La loi métropole devant le conseil constitutionnel est un “petit point” pour Lebranchu
C’est une ministre soulagée de voir la métropole presque née qui rencontrait la presse en marge de la quatrième conférence métropolitaine. Un sentiment libérateur qui amène Marylise Lebranchu à considérer comme un “petit point” l’examen prochain par le conseil constitutionnel de la loi donnant naissance à la métropole. “Je n’ai pas l’habitude de faire de la politique-fiction. Nous aviserons en temps voulu, répond-elle. De toute façon, cette question n’intéresse pas nos concitoyens”.
L’important pour elle est l’élection du président de la métropole, le 6 novembre dernier. “J’ai désormais un interlocuteur unique, la métropole”, insiste-t-elle. Quant à l’effort financier attendu de la part pour abonder les projets “transports” (voir notre article), elle refuse de le chiffrer : “Cela serait irresponsable de ma part puisque personne ne connaît encore le plan pluri-annuel d’investissement de la métropole. Manuel Valls s’est engagé auprès de Jean-Claude Gaudin à participer au financement des projets transports de la métropole. C’est désormais aux élus de le construire”.
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A chaque fois que Mm Débranchue vient dans notre souriante région, c’est pour lâcher une bourde, montrer une fois de plus qu’elle n’est vraiment pas à sa place. Car, si on a bien compris, ce que doit (va) examiner le conseil constitutionnel, c’est bien si la grrrooosseeu métropole est bien dotée d’une composition assez conforme aux nécessités de représentation des citoyens embarqués dans cette galère (sans qu’on leur ait demandé leur avis, bien sur) et notamment du point de vue de leur répartition entre les 93 (?) communes; Ceci du point de vue de la conformité de cette représentation à la constitution qui est notre loi commune. Et Débranchue, qui connait tout des citoyens sans jamais avoir besoin de leur demander leur opinion, a décidé que de cette question là, les dits citoyens n’en ont rien à cirer, s’en foutent complètement quoi! Elle est d’ailleurs à bonne école, avec son son caporal chef qui, présentant au parlement la loi sur l’état d’urgence, a lâché qu’il n’était ma fois pas trop souhaitable que le même conseil constitutionnel soit saisi de cette question, carrément! On a un gouvernement qui, dans l’impuissance la plus avérée pour ce qui est de jouer son rôle, l’exécutif, s’assoie régulièrement sur les autres pouvoirs, leur témoigne le plus grand mépris et ne parlons même pas de sa considération pour les citoyens, qu’il déclare écouter, entendre leur colère/leur impatience/leur lassitude…cochez la case, et que demain ça sera pas pareil. On devrait obliger la Débranchue à faire une longue et instructive campagne de terrain auprès des citoyens qu’elle connait si bien, pour l’aider à réviser sa pensée ou à se tenir un peu à défaut. …Ils vont avoir l’air de quoi maintenant les élus et responsables solfériniens, tendance canebière, qui nous invitent aux réunions de leur association bidonnée pour “associer en amont les citoyens “qui se foutent de savoir s’ils sont représentés ou pas! Elle à l’air de quoi la Carlotti maintenant?
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