Léa Vivier : “Je n’ai pas envie que mon métier soit toute ma vie”
Un peu adulte, complètement, pas encore. Comment vit-on lorsqu'on a 20 ans en 2020 à Marseille ? Pour cette chronique sonore, le documentariste Pascal Messaoudi part à la rencontre des femmes et des hommes nés en 2000. Léa Vivier n'en peut plus du confinement et aspire à reprendre sa vie là où elle l'a laissée.
Léa Vivier : “Je n’ai pas envie que mon métier soit toute ma vie”
Léa Vivier en a marre. Le soleil ne fait pas tout. Depuis un mois, elle a 21 ans et se tape le confinement à Cassis chez ses parents. Elle a laissé “ses amours, ses amis, ses projets” à Paris où elle suit des cours en licence de sciences sociales. Enfin elle suit… Façon de parler en 2020. “J’ai raté la première semaine parce que j’étais cas contact, ensuite les cours étaient une semaine sur deux en présentiel puis plus rien”. Elle est donc retournée chez ses parents, le temps du confinement, mais elle a laissé derrière elle sa vie de jeune femme, ses projets de cinéma.
Simplement, avec une belle énergie qui craque comme une pomme sous la dent elle raconte ses choix, ses hésitations. “J’ai envie d’être tranquille, j’aspire à un apaisement”, dit-elle en pensant à ce que le professorat pourra lui apporter. Elle a toute la vie pour changer d’idées.
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