Quelque part dans le sud tunisien, entre le poste frontalier tunisio-lybien de Ras Jdir et la petite ville de Guerdanne, un camp de réfugiés émerge ex nihilo au printemps 2011. Il est reconnaissable à des centaines de tentes identiques plantées dans ce décor aride. Près d'un million d'exilés de toutes nationalités et de toutes langues fuient les combats entre révolutionnaires et troupes loyalistes de Khadafi. Trois réalisateurs tunisiens, Ala Eddine Slim, Ismaël et Youssef Chebbi se sont immergés dans cette ville éphémère, et ont pris le parti de livrer des images brutes, dénuées de sous-titres, laissant entendre des dialectes africains multiples, de l'anglais et ...
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