Au programme de la culture : grandes ambitions et flous budgétaires
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Je suis très étonnée par la teneur de cet article qui sous entend clairement que je n’aurais pas répondu à une question sur les financements…. qui ne m’a pas été posée. Le financement du fonctionnement des établissements culturels de la ville est très en dessous de celui des autres villes européennes comparables, et vouloir le doubler sur l’exercice d’une mandature n’a rien à voir avec le commentaire déplaisant de “comme les promesses ne coutent rien” qui assortissent des propos plus que tronqués. J’ai par ailleurs, même si la question je le répète ne m’a pas été posée, indiqué lors de mon entretien téléphonique les pistes de financements possibles, en particulier avec la fin des DSP et partenariats publics privés, ou l’affectation au fonctionnement des établissements culturels d’une taxe liée aux bénéfices touristiques.
L’investissement massif dans la culture n’est pas une vue de l’esprit, ou un caprice, ou une promesse électorale. elle est nécessaire dans un secteur économique qui représente 3.2 % du PIB, crée des emplois non délocalisables, coute très peu eu égard à ce qu’elle rapporte, et surtout participe à l’émancipation des citoyens. Rapporter mes propos en les vidant de tout contenu, sans mentionner que nous avons un programme précis, dont vous disposez et dont nous avons parlé, qui est finançable, réaliste et facteur de développement pour la ville, me semble dommageable, et peu fidèle à la réalité de notre entretien.
je suis à votre disposition pour un entretien plus complet, et fidèle au sérieux de nos propositions, dont vous semblez douter, pour je ne sais quelles raisons …
Agnès Freschel, porte parole du Front de gauche, pour les municipales marseillaises, pour les questions culturelles
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blabla bla, laissons faire ceux qui savent et qui nous l’ont prouvé en 2013.
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“Confier une mise en scène à Bob Wilson pour l’Opéra de Marseille ou monter une exposition Bill Viola au Palais Longchamp est inconcevable. L’inconsistance et le conformisme des choix de programmation des lieux institutionnels proviennent d’une inculture chronique des décideurs.
Qu’un adjoint à la culture, kinésithérapeute de profession, d’une métropole de cette importance n’ait jamais entendu parler de Mario Merz ou de Gilberto Zorio pose problème. L’offre culturelle ne peut être que de second choix vu qu’il n’y a pas de nécessité à créer, à déplacer des forces.”
Emmanuel Loi – Le Monde 25 février 2014
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Bonjour
Nous vous invitons à assister à l’événement.
Pensez à vous inscrire pour être sûr d’avoir une place
Merci de diffuser l’info.
La liste des invités évoluant de jour en jour vous serez informé par des communiqués ultérieurement.
Le débat public : Marseille 2013 capitale européenne de la culture, réussite ou échec ? Avant, pendant et surtout après…
Le 7 mars 2014 à 19 h précises au théâtre Toursky (Entrée libre)
16 Promenade Léo Ferré 13003 Marseille
Tél: 04.91.02.58.35
https://www.facebook.com/events/703982586290979/
http://www.marseilleprovence2013alteroff.org/site2/le-debat-marseille-2013-reussite-ou-echec-avant-pendant-et-surtout-lapres/?doing_wp_cron=1393765783.6152529716491699218750
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Pourquoi ne parle-t-on de la culture qu’en termes de financements ? Je lis plus bas (Agnès Freschel) une suite d’arguments qui me laissent pantois : « L’investissement massif dans la culture n’est pas une vue de l’esprit, ou un caprice, ou une promesse électorale. elle est nécessaire dans un secteur économique qui représente 3,2% du PIB, crée des emplois non délocalisables, coute très peu eu égard à ce qu’elle rapporte, et surtout participe à l’émancipation des citoyens. »
Le postulat d’une culture « nécessaire », qui « participe à l’émancipation des citoyens » est posé sans être argumenté, avec comme sainte ambition un « investissement massif ». Ne serait-il pas intéressant, avant tous ces vœux de renouvellement de subventions, de prudente langue de bois d’une partie des candidats aux municipales, de s’interroger sur la production culturelle elle-même, sur le public infime qui bénéficie de « l’émancipation des citoyens » ? Comme si les autres restaient des cons. N’y a-t-il pas un hiatus entre cette culture subventionnée et le public infime qui s’y intéresse ? Je ne veux pas dire par là que la bonne culture serait ce que certains appellent la culture de masse. Mais on trouvera plus facilement un spectacle sur l’incommunicabilité à la Criée, rassemblant les intellectuels du coin, qu’on a trouvé une mise en lumière du hip hop à l’occasion de MP 2013, pour ne citer que cet oubli révélateur.
