récit d’une incapacité de la municipalité ou de ses satellites à mettre en œuvre une véritable concertation sur l’aménagement urbain et à exprimer clairement ses intentions.

La première tentative pour ce faire a eu lieu autour du projet de “Quartiers libres” à la Belle de Mai qui reposait sur une volonté affichée de “faire avec” les habitants, associations… Mais il s’agit là d’un projet qui s’étale sur 20 ans. La participation étant alors très en amont des travaux eux-mêmes.

À La Plaine, la même agence de communication a été choisie mais sur une échelle de temps très courte. Et comme le président de la Soleam Gérard Chenoz l’a lui-même dit dans Marsactu, il a pris seul la décision de mettre fin à cette concertation. Au final, celle-ci s’est résumée au minimum de ce que la loi permet : une concertation publique sous la forme d’une exposition itinérante avec une personne présente pour commenter, un registre de remarques… Et une série de réunions au sein de la Soléam avec des acteurs limités et sans caractère public.

Si Marsactu a une position, c’est de souligner cette difficulté à construire un projet avec les habitants, si ce n’est les comités d’intérêt de quartier et parfois les commerçants. Sur ce projet, même le niveau 1 de la simple information n’est pas toujours atteint. Tout ceci raconte l’état de la démocratie locale, un sujet qui intéresse forcément un journal qui a choisi cette échelle comme sujet d’investigation. Que La Plaine fasse débat, c’est salutaire, y compris parmi nos lecteurs. Nous donnerons corps à ce débat entre ceux qui vivent la Plaine dans les jours qui viennent.

Commentaires

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  1. Maltsec Maltsec

    Merci a l’equipe Pour un suivi qui présente de nombreuses chausses trappes. Le premier écueil de ce projet d’aménagement Ce sont les mots eux-même. Des le début concertation à été confondu avec co-construction, il ne s’agit pourtant pas de repeindre un poteau arc en ciel mais d’amenagement D’espace public. L’assemblee De la plaine à très tôt refusé le principe de la pietonisation de la place, elle a rendu impossible toute discussion (sabotage des réunions d’information, blocage de l’enquete Publique en monopolisant les cahiers durant les derniers jours). Son opposition à une municipalité défaillante sur de nombreux points est une chose, ses contradictions traduisent une instrumentalisation de l’opposition au projet: pour le parking mais défenseurs des arbres, partisans du statu quo mais mettant en avant les Plus jeunes. Le tournant inacceptable c’est l’appel à la haine de tout ceux qui ne partage pas leur fantasmes du quartier, le comble est celui d’un gratteur de ligne qui décide qui a droit de citée . On en est là, défaillance d’une mairie qui abandonne le terrain à des pol pot du chez nous qui seraient surpris de leur propre conservatisme.

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  2. LaPlaine _ LaPlaine _

    L’analyse fait d’ailleurs l’impasse sur un élément d’importance, la contestation visible à ce stade a des objectifs bien éloignés du seul sujet de la Plaine. La présence d’exo-éléments d’une internationale plus ou moins activiste avec ses réseaux, a rapidement débordé le noyau central de l’opposition au projet. Pour le reste je partage et confirme totalement les propos de Maltsec. Si cette municipalité est en train de sombrer corps et âme (au demeurant les élus des arrondissements concernés brillent par leur silence assourdissant), ce combat d’opposition n’es pas celui que l’on croit, c’est celui d’un groupe qui se veut dominant par rapport à une population aujourd’hui abasourdie. Tous les échanges et débats qui ont pu avoir lieu avec leurs représentants se sont soldés par le rejet ou l’éviction. Aujourd’hui les riverains souffrent et c’est bien la seule chose que tout le monde devrait entendre et rapporter, la presse principalement.

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  3. Massilia fai avans Massilia fai avans

    Visiblement pas tous les élus restent silencieux, puisque j’ai pu voir Mme Ghali à la suite de la manifestation du 1er Novembre déplorer la présence du mur, mais se gardant bien de faire des propositions pour avancer (mais bon tout le monde a compris qu’elle était là pour la politique tique et pas pour les habitants). D’ailleurs elle ne voulait pas des forains à l’Estaque.
    Au final, je trouve ahurissant que ni les maires des secteurs (#sabinebernasconi, #yvesmoraine, #marinepustorino) ni les CIQ (la Plaine Cours Julien, Chave Eugène Pierre) n’interviennent dans le débat.
    La nuit dernière a encore été le théâtre d’un concert sauvage et d’un incendie de poubelles. La bataille de la communication ne doit pas être du fait d’une seule partie prenante, il faut sans arrêt rappeler que les exactions des opposants et ça se sont des faits, juste des faits

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    • LaPlaine _ LaPlaine _

      Oui comme je l’ai dit plus haut je suis impressionné par le courage politique des élus de secteur qui sont planqués dans un abri anti-atomique certainement. C’est sûr que c’est plus dur que le thé et les petits gâteaux chez madame Durand.

