À la Joliette, les commerçants des Docks tirent la langue ou baissent le rideau
Trois ans d'activité et toujours pas de décollage pour le centre commercial des Docks, où sept boutiques ont lâché l'affaire depuis le mois de septembre. Plusieurs commerçants ont entamé une procédure pour contester les charges jugées trop élevées.
À la Joliette, les commerçants des Docks tirent la langue ou baissent le rideau
Commentaires
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Messieurs Gaudin, Moraine, Tian, Gilles et compagnie ont une solution : un centre commercial à La Plaine ; et même un plan B : un centre commercial à l’usine Legré-Mante. Le plan C est en préparation, mais encore secret. D’après les fuites, ce serait une marina à la Commanderie.
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Et si c’était tout simplement un positionnement intermédiaire erroné des boutiques qui était la cause de la désaffection. En effet l’upperclasse recherche les marques haut de gamme ou premium, tout comme la clientèle basique. Et les classes moyennes privilégient l’entrée de gamme type boutiques ou rayons d’hypermarché. Résultat, l’offre intermédiaire ne correspond à personne surtout dans une ville ou le paraître est roi. Les choix d’enseignes ou de restauration soi disant alternative sont la vraie cause de la désaffection.
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Le miracle de la multiplication des centres commerciaux par Saint Jean-Claude n’a pas eu lieu. On trouve dans un rayon de quelques centaines de mètres le Centre Bourse, les Terrasses du Port, les Docks et les Voûtes de la Major, sans parler de la rue de la République et ses commerces de pied d’immeuble. Le tout dans un contexte où les achats sur internet connaissent une croissance annuelle à deux chiffres. Qui est surpris des difficultés rencontrées, honnêtement ?
Mais Gaudin s’en fout : les difficultés, ce sont celles des autres. Son inculture économique lui fait préférer le contenant au contenu, et les discours à la stratégie. Lui, il a fait ce qu’il sait faire : faire couler du béton et servir ses amis promoteurs immobiliers.
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et attendons les résultats du centre commercial du prado, je n’y vois pas grand monde. avant de vouloir faire dépenser de l’argent aux citoyens il faut leur permettre d’en gagner. MARSEILLE pète plus haut que son cul.
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Comme je l’avais dit bien avant, le positionnement tarifaire des boutiques était mal placé pour la population qui travaillait sur les Docks… Le déménagement des bureaux de la Métropole à la TLM n’a rien arrangé… Pas besoin d’être devin pour comprendre que le projet capoterai surtout dans une ville plutôt pauvre et le fait que les touristes sont assez intelligents pour ne pas être pris pour des vaches à lait !
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Comme d’habitude, avec ce genre d’article, on interroge que les mécontents. Ne voyez pas que la face sombre!
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Alors allez-y, racontez nous la face “réjouissante” !!!
Je suis depuis son ouverture un inconditionnel de cet endroit. Je m’y promène souvent…je déjeunais régulièrement dans un resto très sympa, tout au bout (pas de pub , il est fermé) bouffe correcte, prix sympa, bon vins proposés…. et loyer insupportable, charges incroyables, …travail à perte : fermeture !
La promenade est sympa, l’architecture y est agréable, et c’est….calme !! trop calme ! sûrement. Comme tout le monde je fais des courses dans les centres commerciaux. Mais la multiplication de ces endroits n’a pas multiplié mon pouvoir d’achat…..
Personne ne peut réellement être étonné du fiasco commercial des docks…. c’était quasiment un fiasco annoncé. Attendons de voir ce que va donner celui du prado…..
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Bonjour, j’ai lu presque le même article (un peu plus court) dans Le Ravi, vous en êtes également l’auteure, rien à redire…
Il me semble néanmoins qu’il serait de bon aloi de préciser ce partenariat également sur votre média, ne serait-ce que pour faire un peu de pub à Le Ravi ? Merci !
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Bonjour, c’est fait !
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Du point de vue de la conception, il y a une grosse bourde : l’archi (parisien ?) a ouvert les vastes portes des cours à l’ouest, en plein mistral ! On est pris dans des courants d’air glaçants tous les 20 m, ça vous coupe net l’envie de flâner et de faire des achats.
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Le bâtiment était mieux avant, et avait dû être réfléchi en fonction de ce “détail”.
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C’est tellement facile de multiplier les centres commerciaux, Terrasses du Port, Centre Bourse, Prado, Bonneveine, Valentine, Grand Littoral, Plan de Campagne (liste non exhaustive), je pensais qu’on faisait des études marché avant de lancer de tels projets…Ah oui c’est vrai Gaudin et les promoteurs, une grande histoire…
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Beaucoup de flâneurs et rares acheteurs … c’est ce qu’on appelle un concept …
Quant à une étude de marché , là n’est pas le souci majeur, l’important c’est le fric que va faire le promoteur !
