Attaques à Belsunce : un “litige privé” conduit à “dix minutes d’intense violence”
Les premières investigations policières permettent d'y voir plus clair sur le "périple criminel" d'Abdelkader D., tué à Belsunce par les forces de l'ordre ce mardi. La justice écarte toute dimension religieuse ou politique, mais insiste sur les troubles psychologiques d'un homme souffrant de multiples addictions.
Cours Belsunce, dans le centre-ville de Marseille. (Photo : Marsactu)
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Voilà hélas des évènements qui feront les “délices” des bas du front, évidemment en ce moment (comme dans bien d’autres d’ailleurs) en vue des municipales…
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Et des juges, sans doute encartés au RN, qui aiguisent la haine des bas du front en poussant discrètement par leurs décisions à favoriser l’apparition de ce genre de faits divers.
Abdelkader D., l’homme abattu à Marseille, était en liberté malgré une récente condamnation pour avoir poignardé son neveu. Pour ces faits, le Tunisien de 35 ans a été condamné par le tribunal correctionnel de La Rochelle à quatre ans de prison, dont un an ferme, mais sans mandat de dépôt, en mai 2025.
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« Mal nommer les choses c’est ajouter d’au malheur du monde «
Quelle est la différence entre conflit et litige ?
La différence entre un conflit et un litige peut, en langage commun, s’énoncer ainsi : le conflit – comme opposition entre personnes ou entre une personne et la société – devient litige à partir du moment où la contestation d’une des parties ouvre la possibilité formelle d’un éventuel procès.
Voilà donc un procès rondement mené.
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Une ville bourrée de flics en civils amis des incivilités en grand-nombre, un point de deal infect en plein centre ville, où stationnent des cars de CRS en vain… Pourquoi d’ailleurs, puisqu’ils ne peuvent intervenir. Et un pauvre type, probablement drogué au fentanyl ou au crack, buté comme une merde. Je passais dans le coin et j’ai vu une vidéo prise par un passant. 5 flics en civils ont tiré sur un mec isolé atteint de folie, à bout portant. Ben c’est plus simple comme ça. Les encartés RN seront contents. Retailleau les couvre. Au poil !
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POLICE NULLE PART, JUSTICE NULLE PART…!
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