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    • leravidemilo leravidemilo

      Ben, c’est que je voudrais bien vous y voir vous (et ce n’est pas que je tienne à défendre cette improbable équipe qui nous tient lieu de nullicipalité mais) ). Quand vous vous retrouvez, chaque matin, dès sortie de la tranchée, dans un terrain mouvant, changeant, un environnement très incertain et pour une action forcément très aléatoire, vous avez tendance à vous caler au fond dans la dite tranchée, en attendant des jours meilleurs, genre le 11 novembre comme il y a un gros siècle : – quand Chénoz, le “vieux Monsieur fatigué” que s’il avait su il l’aurait fait en douce… se converti soudainement au “dialogue”, ouvre sa porte à tous les vents, et même à “un centre ville pour tous” (où on va là!) et se retrouve Adjoint au Maire Délégué à L’Apaisement! – Quand le préfet venu d’un autre département, forcément, accuse des étrangers, venus d’autres départements de fomenter des troubles, vient expliquer aux Massaliotes ébahis que leur ville,, fondée par un type originaire d’un département situé quelque part dans l’actuelle Turquie , est envahie par des ” extérieurs”. – Quand il “explique” au bon peuple marseillais, qui n’en peut mais et depuis quelques décennies, que les “grands” projets urbains de Jean Clôde coûtent la peau des fesses (ce dont ils ont eu toute licence de se rendre compte et à leur dépend).
      – Quand des murs sont dressés sur la place qu’on nous annonçait ouverte et déambulatoire, que des morceaux en tombent dès le jour suivant (terrible ça, pour le sentiment d’insécurité), quand les images de synthèse des jolis dépliants deviennent à ce point irréelles par rapport à ce que j’ai vu de mes yeux vu… ben, sans me comparer à cette bande de nuls confirmés, faudrait quand même pas me demander de bondir sur le talus, guilleret guillerette….
      Parce que, si il tombe Chénoz, hein, qui à la place? Bernasconi? (elle et déléguée à Broadway elle, pas au Bronx!), Moraine?… Et comme ça se bouscule pas en bas de l’échelle, qui d’autre? Casanova? Miron qui a perdu les tuyaux depuis fort longtemps? Quant à Caradec même à la forçant à s’extraire de son euromedmachinot là, ce serait vécu comme une insupportable provocation par nos centre-ville, nos pour tous et nos turbulents autres opposants. Comment il fait là, Jean Clôde, hein?
      D’autant qu’il a perdu la main sur un autre soldat là, qui se cache, mieux que les autres, dans un coin bien obscur de la tranchée, Mm Vassal. Car, si ne nous abusons, le grand projet requalificateur se commet peu ou prou, pour tout ou en partie, au nom de la métropole non? Et les martégaux, Aixois et autres voisins, associés bien malgré eux , contemplent la chose avec un certain effarement, comptent leurs euros au fond de la poche, (vont finir par s’abonner en masse à Marsactu, si si je vous l’assure ), et les arlésiennes et arlésiens commencent à taster le goût acre de la sauce et à se questionner avec insistance… Quel bazar! (Aaaach! Métrooopôôôle, groosseu malheur!).

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    • leravidemilo leravidemilo

