Tapie et les journalistes à Marseille, c'était ça

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le 10 Fév 2013
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Tapie et les journalistes à Marseille, c'était ça
Tapie et les journalistes à Marseille, c'était ça

Tapie et les journalistes à Marseille, c'était ça

De la relation de Bernard Tapie avec les journalistes, il est d'usage de ne retenir qu'une phrase : "A quoi ça sert d'acheter un journal quand on peut acheter un journaliste ?" Impossible de retrouver trace de l'origine de la bravade. Si celle-ci est peut-être apocryphe, elle est assurément réductrice lorsqu'il s'agit de définir le comportement du nouveau patron de presse quand il croise un stylo, un micro, une caméra. Ceux qui l'ont côtoyé, pratiqué, à Marseille dans les années 80 à 90 ne sont plus si nombreux en activité : à la retraite pour certains, convertis à un nouveau métier pour d'autres. Mais les souvenirs, partout vifs, convergent bien ...
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Commentaires

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  1. laplayne laplayne

    la provence n’a pas besoin de tapie pour être nulle et ses journalistes sont complices et acteurs de cette nullité.
    avant tapie ils étaient nuls et ne sortaient rien avant les autres.
    Entre trente ans, pas un scoop, faut le faire.
    avec tapie, ils auront une excuse. On comprend pourquoi ils sont silencieux…

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  2. wgasm wgasm

    Attention, le logo en dessous de l’affiche très réussie “tapie NEW year” est un symbole de la Waffen SS.

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  3. Anonyme Anonyme

    Qui pourrait avoir un tel comportement dans notre pays.
    J’espère que ceux qui sont dans le film se voient.

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  4. Anonyme Anonyme

    Qui c’est, cet enfoiré bedonnant avec son pull rayé.

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  5. Hallain Hallain

    “Entre trente ans, pas un scoop, faut le faire”
    Faux! Au moins un scoop -et pas régional:national!- Le Provençal (La Provence n’a pas 30 ans!…) a

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  6. Legendre Gérard Legendre Gérard

    Le responsable de votre magazine a changé alors pourquoi pas Tapie. En effet la formation du dirigeant de Marsactu n’est pas une formation de journaliste mais celle d’un intégriste de la Pub. Aujourd’hui il est journaliste et à mon sens un bon journaliste. Pourquoi seul Tapie n’évoluerait pas ?

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  7. Legendre Gérard Legendre Gérard

    La vraie question c’est l’attaque perso systématique comme avec Cahuzac qui finit en queue de poisson; En attendant le mal est fait.

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  8. Anonyme Anonyme

    A la place de Tapie je me presente ! et attention aux couches culottes apres !

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  9. Electeur du 8e Electeur du 8e

    La question n’est pas exactement de savoir si Tapie peut évoluer ou non, mais plutôt de savoir pourquoi il s’est rendu propriétaire d’un réseau de presse régionale – et de celui-ci en particulier. Il y a probablement d’autres entreprises en difficulté en France qui cherchent des repreneurs. Il est très peu probable que les raisons de ce personnage soient purement philanthropiques… Mais on ne sait jamais en effet : peut-être apprendra-t-on demain qu’il se porte candidat à la succession du pape…

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  10. Pesciu Pesciu

    Si l’on devait ressortir tous les dossiers peu reluisants en France, il vaudrait mieux se bourrer de Tranxène tout de suite. Quel intérêt, cet article ? L’actuualité est donc si pauvre que cela à Marseille, nos cerveaux ne sont-ils pas déjà suffisemment enfumés par des reportages partiels autant que partials ? Pour LCM et son “regroupement géographique” destiné à faire des économies d’échelles en matière de coûts de personnel, il n’y a pas de Bernard TAPIE caché derrière les rideaux, que l’on sache. Cela fait moins de bruit, et il ne semble pas que les journalistes de LCM aient été conviés au lever de rideau de ce soir à la Criée ? Vous faites une différence, vous, journalistes de Marsactu,entre le mode de traitement subi de nos jours par les journalistes de LCM, et celui que vous avez vécu il y a quelques années ? Madame IRMA embauche, il y a du taff pour ceux qui croient pouvoir prédire l’avenir… Avoir peur de son ombre ne conduit nulle part, à part . A ce jour, il ne semble pas que quiconque vous ait censuré ? A part de ça, alors, grands reporters marseillais, de quoi pourriez-vous nous informer, qui nous donne un peu la pêche, l’envie, le sourire, l’espoir, le moral ? Les idées manquent, pas les sujets.