Il y a longtemps que les enseignes solides financièrement ont quitté les lieux !
“pas folles les guêpes ” !
… et ainsi de suite pour tous ces centres commerciaux qui ne correspondent pas au niveau de vie des Marseillais , quant aux croisiéristes ils ont tout à bord et ne passent pas à Marseille pour les boutiques qu’ils trouvent chez eux !
S’encanailler dans le Chicago français et se faire un frisson à Noailles , quelle aventure !!!
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Quand on regarde a posteriori les chiffres avancés par VLASTO sur les dépenses estimées des croisiéristes à Marseille à l’époque ( aux alentours de 500 € par tête de pipe. Pour mémoire Barcelone est à 150 €) , visiblement le jaune fait plus de dégâts que la sangria sur les neurones des élus en matière de chiffres.
Tout est fait à la mairie de cette façon , on gonfle , on gonfle et puis un jour on explose.
Tiens à ce titre , j’ai une pensée émue pour l’hôtel TOYOKO St Charles , qui a du non pas écouter les sirènes d’Ulysse mais plutôt les fifres municipaux vanter le nouveau quartier branché de Pelletan , il se trouve au milieu d’un no man’s land depuis pas mal de temps et vu la vitesse des travaux cela risque de durer un bon bout de temps.
Je pense qu’ils doivent bénir tous les matins le Jean Claûûûûûûûûde.
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Et en plus pas sur que l’occupation actuelle leur fasse de la publicité, même si ces pauvres gens n’y sont pour rien.
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franchement je me demande si à Marseille on sait faire des études de marché, moi sans être une professionnelle es-commerce, je savais déjà que les Terrasses du Port ne serait pas la locomotive pour les Docks qui il est vrai est une réussite architecturale, mais pas plus. Idem pour le centre commercial du Prado où quelques grandes enseignes sont parties “emportées par les courants d’air”!! Catastrophe commerciale annoncée . la municipalité mène cette ville à la ruine et n’a toujours pas compris que beaucoup d’habitants sont pauvres
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Non sans raison, Alain Minc, l’homme qui parle à l’oreille des présidents, a trouvé le grand oral d’Alexandre BENALLA devant la commission sénatoriale « éblouissant ». « Du haut de ses 26 ans, sous la pression médiatique Alexandre BENALLA en aurait remontré, par sa maîtrise, à tous ces jeunes hauts fonctionnaires qui sortent de l’ENA avec encore du lait dans le nez » « Un directeur d’école aurait dû repérer BENALLA,… il aurait suivi la filière d’excellence française… il aurait fait polytechnique. (Source Le Canard)
Pourtant les spécialistes des études de marché ne devraient pas manquer. Il existe, en effet , implantée sur deux emprises, à Marseille une école de commerce, oh pardon, une business School, dénommée KEDGE (pourquoi faire simple ?). La première implantation de cet établissement se trouve à proximité du parc national des Calanques, sur le campus de LUMINY qui prétendent-ils « intègre une architecture moderne au sein d’un environnement naturel. Il se situe à 20 minutes du centre-ville en bus et à quelques km de Cassis »
la seconde implantation, le campus de La Joliette (Espaces Gaymard/Grand Large) est dédiée à la formation continue, est située au cœur de Marseille dans le quartier d’affaires de La Joliette.
À ce propos, plutôt que de vandaliser les pins séculaires du site de Luminy, n’aurait-il pas été plus rationnel de regrouper les deux sites dans le quartier des affaires de la Joliette, ce qui aurait permis aux étudiants actuellement à Luminy, de se trouver à proximité du quartier d’affaires de la Joliette et du Grand Port Maritime
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On ne peut pas créer des clients ex nihilo, l’offre sur Marseille et ce secteur est juste hallucinante, mais sans doute les escrocs qui ont mis en place cette martingale le savaient-ils… Malgré ce que la mairie souhaiterait, Marseille reste une ville pauvre, avec un nombre important de gueux, qui n’ ont pas les moyens d’aller jouer aux bobos dans les lounges et autres boutiques artychic qui parsèment les rêves des désigners metrosexuels importés par wagons entiers de TGV de la capitale…
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Jouons à la conjugaison :
Je con-somme
Tu …
Il-elle-on …
Nous …
Vous …
Ils-elles …
Si vous êtes en forme, passez au verbe “être”, vous verrez, c’est assez cool comme sensation.
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