Municipales à Marseille : les partis de centre-droit toujours à la recherche d’une boussole
Modem, UDI, Agir : les partis de centre-droit cherchent toujours le bon chemin entre Yvon Berland, Martine Vassal et Bruno Gilles.
Des élus LREM et leurs alliés centristes locaux lors d'un meeting pour les européennes (Image JML)
Commentaires
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les gratte-miettes passent à l’action et attendent que la girouette leur donne une direction à suivre.
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J’aime tellement le centre-droit à Marseille, que je me régale de voir le MODEM, l’UDI et AGIR répartir leurs voix entre Yvon Berland, Martine Vassal et Bruno Gilles.
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c’est pas une boussole qu’il leur faudrait, c’est un saint hubert ou un labrador…..
quand on voit la brochette sur la photo !! problématique !
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Sur la photo, n’y a t’il pas Melanie Frey de France 3 Provence ?
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« Martine Vassal, une bonne candidate pour le premier tour » selon l’une des voix du Modem local (parmi d’autres ?). C’est là qu’on voit combien ce parti est un parti de rupture : choisir l’héritière, c’est typique du marais centriste en France, plus soucieux de se constituer une rente pour quelques élus que de défendre des convictions.
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« L’immobilisme est en marche et rien ne peut l’arrêter. » Edgar Faure
Cette citation dénote bien l’état d’esprit politique enraciné des centristes marseillais de droite comme de gauche…Des candidat.e.s connu.e.s,non pas pour leurs profondes convictions,mais pour leur acharnement à occuper une place éligible et surtout rentable;aussi,prudents, ils ne s’engagent dans une mouvance de combat que si le vent des sondages leur est — très,à coup sûr— favorable.La fidélité affichée dans leur variabilité est l’essence de leur existence. Avec le déclin et la suppression des édicules publics,leurs principales difficultés matérielles résident,tous les six ans, à trouver une salle de réunion.
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