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  11. Labatt Labatt

    Un seul mot pour ce Tapie : BORDILLE !
    Il comprendra…

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  12. Simon L Simon L

    A cette heure votre débat à la Criée est en cours, . Je ne sais pas ce qu’il sortira de votre soirée, mais voici mes impressions sur votre article : encore une fois trop d’honneur envers le personnage et un brin d’admiration qui perce,comme toujours ” genre viril on est en face d’un vrai homme …”
    Exemple le propos de Noir ” il n’appelle jamais ton patron …” dit cet ex de la Provence, bref ce serait un mec franc du collier, genre bandit d’honneur façon légende marseillaise, ” il te parle en face au moins” … C’est du pipeau, mais ça fait bien dans un article … et puis un brin de cabotinage, j’imagine Noir en train de “rudoyer” Tapie à l’époque dont il parle. Faire la ” politique” à cette époque pour un “journaliste” du Provençal relevait d’autre chose que d’informer …. Et puis il y a celui qui ” ne veut pas crier avec le loups”, il ne s’agit pas de crier mais de dire simplement les choses telles qu’elles étaient.
    Un espoir peut-être … que l’enquête parlementaire demandée par Mennucci, aboutisse, comme la plainte des anciens de la Comareg contre GHM, c’est vers là qu’il faut chercher … Rien attendre des “has been recyclés” auxquels vous donnez la parole

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  13. Anonyme Anonyme

    TRES déçue du débat de ce soir ! Il fallait bien évidemment laisser une place à la tribune aux journalistes de la Provence, ou du moins les faire oarler plus tôt, avant que chacun fasse son petit satsfecit style “la presse libre c’est nous”, suivi immédiatement de la quête “mais on a besoin de vous, on a la presse qu’on mérite, etc….”

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  14. On ne se couchera pas On ne se couchera pas

    Le debat d hier etait tres decevant. Bcp de portes ouvertes enfoncees bcp de radotage autosatisfait de vieux journalistes pour ne rien dire de l affligeante prestation de foulquier. Et cette impression d une arnaque: les pure players venant faire leur pub (la vraie presse c est nous!) et pas eclairer les vrais enjeux pour la presse ecrite aujourd hui. Des journalistes de la provence hues parce qu ils venaient dire que non ils ne travaillent pas le pistolet sur la tempe. La vraie pression pour eux ne vient pas de tapie mais de la precarite de leur avenir, du reste pas pire que celui de leurs confreres de pqr ou parisiens. Personne hier n a parle emplois et c est dommage. Des milliers de familles dependent de la survie de la provence. C est pourtant le coeur du probleme.

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  15. jardin jardin

    L’ÉTAT DE LA PRESSE
    Est-ce seulement un problème Tapi ou bien un problème, plus large, des mœurs de la presse? L’ancêtre de La Provence, Le Provençal, ne mangeait-il pas dans la main de Gaston Déferre?
    L’indépendance relative d’un journal et de ses journalistes, c’est d’abord celle de son patron. En quoi tel grand hebdomadaire national, propriété d’un grand industriel -de l’armement ou des médias, au hasard- est-il indépendant face à certains dossiers? Il est vrai que La Provence et son prédécesseur n’ont pas fait preuve d’une pugnacité remarquable dans la plus part des dossiers chauds de l’histoire de la région. Tapi donne simplement une image “contemporaine” de la manière d’agir. Il est “directe”, souvent grossier, parfois violent et… ça se sait. D’autres dirigeants de presse à Paris, comme à Marseille, interviennent auprès des chefs de service des journaux pour censurer un article ou empêcher sa parution. La plus part du temps, ce n’est même pas nécessaire, les dossiers “chauds” ne sont pas “couverts” par les journalistes. Cette remarque est aussi valable pour la presse audio visuelle.

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  16. Anonyme Anonyme

    Avant La Provence il y a eu le Méridional et le Provençal puis les deux ont “fusionné”. Certains journalistes sont parti avec de confortables indemnités (bienheureuse “clause de conscience” : quand on est à peu d’années de la retraite c’est le jackpot!) d’autres avec un coup de pied au derrière pour solde de tout compte. Les syndicats ont fait profil bas et laissé courir. Donc La Provence est née… journal ménageant la chèvre et le chou, toujours du coté du manche politique et dans les intérêts de ses annonceurs publicitaires. Jamais d’article de fond, jamais de polémique… bref le journal que les papys achètent le matin avec la baguette pour savoir qui est mort dans le quartier et si on a bien fêté les 100 ans de Germaine leur voisine. Au fil du temps se sont instaurées des dynasties, le journal a servi de fourre tout à tous les fistons et apparentés incapables de faire autre chose et qui trouvent là une place au chaud, pas trop mal payée et sans surprise. Comment voulez vous dans ces conditions avoir la qualité?

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