"Il y a un écosystème de l'innovation très structuré dans la région"
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Ce n’est pas un peu loin gap pour remplir le labo ?
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Voilà, il n’y a plus qu’à s’occuper de la partie développement économique et business. Combien de profils de ce type avec une expérience des marchés sur ces dizaines de personnes ? Combien en revanche de copains recasés dans ce bidule et qui n’ont jamais vu l’entreprise, où il y a quinze ans avant l’arrivée de l’économie numérique ? Combien de projets qui ne seront pas de la technologie pure pris en charge ?
Alors bien sur vu les budgets affolants, tout les responsables vont se taper les cuisses en se ventant de leurs résultats. Mais qu’ont donné les politiques de pur transfert technologique de ce type depuis ces dernières années ?
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La Satt Sud-Est est un tout jeune outil qui aura à peine deux ans d’existence à la fin de l’année. Le bilan du 1er exercice qui situe bien l’activité de cette société d’accélération des transferts de technologie, se trouve ici : http://www.sattse.com/wp-content/uploads/2013/03/SATTSudEst_RapportAnnuel2012_BD2.pdf
Paul Molga, un des meilleurs chroniqueur économique de la région, faisait remarquer dans les Echos que le budget de cet outil était 40 fois supérieur à ce qui se pratiquait de façon dispersée en PACA. La région finance depuis plusieurs mandatures diverses actions en faveur des technopoles, des TIC, ou participe aux actions publiques. La Satt Sud-Est bénéficie d’une dotation de départ de 78 M€ libérables par tranches sur 10 ans.
Depuis la création de l’Anvar en 1967, il n’existait évidemment rien de très sérieux pour mener ces actions, Anvar comprise. On peut penser qu’avec le temps des compétences se sont dégagées et qu’elles ont trouvé à s’employer dans ces nouvelles structures que sont les Satt. Le regard critique d’Elise dans son commentaire n’est pas de trop. Dans ce milieu, comme dans celui des incitations à la création d’entreprise, on voit des chargés de mission conseiller les entreprises, alors qu’ils ne sauraient pas eux-mêmes en créer une. C’est la bonne planque pour ceux qui ne veulent pas affronter la réalité. Olivier Fréneaux, physicien de formation a créé en 1983 à Strasbourg, IREPA Laser, à un moment où cette technologie était nouvelle.
Maintenant, il faut aussi voir ce que l’Université a à donner et on retombe là sur la question ancienne de l’employabilité (tout un esprit) et des compétences en sortie, où des initiatives antérieures de transfert ont un peu joué le rôle de la feuille de vigne. On trouve dans un récent article du Monde un classement des universités qui préparent le mieux à l’emploi : http://www.lemonde.fr/education/visuel/2013/12/18/les-universites-qui-preparent-le-mieux-a-l-emploi-dans-quatre-champs-disciplinaires_4336276_1473685.html
Dans le domaine des Sciences et technologies, l’université d’Aix-Marseille se classe 43è sur 54.
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Gap est désespérément proche de tout. Il ne lui manque que quelques chemins.
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