L’élue métropolitaine Monique Cordier à la poursuite des “délinquants des déchets”
Ce mercredi, Monique Cordier, vice-présidente déléguée à la propreté au conseil de territoire Marseille Provence, a annoncé sur France Bleu Provence avoir déposé neuf plaintes contre des “délinquants des déchets” identifiés.
Dernièrement, ce sont des pneus étalés par dizaines sur un trottoir de la rue Gustave-Eiffel et la découverte d’une décharge à ciel ouvert, toujours dans le quartier de la Capelette (10e arrondissement) qui ont fait réagir l’élue. La métropole précise par ailleurs à La Provence avoir porté plainte pour des faits similaires, boulevard Frédéric-Sauvage dans le 14e arrondissement. Les responsables des dépôts risquent 7500 euros d’amende.
Source : France Bleu Provence
Commentaires
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Une nouvelle récupération “politique” suite aux réactions de plus en plus nombreuses des habitants excédés. Des effets d’annonce qui ne résoudront rien. Au-delà des problématiques juridiques c’est bien le résultat d’années d’immobilisme et de laisser-faire qui offrent aujourd’hui une telle désolation. Le sentiment d’impunité dans cette ville atteint un tel niveau que l’on est proche du point de non retour. Où est le “patron” de ce territoire, cet incapable.
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le patron de cette ville dont le frère s’occupe de déchets est très proche des Baumettes. Soyez donc indulgent!
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Je pensais au patron “officiel”…
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Si sur le fond, la charge se comprend, elle n’en est pas moins stérile, voire contreproductive.
Si il est vrai que la politique de la Ville en matière d’encombrants n’est pas a la hauteur comme le démontre ces dépôts sauvages, il serait préférable d’acter la réaction certes opportuniste mais somme toute positive de MC, tout en l’invitant à poursuivre par des actions de fond plus conséquentes et ambitieuses.
S’agissant particulièrement des pneus, il ne s’agit pas seulement de simples abandons de déchets mais aussi de vieux pneus détournés de la filière légale..
Il s’agit aussi de consolider la filière de récupération et de valorisation.
Il serait donc nécessaire que les collectivités territoriales et le ministère agissent de concert au niveau local et national.
Quand à voir dans le “patron” un incapable, c’est le sous estimé grandement alors qu’il fait la démonstration depuis des années d’être particulièrement doué pour ses “clients” propres à le faire réélire.
En cela, il est un digne héritier de “Gastounet” et de ses relations sulfureuses.
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