Un récent article du Monde donnait une vision un peu provocatrice du climat local sur le sujet : http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/02/25/la-cite-phoceenne-reste-une-republique-bananiere_4373177_3232.html
« Prenons deux secteurs : le théâtre et les arts plastiques. Douze théâtres subventionnés et homologués, où 60 % du budget est consacré au fonctionnement au détriment de la production et donc de la création. La durée de mandat des directeurs de salle est de dix-huit ans en moyenne.
« De même qu’à l’école d’art un nombre ahurissant de professeurs y étaient déjà élèves. Que peut-il sortir de novateur de plateaux où les roitelets gèrent leur rente de situation ? »
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Dans cette fausse bataille pour les voix, les candidats n’ont plus qu’à demander à ceux qu’ils ont privilégiés de venir enfin habiter Marseille plutôt que jouer les proxénètes sur le dos des structures culturelles existantes, grandes oubliées de l’année dernière.
Puisqu’il est de fait que MP 2013 est un échec, les déficits sont là pour le prouver ainsi que le bilan d’activité de l’aéroport de Marignane qui annonce fièrement un bilan stable. Où sont donc les neuf millions de touristes annoncés dans ces comptes?
Enfin, confier ses affaires à une direction qui truffe ses lettres officielles de fautes de Français et veut s’occuper de Culture sans savoir compter sinon sur les mensonges éhontés de journaux à la solde me semble révélateur d’un ignoble détournement d’esprit et peut être de fonds.
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Dans cette fausse bataille pour les voix, les candidats n’ont plus qu’à demander à ceux qu’ils ont privilégiés de venir enfin habiter Marseille plutôt que jouer les proxénètes sur le dos des structures culturelles existantes, grandes oubliées de l’année dernière.
Puisqu’il est de fait que MP 2013 est un échec, les déficits sont là pour le prouver ainsi que le bilan d’activité de l’aéroport de Marignane qui annonce fièrement un bilan stable. Où sont donc les neuf millions de touristes annoncés dans ces comptes?
Enfin, confier ses affaires à une direction qui truffe ses lettres officielles de fautes de Français et veut s’occuper de Culture sans savoir compter sinon sur les mensonges éhontés de journaux à la solde me semble révélateur d’un ignoble détournement d’esprit et peut être de fonds.
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Pour réellement comparer le budget culturel de Marseille à celui des autres grandes villes citées, ne faudrait-il pas y inclure le gouffre financier du stade Vélodrome ? Après tout, il paraît que c’est aussi du spectacle vivant. Et visiblement, on dépense sans compter pour lui…
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Pour décoller en Culture, il faut d’abord un maire qui aime l’Art et posséder une Ecole Nationale d’Art. Ce qui n’est pas le cas à Marseille. Ici, on n’est pas à Lille ou à Lyon. Faut pas rêver.
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Pour décoller en Culture, il faut d’abord un maire qui aime l’Art et posséder une Ecole Nationale d’Art. Ce qui n’est pas le cas à Marseille. Ici, on n’est pas à Lille ou à Lyon. Faut pas rêver.
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A quoi sert l’adjoint à la culture (ainsi que tous les services culturels) pour donner la gestion de 2013 capitale européenne de la culture à la CCI …l’art et gaudin sont deux entitèes qui se repoussent
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