Sabrina Agresti-Roubache regrette “de ne pas avoir mis Marseille sous tutelle”
Alors que les réactions se multiplient après la parution officielle du rapport d’évaluation du plan Marseille en grand par la cour des comptes et la chambre régionale des comptes, c’est au tour de l’ancienne secrétaire d’État chargée de son suivi, Sabrina Agresti-Roubache (Renaissance), de s’exprimer. L’ex-membre du gouvernement donne une interview dans Le Point ce mercredi 23 octobre. Dans cet entretien, elle déclare : “Nous aurions dû mettre Marseille sous tutelle.” “Sur les transports, nous sommes parvenus à faire avancer les choses. Bien mieux que sur les écoles. C’est ce volet qu’on aurait dû mettre sous tutelle”, pique encore l’ancienne représentante de l’État.
Sabrina Agresti-Roubache cingle au passage les différents acteurs politiques locaux de ce plan : “Si on ne leur impose pas une surveillance stricte, les équipes locales désignées ne travaillent pas.” Avec un coup pour la présidente de la métropole et du département : “Martine Vassal n’a pas assumé le risque politique de modifier les attributions de compensation des communes et n’a pas financièrement restructuré la métropole comme cela avait été demandé. Il a manqué un peu de courage.” Et un autre pour le maire de Marseille : “Le vrai problème, c’est la gouvernance marseillaise. Je souhaite sincèrement à Benoît Payan de réussir, mais il n’est pas aidé. Il n’a pas de stabilité dans son entourage et les bons sentiments ne règlent pas les problèmes. Il y a un vrai problème de compétences. Ça me rend folle.” L’ex-secrétaire d’État est par ailleurs l’une des invités, le 8 novembre prochain, d’un débat sur les résultats du volet écoles du plan Marseille en grand organisé par la droite locale.
Source : Le PointCommentaires
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et rappelons nous qu’à cette époque SSabrina Agresti-Roubache était de longue sur les plateaux de CNews ou en interview dans le JDD formule Boloré.
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“. Il y a un vrai problème de compétences. Ça me rend folle”
Selon l’article de Wikipédia :
“Après un bac littéraire, elle entame des études de droit, qu’elle abandonne pour travailler dans l’audiovisuel, notamment auprès du groupe de rap IAM. ”
Elle a donc tellement acquis de compétences (certes non validées par des cocours anonymes comme les fonctionnaires) ce qui lui permet de faire plein de choses. Toujours selon le même article :
“Elle est membre du conseil de surveillance de l’aéroport Marseille-Provence, du conseil d’administration de la fondation d’entreprise de la Française des jeux, du FRAC à Marseille et de la société World Trade Center Marseille Provence qu’elle occupait jusqu’à son élection. ”
Ou alors elle a des connaissances ???
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Être compétent, c’est avoir fait des études? !!!
Ça se saurait …..avec la flopée d’énarques qui ont ruiné la France
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Cher Peuchère, Mme Agresti-Roubache ne doit ses jetons de présence qu’à sa proximité avec le couple présidentiel, en particulier avec Mme Macron. N’importe qui peut être nommé ou coopté pour siéger dans un conseil de surveillance. Par contre, on ne peut pas dire que cette fonction donne beaucoup de compétence.
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@Peuchere : il y a aussi quelques médecins qui tuent leurs patients mais je suppose que vous ne vous faites pas soigner par quelqu’un qui n’a pas fait médecine ?
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Pierre Bérégovoy était cheminot à la base et il a finit 1er ministre.
Sabrina Roubache n’a peut être pas fait de grandes études, mais elle a monté sa boite, a su prendre des risques et a au moins prouvé qu’elle pouvait progresser en dehors du parcours classique.
Vous avez une vision bien conservatrice de la promotion sociale !!!
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Sûrement pas, M Thiais, j’en connais trop qui ont bénéficié de cette promotion et que j’admire.
Mais on peut revisiter le parcours de Bérégovoy qui a fait sa carrière dans le militantisme ( il est loin d’être le seul et certains ont même été intégrés à l’ENA, et sont donc devenu énarques que par anti élitisme primaire on dénigre à tout propos) mais qui, de mémoire, ne s’est jamais permis de traiter les autres d’incompétents.
C’est là toute la différence.
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Peuchere, que vous êtes naïf, c’est presque touchant.
Que Sabrina Agresti ait fait des études ou non, on s’en moque totalement.
Qu’elle ait créé sa société ou non, on s’en moque aussi
Sabrina Roubache a surtout fait un bon mariage, comme toute femme politique marseillaise de droite qui se respecte
Ensuite elle a surtout été bonne copine avec une autre femme bien mariée
Rien de plus. Pas de quoi s’extasier comme parcours
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super woman arrive, compte tenu des performances des gouv auprès desquels elle a bossé marseille est sauvée
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Je n’ose même pas imaginer l’élégance avec laquelle elle a dû nous dire tout cela.
À la radio (nationale), elle me fait honte d’être marseillais, la vraie cagole qui ne sait pas dire trois phrases, sans 2 fautes de syntaxe et de grammaire et pire sans tout ramener à elle.
Moi je, moi je…
Avant les journalistes interrogeaient la poissonnière sur le vieux port, maintenant ils interviewent sabrina
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Martine Vassal n’a pas touché aux attributions de compensation ?! Mais quelle surprise !!
