Test de résistance pour le journal La Marseillaise

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le 20 Nov 2014
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Ce jeudi, La Marseillaise a inauguré une exposition sous le signe de la résistance. Si le travail de l'association le groupe Marat accueilli par la Maison de la région se concentre sur la naissance du journal dans la clandestinité il y a 70 ans, c'est une résistance plus actuelle qui était dans toutes les têtes. […]
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Commentaires

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  1. ALAIN PERSIA ALAIN PERSIA

    La mesure qui pourrait sauver la Marseillaise serait le départ de MONTANA et consorts qui y pantouflent et ne servent plus à rien car ils n’ont pas une vision moderne de la presse papier et internet.
    Pourquoi ne pas aider via une aide de certaines collectivités et une souscription publique?
    Lepersonnel et les donateurs pourraient gérer ce beau journal qui mérite de survivre pour la pluralité d’opinion.

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  2. Anonyme Anonyme

    Le pluralité d’ opinion dans la marseillaise c est une grosse blague là. L information n est traitée qu a travers un seul prisme celui des communistes. Seuls les élus communistes sont entendus. C est pellicani qui va faire la tronche….

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  3. GM GM

    en face de la Marseillaise il n’y a que la presse de Tapie
    et c’est un journal qui depuis des années s’intéresse à autre chose que les ” centres commerciaux ” ou l’OM La culture , par exemple

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  4. Anonyme Anonyme

    je ne vois pas pourquoi un journal, quel qu’il soit, vivrait avec des subventions des collectivités locales. au nom de quoi?

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  5. Prends du Cacao mon Frere. Prends du Cacao mon Frere.

    Elle peut exister cette presse qui voit le monde organisé différemment mais il faut rajeunir les cadres,les méthodes et les principes,il faut innover,chercher,s imposer,recruter et sourire.
    En un mot ce sera dur mais pourquoi pas.

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  6. JR Laplayne JR Laplayne

    Mr Bousquet directeur de la Marseillaise pourrait-il nous dire pourquoi ce journal n’a jamais sérieusement parle des affaires de Guerini?Alors la ligne éditoriale n’est pas que communiste elle est aussi Gueriniste.

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  7. Anonyme Anonyme

    montana est essentiel car il est dans les vrais reseaux
    ce n est pas la gauche qui perdrait mais bien les gens d un certain mileu

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  8. piqueboufigue piqueboufigue

    ah la marseillaise,georges marchais,les communistes,les greves la cgt les dockers,le port autonome,la rtm,moscou,l union de la gauche qui nous a amené un certain mitterand au pouvoir,moi a la place je verrais bien un centre commercial mais uniquement alimentaire,pas de fringue,un marché provençal,chic et pas cher,hummmmmmmmm.

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  9. Anonyme Anonyme

    peut être verra-t-on enfin ce bel immeuble refait, c’est une honte de l’avoir laissé aussi longtemps ce dégradé comme ça!!!
    que le journal et son imprimerie partent vers salengro pourquoi pas…..

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  10. pucciarelli pucciarelli

    La chute prévisible de ce titre jadis prestigieux était annoncée, et plus que probable pour peu que l’on connaisse un peu le système réel de gestion de cet ancien “quotidien communiste”, qui avait remis depuis longtemps son sort entre les mains des publicitaires. M. Jean Laplayne (s’agit-il de l’ancien “patron” du Provençal?) met le doigt sur la difficulté majeure de La Marseillaise: le manque chronique de rentrées financières et es errances de positionnement qui vont avec. Avec en corollaire l’absence d’une ligne éditoriale franche. Marseille a un vague journal généraliste avec La Provence, cela lui suffit. Pourquoi pas soutenir La Marseillaise? mais au nom de quel combat? Voilà une question que les dirigeants de La Marseillaise ne doivent pas être les seuls à se poser.

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  11. Trésorier Trésorier

    Je ne suis pas communiste, mais la perte d’un journal partisans serait une perte pour la liberté d’expression.

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  12. Anonyme Anonyme

    Après la guerre, à Marseille, il y avait cinq quotidiens, sans parler de celui du soir. Il n’y en aura bientôt plus qu’un.
    Ont successivement disparu “Rouge-Midi” qui doublonnait avec La Marseillaise, puis La France qui ne se différenciait guère du Méridional. Ce dernier a été repris par Le Provençal qui s’est lui-même transformé en La Provence. Quant au Soir, qui était édité par Le Provençal, il a disparu purement et simplement il y a près de quarante ans. La Marseillaise, qui bat de l’aile depuis longtemps, risque d’être la prochaine victime. Il restera la Provence. Pourra-t-elle tenir longtemps ?

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  13. JL41 JL41

    Après la guerre les gens lisaient, maintenant ils sont devant la télé. Et qui lit plus d’un quotidien, pour répondre à ceux qui évoquent le pluralisme de la presse ? Les médias actuels exploitent nos émotions et nous incitent à consommer, pas à réfléchir.
    Ce qui est nouveau, c’est que nous avons maintenant l’internet où chacun cherche ce qui l’intéresse. Il offre le moyen de peser le « pour » et le « contre » mieux qu’on pourrait le faire dans un seul journal. La Provence est ouverte aux commentaires acceptables par ce journal qui ne veut pas fâcher ses annonceurs. La Marseillaise est également ouverte aux commentaires mais cette fonctionnalité était peu utilisée par les lecteurs, trop peu nombreux ou pas toujours très jeunes. On trouve dans Médiapart des articles critiques sur notre région, souvent en association avec Marsactu, deux purs journaux en ligne. Le Ravi qui a parfois été complaisant avec ses financeurs est en train de rendre l’âme : le CG13 aurait diminué sa subvention de 90% et la région de 44% (source Marséco). C’est triste aussi. La région subventionne maintenant GoMet, tandis que la Mission interministérielle pour le projet métropolitain fait la pub de ce nouveau média en ligne : http://www.mouvement-metropole.fr/newsletter/voir/id/1-novembre-2014/categorie/8-citoyennetes.sls
    S’y expriment aussi les brillants universitaires qui avaient travaillé aux programmes qui ont débouché sur l’échec des candidats de gauche aux deux dernières municipales. Le problème est que pas grand monde ne semble lire GoMet et que personne ne commente les articles du « web média qui colle au territoire ». Les articles de Marsactu et les commentaires de ses lecteurs s’intéressent aussi au territoire, mais ils ne sont pas à la colle des discours officiels sur la métropole. Marsactu c’est aussi une communauté de lecteurs où des opinions assez diverses s’affrontent, ce dont témoignent les commentaires. Nous avons donc presque autant de supports de presse, papier et en ligne à Marseille, qu’à la Libération.
    Il ne faut pas non plus voir l’actualité, même locale, seulement au travers du prisme de la presse locale. Il y a des quotidiens nationaux et beaucoup de ressources en ligne sur le national et l’international. Qui parfois remettent en perspective notre actualité locale.

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