Trente ans après, la Friche espère toujours habiter la Belle-de-Mai
La Friche la Belle-de-Mai fête ses 30 ans et s'interroge surtout sur son ancrage dans le quartier dont elle porte le nom. Son nouveau directeur, Alban Corbier-Labasse est conscient des enjeux symboliques de cette inclusion.
Article intéressant. simple spectateur aimant me rendre à la Friche, notamment pour Utopia festival ou autre,je me suis souvent demandé si les dirigeants étaient conscients du fossé social et/ou s’ils s’en foutaient.
On verra la suite.
Bon courage à eux, ce sont des questions complexes
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« Une machine à start-up qui ne crée rien”. Ou, une machine à start-up qui ne créent rien?
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“Les projets seront écologiques, sociaux, culturels, numériques, et ils sont accompagnés par diverses structures. L’AMI [Aide aux musiques Innovatrices] par exemple qui est chez nous et qui fait de la création musicale y participe largement”
Effectivement discours très macronien avec tout le vocabulaire des communicants : écologie, social ………
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Il y a une mauvaise conscience chez les gens de la culture ui veulent à tout prix “inclure” les publics pauvres qui ne viennent pas à leurs événements.
Doit-on aimer l’art contemporain ? Faut-il apprécier les musiques électroniques ?
Et vous, vous allez au stade ou concert de Jul ? Non.
Si on regarde les choses sous un autre angle, il y a une sorte de condescendance qui n’est pas sans rappeler les missionnaires coloniaux.
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Avant d’habiter la Belle de la Mai, la Friche avait essayé d’habiter la friche par un beau projet de logement social participatif. Mais la Dame urbanisme LAC et son administration bien inspirée l’avait sèchement enterré après deux ans de process. Ironie de l’histoire gît aujourd’hui, sur la même parcelle, un beau parking Vinci.
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