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Et Mme Roubache n’a pas été ré-élue
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“Sur les transports, nous sommes parvenus à faire avancer les choses.” On est content de l’apprendre. Certes, nous allons bientôt avoir un tramway Gèze – Dromel qui permettra de faire en surface le trajet que fait le métro en souterrain, mais à part ça ?
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le doublement sur/sous terre est une spécialité locale, la rtm pense aux claustrophobes marseillais
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C’est elle qu’il faut mettre sous tutelle,et renforcée !
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comment se fait-il qu’on en entende encore parler, elle n’a plus aucun rôle officiel.
elle a piloté, de loin et en surface, le plan au départ…le suivi n’existant pas ou mal selon la crc, elle est revenue de temps en temps convoquer la presse pour faire des photos….bref, elle a occupé son temps et elle a co-mu-ni-qué !
et sur les transports, on est surtout “surpris” de l’apprendre, parce que nous marseillais (à l’affut) on a rien vu, à part l’abandon de pila.
bon, en même temps, (!) c’est dans “le point” !!!
le prochain interview sera avec …thierry mandon, sylvia pinel ….vincent peillon ???
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Donner des leçons alors qu elle a émergé dans le microcosme politique qu en 2021.. et encore, elle ne le doit qu a ses accointances avec Brigitte Macron. Avec ce genre de sortie, en surfant sur le rapport de la CRC, qui plaide toujours a charge, elle espère encore un avenir politique locale. Marseille et les marseillais méritent bien mieux, et si l actuelle majorité municipale n est pas exempte de tout reproche, on lui doit l envie de vouloir bien mieux faire que tous ses prédécesseurs
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Et en termes de gestion budgétaire, son parti n’a pas fait de merveilles cette année, n’avoir rien dépensé sur ce plan est peut-être une victoire finalement ?
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Mais elle a bien déclaré il y a 3 semaines qu’elle était en plein divorce avec Marseille non ? Elle doit chercher une prestation compensatoire…
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Ah, ah !
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Et l’état qui a versé 1,36% de ce qu’il avait promis pour les ecoles ? Et qui met moins de police nationale, elle veut aussi le mettre sous tutelle ?
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Heu… je me fiche de Mme Agresti Roubache en général et je crois que son parcours et la liste de ses mérites, expériences et compétences a bien été résumée dans les post ci-dessus…
Mais en l’occurrence ce qui est cité de ses propos dans l’article me parait assez juste : Vassal n’a réussi (l’a-t-elle tenté ?) aucune réforme de la Métropole qui demeure dépecée par les Maires du département contre les intérêts de Marseille et Benoit Payan, même s’il veut faire bien, se repose sur une majorité qui tire à hue et à dia, une administration qu’il a jusqu’ici du mal a maîtriser, et globalement que ce soit dans la majorité ou dans l’opposition, une classe politique marseillaise particulièrement médiocre.
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oui, mais…
pas sûr que la “mise sous tutelle” de marseille puisse, ou ait pu, donc, faire avancer les choses. la mise sous tutelle de la métropole aurait été plus judicieuse.
à médiocre, médiocre et demi….. je partage votre point de vue globalement, mais je mettrais des nuances.
il me semble que vassal et ses coreligionnaires sont médiocres certes, dans leurs gestions à courte vue, et à des fins électoralistes, cependant ils tapent fort afin de conquérir la ville, injustement attribuée par les électeurs au PM. à l’instar de trump aux usa, ils n’ont rien digéré et le font payer aux marseillais.
ils ne sont pas très finauds et encore moins discrets. agresti roubache qui tente peut être un dernier tour de piste, elle, ne s’y trompe pas et tape surtout sur payan. mal : comparer l’action sur les écoles municipales, avec les transports métropolitains….il fallait oser !
pour payan, et le PM, effectivement certaines décisions prises, et non prises sont assez médiocres, cependant que la situation trouvée à leur arrivée, il y a 3 ans, peut péniblement être une excuse aujourd’hui. il faut sûrement laisser du temps au temps, mais c’est mou !
alors oui, médiocre tout ça, mais c’est la seule qu’on ait !
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“Il y a un vrai problème de compétences. Ça me rend folle.”
Un pavé stratégique, lancé dans la mare politique locale, par Mme Sabrina Agresti-Roubache !
Après avoir perdu son siège de députée, il est certain qu’ elle ressente un sentiment d’amertume vis-à-vis de la classe politique marseillaise et des électeurs locaux
En remettant en question la capacité de Benoît Payan à gouverner et le leadership de Martine Vassal, la députée battue sape indirectement l’autorité de ces figures politiques, ce qui peut nuire à leur capacité à mobiliser les acteurs locaux autour d’un projet commun.
Ses déclarations, teintées d’un léger mépris, cherchent un impact négatif sur la capacité de la classe politique locale à se mobiliser de manière unifiée et efficace.
En alimentant un climat de défiance, elle mine la coopération nécessaire pour faire avancer les projets et de nuire à la motivation des personnels territoriaux.
Si les dirigeants politiques locaux sont perçus comme manquant de compétences ou de courage, cela fragilise leur position non seulement vis-à-vis de l’État, mais aussi au sein de leurs propres coalitions politiques, où des rivaux pourraient saisir l’occasion de remettre en question leur leadership …
Mme Sabrina Agresti-Roubache se repositionne sur l’échiquier politique régional.
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