A Aubagne, une élue loue sans bail un studio

Studette
Bref
le 30 Avr 2019
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Alexandra Pasolini, élue LR déléguée au tourisme de la ville d’Aubagne loue dans le centre-ville de la commune un studio de 20 mètres carré pour 420 euros à une famille de demandeurs d’asile. Problème, cela se fait sans bail révèle La Marseillaise. Je leur ai couru après pour signer le bail”, assure Alexandra Pasolini, par ailleurs chargée des relations partenaires du club de handball d’Aix.

L’appartement comporte également quelques défauts, comme une fenêtre qui laisse rentrer le froid, de la moisissure sur le mur de la douche ou l’ampoule de la salle de bain qui doit être vissée et dévissée pour allumer et éteindre la pièce, raconte le quotidien. Alexandre Pasolini assure qu’elle a refait l’appartement récemment. Sur son silence, elle précise : “Quand on est élue, on évite de faire du remue-ménage (…) On m’a menacé, clairement, de dire à la presse que je louais un logement insalubre !”

Source : La Marseille

Commentaires

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  1. Jean Peuplus Jean Peuplus

    Mais c’est pas possible, tout porte à croire que les élus se sont engouffrés dans une filière de la location indigne. M. Gazay laissera t-il sa délégation à cette élue? à suivre….

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  2. Mathieu Trigon Mathieu Trigon

    Question pour Marsactu : Savez-vous ce que pense le Procureur de la République de cette situation, et des situations similaires où des élus louent des logements indécents ou insalubre ?

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  3. Electeur du 8e © Electeur du 8e ©

    Elu•e républicain•e : personne dépositaire d’un mandat qui lui est confié par l’électorat pour oeuvrer en faveur du bien commun.

    Elu•e “Les Républicains” à Marseille et alentour : personne propriétaire d’un logement indigne pour exploiter la misère de certains de ses concitoyens.

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  4. Tarama Tarama

    Marchand de sommeil, exploitation de gens qu’elle a contribué à précariser et qu’elle rejette, la droite dans toute sa splendeur.

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  5. Input-Output Input-Output

    “Quand on est élue, on évite de faire du remue-ménage (…)”
    Ici à Marseille, on appelle ça le “pas de vagues” à la Guérini ou la politique de l’autruche chez Vassal et consorts…
    Et pour cacher tout ça, on déploie à tour de bras d’immenses pancartes publicitaires…

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