Mobilisation lycéenne : “On veut pas être la génération crash-test”

Reportage
le 4 Déc 2018
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Les lycéens marseillais se sont mobilisés lundi pour organiser les blocages de tout ou partie de douze établissements. Les témoignages recueillis au gré des établissements bloqués donnent à voir de réelles inquiétudes face aux réformes en cours, et une ambivalence des lycéens face au mouvement des gilets jaunes.

Mobilisation lycéenne : “On veut pas être la génération crash-test”
Mobilisation lycéenne : “On veut pas être la génération crash-test”

Mobilisation lycéenne : “On veut pas être la génération crash-test”

En les voyant scander en chœur la Marseillaise ou un air inspiré d’un chant de l’OM, difficile sans les sous-titres de comprendre les revendications portées par les lycéens qui ont mené des actions de blocage dans douze établissements ce lundi à Marseille. “On a peur que l’on décide de notre avenir à notre place” résume pourtant Matéo, […]
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Commentaires

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  1. Éric Schulthess Éric Schulthess

    Petite coquillette dans votre reportage, Adrien : « Les témoignages recueillis au grès… (au gré) 😉

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    • Adrien Simorre Adrien Simorre

      Merci pour votre remarque, et désolé pour cette erreur : c’est corrigé !

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  2. Electeur du 8e © Electeur du 8e ©

    Il y a deux méthodes pour appliquer une réforme du lycée : la préparer à l’avance, puis l’appliquer progressivement, en commençant par la seconde une fois que tout est prêt (programmes, manuels, profs…) ; ou bien décider qu’elle va s’appliquer dans la précipitation à tout le monde au même moment, y compris aux lycéens aujourd’hui engagés dans les filières telles qu’elles existent, et avant même que les profs sachent “ce qui va être enseigné l’an prochain”…

    Le gouvernement a choisi la seconde méthode, sans doute parce que le passage en force est une forme de pédagogie. Mais que les lycéens qui craignent d’être “la génération crash-test” se rassurent : s’ils rencontrent des difficultés, les CRS et les gendarmes mobiles sauront soigner leur mal-être à la matraque.

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