"Dans quelques minutes, une personne ordinaire va basculer dans une forme radicale de désobéissance civile" avertit un haut parleur brouillé à la manière de Radio Londres. La vingtaine de volontaires réunie devant les grilles du théâtre des Bernardines est prévenue. Sur le toit d'une cabine téléphonique, perché, un homme danse, se déploie lentement, avachi sur une chaise longue. Les papiers d'identités des participants sont ramassés, enfermés dans une valise noire. Piochés à l'aveuglette, ils serviront de couverture aux résistants du collectif Ornic'art. Ces "performeurs indisciplinaires" en résidence à la Friche de la ...
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