Quand le grand banditisme flirtait avec l’OM

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Bref
le 14 Juin 2018
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Capture d
Capture d'écran de l'émission "Pièces à conviction"

Capture d'écran de l'émission "Pièces à conviction"

Il y a un climat angoissant, anxiogène on va dire.” Voilà comment des témoins ont rapporté au journaliste Jérôme Pierrat l’ambiance autour de l’OM dans les années 2000. Ce mercredi, l’émission “Pièces à conviction” sur France 3 diffusait le documentaire intitulé “Olympique de Marseille : quand le milieu faisait la loi”. L’enquête est ponctuée de témoignages et de reproductions d’écoutes issus du dossier de l’information judiciaire “Mercato” diligentée par le juge Guillaume Cotelle auxquelles Jerôme Pierrat a eu accès. Le journaliste, spécialiste du crime organisé, décrypte les liens du club avec le banditisme, de la fin de l’ère Tapie jusqu’au départ de Didier Deschamps en 2012.

Le documentaire met au jour un enchevêtrement de relations entre joueurs, agents, dirigeants, supporters et voyous. On découvre un système de commissions sur les transferts et les coups de pression sur ceux qui ne suivent pas la règle. Durant cette époque, entre 60 et 80 millions d’euros auraient été détournés.

Source : France 3

Commentaires

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  1. petitvelo petitvelo

    A partir du moment où on spécule sur un marché, que ce soit l’art, le sport, les actions , l’immobilier, on sur-valorise ce qui ne vaut pas grand chose: du papier, une peinture, un joueur de balle ou quatre murs. La valeur peut donc gonfler ou s’évanouir en un rien, ce qui permet de blanchir l’argent. Donc chaque intervenant peut y trouver son profit, surtout si certains acceptent de perdre 50% de la valeur pour blanchir l’argent.

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