Le restaurant de la Bonne mère, L’Eau vive, a cessé son activité
Notre-Dame de la Garde. (Photo : BG)
Le restaurant de Notre-Dame de la Garde, l’Eau vive, ne servira plus de repas. Il a cessé son activité vendredi 30 septembre, souligne La Provence. Cette fermeture est l’épilogue d’un scandale révélé par Marsactu en 2014. Les travailleuses missionnaires de l’immaculée, majoritairement originaires d’Afrique et d’Asie, travaillaient là pour la communauté de la Famille missionnaire Donum Dei dans des conditions proches de l’esclavage : travail dissimulé, journées de 15 heures, vacances inexistantes, absence de protection sociale, salaires très faibles…
Le 16 août dernier, le tribunal correctionnel d’Epinal (Vosges) a reconnu la communauté coupable notamment “d’emploi d’étrangers non munis d’autorisation de travail” et l’a condamnée à 200 000 euros d’amende. Ses différents sites – Marseille, Toulon, Menton, Lisieux, Lourdes – ont donc fermé leurs portes. Le diocèse de Marseille précise que les travailleuses missionnaires vont continuer à œuvrer au sein de la basilique. Le devenir du restaurant niché sous la Bonne Mère n’est pour l’heure pas encore connu.
Source : La Provence
Commentaires
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Cuisine médiocre et surtout les serveuses n’étaient pas très souriantes.
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Merci beaucoup de nous partager votre fiel.
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Que voulez vous Patafanari, tout se perd. Avant on pouvait taper les esclaves , ils avaient le sourire. Maintenant ils font “la tronche”.
Si j’étais de vous vous je passerais mon temps dans les pays du Golfe , là au moins, l’ambiance locale vous conviendrait par rapport à vos attentes.
Chers lecteurs de Marsactu, si vous avez quelques instants , reportez vous à la vision du site Domus Dei et plus particulièrement à sa revue , vous y trouverez ce genre de truc :
“La Travailleuse Missionnaire de l’Immaculée est une vierge chrétienne qui, en réponse à l’appel de Jésus, se donne à Lui pour toujours, comme épouse, en s’offrant comme sainte Thérèse de Lisieux à l’Amour miséricordieux de Dieu. Elle participe à l’œuvre rédemptrice de Jésus-Christ, très spécialement dans sa rencontre avec la femme samaritaine au puits de Jacob”.
“Dieu est peut-être éternel, mais pas autant que la connerie humaine”., disait l’apôtre DESPROGES, il n’avait pas tout à fait tort.
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Le plus grand scandale est que l’Eglise catholique en général et les diocèses concernés en particulier aient oublié que l’une de leur mission est de protéger les faibles et les démunis. Depuis 2014 le silence a été assourdissant sur ce sujet et les propos fuyants ont été la règle. Il aurait été utile de dénoncer ce que beaucoup savaient depuis des années.
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Certes, mais si on les avait rémunérées correctement , ils n’ y aurait plus eu de démunies à protéger. (Méthode proxo).
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Bonne mentalité Patafanari , faire du proxénétisme sur des personnes en situation de faiblesses ,j’espère que vous n’avez pas été encadrer des louveteaux ou bien les jeanettes,
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travail dissimulé….travailleuses étrangères.. sans autorisations..etc.
ah les méfaits de l’immigration sauvage !
bon, ca la fiche mal dans le cadre d’un diocèse, on se serait attendu à un poil d’humanité.
si on allait voir, maintenant vers le BTP ???
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