Carlos Miguel, sans abri dans les bras de l’Huveaune
Le photographe vénézuelien Emilio Guzman, collaborateur régulier de Marsactu, raconte en mots et en images sa rencontre et la relation qu'il a créée avec Carlos Miguel, sans abri qui s'est construit un lieu de vie de fortune dans un recoin sauvage de Marseille.
Carlos Miguel vit dans un petit campement sur les bords de l'Huveaune où il a créé son propre monde. (Photo : Emilio Guzman)
C’est trés beau , merci Marsactu
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Peut-on lui proposer du bricolage dans un petit jardin, avec un dédommagement bien sûr ?
Dans ce cas, puis je le joindre où le rencontrer dans un lieu qui lui est habituel? Mon tél : 0682562503. Merci de me donner des nouvelles. Cordialement.M.J.C.
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A quelques encablures de là, beaucoup plus exposée aux regards, une famille Rom avait construit un abri de fortune depuis un ou deux ans.
Un incendie a emporté le campement et quelques arbres qui l’ombrageaient dans la semaine.
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Bonjour,
Je suis passé devant… Sait-on si c’était criminel ? La coïncidence avec la publication de cet article est frappante.
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@SiFo, il y aurait eu une bagarre entre ces personnes qui a donc mal fini. C’était jeudi matin à 10h, rien à voir avec l’article.
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Un SDF qui vient des Iles Canaries – beau pays – un photographe sud-américain qui vient du pays de Hugo Chavez, un chien battu qui ne l’est pas se retrouvent à Marseille. Pas à Lyon, pas à Bordeaux, à Marseille. Cela pourrait être le début d’un roman marseillais à tiroirs et mystérieux, mais comment arrive-t-on ainsi sur les bords de l’Huveaune, une rivière tout de même moins séduisante que l’Atlantique sud ? Voilà l’idée qui m’a traversé l’esprit en vous lisant !
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Ce matin, sur les berges de l’Huveaune après l’avenue de Mazargues, 3 camionnettes ont totalement vidé les lieux d’un squat (?) en contre bas, au bord de l’eau. Je ne sais pas s’il s’agit de celui de C. Miguel mais ce que je vois sur les photos semblaient être sur les camionnettes… Emilio en saurait-il plus, par ce que là pour le coup, ca arrive bien après l’article… J’ai cru un instant au nettoyage des berges, mais la présence de la police n’est pas justifiée dans le nettoyage.
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Marseille : le monde entier dans la goutte d’eau d’un petit fleuve côtier … Merci à Carlos Miguel, Emilio et Lisa, c’est puissant !
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