      Ben, c’est que je voudrais bien vous y voir vous (et ce n’est pas que je tienne à défendre cette improbable équipe qui nous tient lieu de nullicipalité mais) ). Quand vous vous retrouvez, chaque matin, dès sortie de la tranchée, dans un terrain mouvant, changeant, un environnement très incertain et pour une action forcément très aléatoire, vous avez tendance à vous caler au fond dans la dite tranchée, en attendant des jours meilleurs, genre le 11 novembre comme il y a un gros siècle : – quand Chénoz, le “vieux Monsieur fatigué” que s’il avait su il l’aurait fait en douce… se converti soudainement au “dialogue”, ouvre sa porte à tous les vents, et même à “un centre ville pour tous” (où on va là!) et se retrouve Adjoint au Maire Délégué à L’Apaisement! – Quand le préfet venu d’un autre département, forcément, accuse des étrangers, venus d’autres départements de fomenter des troubles, vient expliquer aux Massaliotes ébahis que leur ville,, fondée par un type originaire d’un département situé quelque part dans l’actuelle Turquie , est envahie par des ” extérieurs”. – Quand il “explique” au bon peuple marseillais, qui n’en peut mais et depuis quelques décennies, que les “grands” projets urbains de Jean Clôde coûtent la peau des fesses (ce dont ils ont eu toute licence de se rendre compte et à leur dépend).
      – Quand des murs sont dressés sur la place qu’on nous annonçait ouverte et déambulatoire, que des morceaux en tombent dès le jour suivant (terrible ça, pour le sentiment d’insécurité), quand les images de synthèse des jolis dépliants deviennent à ce point irréelles par rapport à ce que j’ai vu de mes yeux vu… ben, sans me comparer à cette bande de nuls confirmés, faudrait quand même pas me demander de bondir sur le talus, guilleret guillerette….
      Parce que, si il tombe Chénoz, hein, qui à la place? Bernasconi? (elle et déléguée à Broadway elle, pas au Bronx!), Moraine?… Et comme ça se bouscule pas en bas de l’échelle, qui d’autre? Casanova? Miron qui a perdu les tuyaux depuis fort longtemps? Quant à Caradec même à la forçant à s’extraire de son euromedmachinot là, ce serait vécu comme une insupportable provocation par nos centre-ville, nos pour tous et nos turbulents autres opposants. Comment il fait là, Jean Clôde, hein?
      D’autant qu’il a perdu la main sur un autre soldat là, qui se cache, mieux que les autres, dans un coin bien obscur de la tranchée, Mm Vassal. Car, si ne nous abusons, le grand projet requalificateur se commet peu ou prou, pour tout ou en partie, au nom de la métropole non? Et les martégaux, Aixois et autres voisins, associés bien malgré eux , contemplent la chose avec un certain effarement, comptent leurs euros au fond de la poche, et les arlésiennes et arlésiens commencent à taster le goût acre de la sauce et à se questionner avec insistance… Quel bazar! (Aaaach! Métrooopôôôle, groosseu malheur!).

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  4. Viso Viso

    L’article de Gilles Rof, du Monde, sur le sujet est parfait…. ‪https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/11/02/a-la-plaine-un-mur-separe-les-habitants-et-les-elus-marseillais_5377905_3224.html‬

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    • LaPlaine _ LaPlaine _

      C’est le seul article a peu près équilibré et documenté sur le sujet.

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    • LaPlaine _ LaPlaine _

      Ah oui effectivement “urbaniste sans diplôme”…

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  5. Tarama Tarama

    Les maires de secteurs, quand ils sont de la majorité municipales, sont exactement sur la ligne Gaudin. Et quand ils disent autre chose, qu’ils font mine de s’opposer, c’est qu’ils s’agit de décisions sur lesquelles ils n’ont pas de pouvoir.

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    • LaPlaine _ LaPlaine _

      Leur rôle se limite bien souvent aux mariages et surtout à faire la “tournée des popotes” électorales.

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    • Tarama Tarama

      Ne siègent-ils pas, tout de même, au conseil municipal de la Ville ?

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  6. Cabri Cabri

    Il est surprenant que tous les commentaires ci-dessus soient émis par des partisans du projet.
    De nombreux opposants sont d’accord pour une requalification de la place sans pour autant approuver les positions et agissements de ” l’assemblée de la plaine “.
    Pour ce qui concerne les élus, bien d’accord avec le constat de leur absence et de leur incompétence.
    Quant à Chenoz c’est un spécialiste des fausses concertations, quand il n’insulte pas tout simplement ceux qui ne sont pas de son avis.

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    • LaPlaine _ LaPlaine _

      Les “partisans” du projet sont nombreux ici parce qu’ils sont nombreux globalement. Personne n’a pris d’abonnement à Marsactu pour faire de la propagande de masse…

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    • Massilia fai avans Massilia fai avans

      Si je comprends bien il existe des opposants aux travaux mais d’accord pour une requalification, tout en étant pas d’accord avec l’assemblée de la plaine. Bref, chacun doit individuellement être consulté pour valider un aménagement public, le meilleur moyen de ne rien faire.
      Je le répèterai systématiquement les riverains de la place veulent vivre dans un endroit propre qui limite la place de la voiture et ne veulent plus subir les requisition sauvages de l’espace public par certains.

