Une histoire de Marseille en six épaves englouties

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le 13 Fév 2014
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Une histoire de Marseille en six épaves englouties
Une histoire de Marseille en six épaves englouties

Une histoire de Marseille en six épaves englouties

A quelques mètres au large, 200 épaves à ce jour recensées racontent 26 siècles de la vie du port de Marseille. De l’antiquité à la seconde guerre mondiale, ces navires engloutis à cause d’une tempête ou d’une erreur de navigation reposent à des dizaines de mètres sous la surface de l’eau. La journaliste Valérie Simonet fait émerger […]
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Commentaires

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  1. jml13 jml13

    Merci de nous avoir signalé ce film qui s’annonce passionnant.

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  2. Monette Monette

    Ce commentaire m’intéresse au plus haut point. Je souhaiterais en avoir un enregistrement DVD. Je n’ai pas d’enregistreur. Merci de m’indiquer la façon de procéder. Est-il possible de se procurer un DVD auprès de FRANCE 3 ? Merci.
    Cordialement
    Monette

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  3. Monette Monette

    Ce commentaire m’intéresse au plus haut point. Je souhaiterais en avoir un enregistrement DVD. Je n’ai pas d’enregistreur. Merci de m’indiquer la façon de procéder. Est-il possible de se procurer un DVD auprès de FRANCE 3 ? Merci.
    Cordialement
    Monette

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  4. JL41 JL41

    Et pour les temps modernes on a eu le Napoléon Bonaparte et le Marseillois.

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  5. JL41 JL41

    Vous pourriez écrire aussi une histoire de Marseille à partir des bateaux qui ont échappé au naufrage. Il y a par exemple parmi les ex voto de Notre-Dame de la Garde, un navire négrier marseillais (en peinture) qui rend grâce à la Bonne Mère d’avoir pu échapper à ses poursuivants. Après l’abolition de la traite négrière à la Révolution Française, les navires corsaires avaient le droit d’arraisonner les navires transportant des esclaves. Quelques armements marseillais s’adonnaient à ce commerce peu visible, puisqu’il s’opérait entre les côtes africaines et le Madagascar ou La Réunion, où les exploitations agricoles et minières de nos colonies avaient besoin de main d’œuvre. Mais le champion de l’époque était le port de Nantes, où les armements britanniques tenaient le haut du pavé.

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