Élections municipales 2026 : Martine Vassal scelle son union avec les Centristes

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le 26 Nov 2025
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Élections municipales 2026 : Martine Vassal scelle son union avec les Centristes
Élections municipales 2026 : Martine Vassal scelle son union avec les Centristes

Élections municipales 2026 : Martine Vassal scelle son union avec les Centristes

L’union entre les Centristes et Martine Vassal en vue des élections municipales s’est concrétisée ce mardi 25 novembre au soir, cours Pierre Puget, dans la nouvelle permanence de campagne de la droite et du centre, tout juste décorée d’affiches à son effigie. Devant une cinquantaine de militants, la présidente de la métropole et du conseil départemental a reçu le président des Centristes et ancien ministre de la Défense Hervé Morin, guidé par le chef de file marseillais du parti de centre droit, Bruno Genzana.

L’occasion pour ce dernier de rappeler l’évidence de faire partie de “ce grand rassemblement qui va de Renaissance à [leur] amis Les Républicains, en passant pas les écologistes modérés, Horizons et les socio-démocrates”. Si le centre n’est pas avec Martine Vassal, je ne sais pas avec qui il peut être”, a-t-il appuyé, avant de laisser le micro à Hervé Morin. Le président de la région Normandie a, lui, accusé Benoît Payan d’abandonner le Grand Port maritime de Marseille : “Je vois ce qu’Édouard Philippe [ancien Premier ministre d’Emmanuel Macron et maire du Havre, ndlr] a fait au Havre avec une implication quotidienne sur les investissements et les acteurs du port. Quand on n’exerce pas cette responsabilité-là, on n’incarne pas la fonction.”

Le mariage a aussi été l’occasion pour Martine Vassal de rappeler les priorités de sa campagne : l’attractivité et la sécurité. “Le centre-ville, c’est « crackopolis ». Ceux qui habitent en ville ne sortent plus de chez eux après 18 heures”, a assuré la candidate. Et de pointer, elle aussi, son meilleur adversaire : “[Benoît Payan] veut faire de la sécurité son cheval de bataille aujourd’hui, mais quand c’est pas dans tes gènes, tu n’y arrives pas.” La présidente de la métropole a également eu un mot pour Sébastien Delogu, candidat LFI, qualifié de “marchepied de Benoît Payan”, ainsi que pour Franck Allisio, prétendant RN, et son “incompétence”, dont elle cherche à capter l’électorat.

Quentin Mallet

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