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    • Maltsec Maltsec

      Votre interprétation est simpliste je regrette d’abord l’abandon De l’espace public a un groupe fort en geule dont il faut supporter les nuisances. Il n’y a pas les pour qui sont contre, mais des citoyens qui ne comprennent pas qu.on détruise une place, qu.on génère des dé dégâts et des nuisances sonores depuis des mois sans que la loi ne soit respectée. Quelle est la responsabilité des discours de peur irresponsables bâtis sur des mensonges par une assemblée largement dépassée par ses activistes. Dégouté par la négligence municipale qui nous laisse avec des groupes prêts à tous les sabotages et qu.on laisse agir a leur guise. C’est pousse au crime…

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  7. CAN. CAN.

    S’opposer sans porter publiquement un contre projet me semble une forme de combat bien stérile et voué à l’échec.
    D’autant plus que si il y a bien une chose qui devrait faire l’unanimité parmi les riverains c’est que la promotion du statu-quo n’était pas tenable

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  8. Félix WEYGAND Félix WEYGAND

    Personnellement, pendant les 15 ans où j’ai été élu local, j’ai eu à conduire 2 gros projets de concertation (le plus gros cela a été l’aménagement du trajet des pièces lourdes d’ITER de Fos jusqu’au site).
    Soyons clair : la concertation ne consiste pas à faire décider les gens (lesquels ici ? seulement les riverains ? les utilisateurs diurnes ? nocturnes ? les forains ?) dans un processus de démocratie directe. Il s’agit de les informer correctement, leur permettre de s’exprimer, et, dans leur expression retenir les propositions d’ajustements (je souligne ce mot) de bon sens qui permettent de ne pas leur pourrir la vie pendant les travaux et de mieux ajuster le résultat final à leurs attentes.
    C’est aussi de cela dont il est question à La Plaine, comme la municipalité est nulle et que la plupart des gens n’ont pas confiance en elle, on a le service minimum que décrit Benoit Gilles. Mais municipalité nulle ou pas, une fois que des élus (démocratiquement élus même s’il sont nuls et si la vie publique marseillaise est carencée) ont pris la décision, c’est bien le fonctionnement de la démocratie représentative de “l’intérêt général” qui doit s’appliquer.
    Mais à La Plaine, il y a aussi la manifestation d’une revendication d’occupation et d’usage de l’espace public et de confrontation à “l’autorité” qui concerne un projet différent. Ce dernier est le fait d’acteurs (black blocks aujourd’hui, autonomes hier, anarchistes illégalises il y a 120 ans…) qui veulent manifester en acte une critique radicale du “monde” (de la société, du capitalisme, de l’Etat, etc.) et qui cherchent des lieux (Zad aujourd’hui, squats autonomes hier…) pour cristalliser et mettre en scène et en oeuvre cette opposition. L’aménagement de La Plaine n’est ici qu’un prétexte à cela.
    Il me semble que mieux discerner les deux niveaux de critiques aurait facilité les échanges.

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  9. Tarama Tarama

    En effet, Monsieur Weygand, la “concertation” telle qu’elle existe, légalement, relève plus de l’information que d’autre chose, et si les autorités sont de bonne volonté, peut amener à modifier les projets à la marge.
    On ne “co-construit” pas des projets d’urbanisme. Je ne sais pas si c’est souhaitable, mais ce n’est de toute façon pas le cas.
    Je dis souhaitable ou pas, car les projets sont confiés à des professionnels car ils sont complexes. C’est un métier quoi. Après, tous les professionnels ne sont pas aussi talentueux ou compétents. S’ils le sont, ils n’ont pas toujours des inspirations de même niveau.
    De ce que j’ai pu voir du projet de la Plaine, il me semble plutôt bon dans les choix opérés. Rien ne me choque. On peut toujours discuter du meilleur tracé pour la voirie ou des essences végétales prévues, mais globalement ça va.

    Le point qui m’attriste est l’abatage de tous ces arbres qui ont été plantés il y a 35 ans. Il serait bien d’arriver à mener des projets de réhabilitation en préservant le patrimoine végétal des villes.

    Sur les usages futurs, j’espère que la place sera belle et populaire, que le marché sera un marché utile, du quotidien ET propre.

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