Le Festival de Marseille dans la tourmente du harcèlement moral
Le Festival de Marseille dans la tourmente du harcèlement moral
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Le Festival de Marseille, le Merlan, il ne fait pas bon travailler dans la culture à Marseille, c’est sans compter sur les CAE et les Emplois d’avenir payés au SMIC proposés à des Bac+5, quand ce ne sont pas des stages non rémunérés.
La culture est en très mauvais état à Marseille comme dans le reste de la France, l’argent profite à quelques privilégiés qui proposent des spectacles à quelques privilégiés et tout cela avec l’argent de tous les français…
Un jour peut-être un état non-monarchique fera un vraie réforme.
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Strange ? Impressions mitigées ? Harcèlement moral ou pas harcèlement moral, au final ? Ce papier peut donner plus ou moins l’impression que Marsactu aurait cherché à ne pas trop vouloir se positionner ? Si l’on tente d’avoir un raisonnement distancié : quels sont au juste les faits objectifs imputables à la partie attaquée, validés et reconnus par la justice en appel ? L’article 222-33-2 modifié du Code pénal cité par Marsactu dispose en effet que le qualificatif de harcèlement moral s’applique au fait de “harceler autrui par des agissements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel”. Les graves faits tels que (trop) résumés par Marsactu ne semblent-ils pas pencher pour cette incrimination de harcèlement moral ? Si oui, pourquoi avoir alors cherché à nuancer ? Est-il possible svp de savoir où on peut se procurer l’arrêt de la Cour d’appel ? Je crois que c’est possible pour tout citoyen mais quel est le mode opératoire requis ? En tout cas, ce dossier d’évidence très “puant” semble être une affaire locale plus que significative, tant d’un point de vue culturel que politique… Encore une affaire désastreuse pour l’image de la Ville de Marseille ? Il se dit ici et là dans le microcosme que la directrice du Festival dont il est ici question était jusqu’à présent très appuyée par le maire UMP/PRG JC Gaudin et par son directeur de cabinet Claude Bertrand ? Est-ce toujours le cas au regard des faits relatés dans cet article ?
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On finira , peut être, par faire des économies
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1,3millions d’euros de financement public dans une période d’austerité.
Un statut associatif à la gouvernance déficiente.
Une perte avérée de sens et de valeurs.
Une gestion du personnel…nauséabonde.
Une directrice en bonne “sociale-hypocrite” qui se targue d’engagement politique.
Ces pratiques salissent, déconsidèrent , un peu plus un monde culturel qui semble avoir perdu son âme, au profit de l’intérêt personnel et de la suffisance bien pensante.
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Faut-il rappeler à tout un chacun qu’il n’existe plus de présomption d’innocence quand on a été condamné? Reproduire les arguments de la défense du Festival de Marseille, c’est leur donner foi, ce que la cour d’appel n’a pas fait: les allégations relatives aux excellentes relations qu’aurait entretenues Mme Quintrand avec cette salariées seraient-elles un mensonge grossier?
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Faut-il rappeler à tout un chacun qu’il n’existe plus de présomption d’innocence quand on a été condamné? Reproduire les arguments de la défense du Festival de Marseille, c’est leur donner foi, ce que la cour d’appel n’a pas fait: les allégations relatives aux excellentes relations qu’aurait entretenues Mme Quintrand avec cette salariées seraient-elles un mensonge grossier?
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Un autre lieu de harcèlement moral au travail à dans la culture à Marseille : les éditions Agone.
Une douzaine de personnes ont quitté cette petite maison d’édition en une année n’en pouvant plus.
Témoignages et analyses sur : http://enoga.wordpress.com/
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Il faut arrêter avec ces cultureux-sangsues.
Quintrand devrait prendre une retraite dont on est tranquille qu’elle se l’est mijotée dorée.
Les patrons du CAC sont des amateurs comparés à ceux des grosses entreprises culturelles !!
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Rappelons que la nomination d’ApoQ avait créé la surprise… Parce qu’elle était de gauche !
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de toutes façons tout ça n’a guère d’importance. Ce festival a une audience qui ne dépasse pas la ville. Et par ailleurs qu’est ce qu’un festival dont la direction demeure depuis plus 15 ans au main de la même personne. ce n’est pas un festival, c’est une rente de situation et aucun festival sérieux en Europe fonctionne de cette manière…..
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Pourquoi cet excellent article n’est-il plus référencé sur le site de Marsactu ? Il n’apparaît plus dans la rubrique culture ni dans les archives de colonne de droite ou celle en bas de page… Etrange ?
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Ce n’est que justice que le Festival de Marseille soit enfin condamné pour les agissements de sa directrice. Il serait intéressant d’étudier l’impact de cette gestion lamentable du personnel sur le budget du festival : indemnités de licenciement, frais d’avocat.. le tout financé par l’argent public, et la Ville de Marseille qui ferme les yeux. Indécent, lorsque l’on connait le nombre de structures culturelles qui peinent à survivre à Marseille.
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