Ce matin au conseil municipal, Marsatac s'est encore bien fait balader…
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Saint Mauront (au pied d’une cité), Grand Littoral (sans transports en commun), le Palais des sports (trop petit), le port Autonome (fort Knox) ; y a pas à dire, les propositions pleuvent de la part de la ville pour accueillir Marsatac. Et pourquoi pas la salle du conseil municipal, parait qu’elle aune acoustique du feu de dieu ! En plus, comme elle est truffée de moyens vidéo on pourrait y jouer les concerts et les retransmettre en live sur les plages du Prado, sur grand écran s’il vous plait !!!
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il serait si simple que Marsatac publie un cahier des charges précis afin que la mairie s’y réfère et évite les propositions farfelues chaque semaine. Et publier ce cahier des charges en ligne permettrait à chacun de se faire son opinion et pourquoi pas de penser à des lieux et les proposer. Un festival participatif, quoi !
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l’accusation suprême est lancée “Marsatac, y font rien que d’attaquer Marseille” et l’unanimité d’une ville va se faire pour bouter un de ses enfants en dehors de la ville. Certes, Marsatac est très, très maladroit dans sa communication qui est quasiment inexistante mais est ce une raison pour sacrifier un festival qui attire 25000 personnes, qui fait parler de lui bien au delà des Bouches du Rhône, qui mobilise des centaines de bénévoles marseillais qui s’impliquent ?
Ne rêvons pas: si Marsatac ne peut pas se tenir cette année, c’en est fini et ce festival ne sera pas remplacé malgré sans doute de belles promesses municipales. Ce sera encore un échec pour une ville qui les collectionne (salut les copains de la Coupe de l’America à Valence) et toute la classe politique marseillaise, de la gauche à la droite en passant par le Modem, copains comme cochons pour se partager le gâteau, sera responsable et coupable. Il n’y aura pas une année sans festival et une résurrection l’année suivante comme si de rien n’était. Mécaniquement, toute initiative dans Marseille est brisée et c’est bien triste pour une ville avec un si glorieux passé mais un avenir bien, bien sombre.
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Moi j’aimais bien Marsatac, j’y ai passé de bonnes soirées à chaque édition, mais avec leurs lamentations multiples et variées dans la presse ils m’ont completement enlevé l’envie d’y retourner. Je trouve que l’esprit hip hop dont ils se revendiquaient au debut est bien bien loin maintenant…
Ce n’est jamais de leur faute, soit ils se la jouent victimes de malchance, soit on s’occupe mal d’eux, ils ont toujours quelquechose à redire, sans se gener en plus d’attaquer les autres (j’ai lu un article scandaleux dans Liberation où le directeur de Marsatac dit du mal des Docks… bonjour la generosité)…
Carement méchants, jamais contents !
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yen à mar seille !
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Et pourquoi pas à Borely le lendemain de de David Guetta, tout le matos est là…
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Ahhh c’est compliqué ! Je lis, j’ai l’impression de lire mes vieilles pensées, d’un coté, de l’attaquant, et mes nouvelles toujours du coté de celui qui se plaint du système mais aussi davantage du coté des défenseurs, des décideurs. Il y a tellement de paramètres qui entrent en jeu. Étant moi-même Marseillais, et accessoirement, mais passionnellement organisateur d’un festival à Marseille depuis 8 ans (100 000 pers en 8 ans), j’ai été et suis toujours confronté précisément aux mêmes problèmes,chaque année ne nous permet pas de prévoir l’année d’après, alors j’ai ouvert ma “gueule” très souvent,peut-être trop souvent, plaintes, revendications diverses,j’ai frappé à toutes les portes, puis je me suis résigné, ça a laissé place à plus de compréhension.
Après tout, comment en étais-je là ? Par la passion ! Puis la spirale du “bébé” que l’on a créé, ses carences, son développement,ou sa possible mort prématurée, son propre ego qui grandit avec, et, et, les finances ! Quoi que l’on puisse défendre, on a besoin de gagner de l’argent, ou de penser que l’on en gagnera un jour, pour continuer. Non pas pour s’enrichir, mais pour avoir la satisfaction de vivre de sa passion, ou de faire vivre les gens qui bossent autour, bref, de quoi avoir envie de défendre son “steak”.
De l’autre coté, les privés, difficile contre eux, rien ne les rend compréhensifs ou passionnés, ils ont des objectifs, leur passion est devenu le résultat, et le bénéfice pour la plupart, légitime aussi, ma foi ! Personne n’y peut rien !
Alors on se retourne souvent vers les élus, c’est plus facile, eux, n’encaissent que les coups. Il nous semble souvent qu’ils ont tous les pouvoirs, bien souvent ce serait plus simple si c’était le cas. Je pense qu’ils ont une mission de service public avec très peu de pouvoir au final, sauf au plus haut niveau. Si nous leur demandons d’avoir une maitrise et compréhension de nos métiers,afin de nous aider plus justement pour mieux se comprendre; il va falloir en faire de même, et peut-être comprendre aussi leur. Pour ce que l’on pourrait penser de l’intégrité, comme partout où il y a la race humaine, elle peut être bafouée, mais j’ose penser qu’à ce niveau là, les élus ont pour première passion, le service public. La pression est grande de toutes parts pour eux, leur passage assez bref, les uns s’en vont, les autres arrivent, reprennent de vieux dossier en cours, mais des nouveaux aussi, il y en a beaucoup, beaucoup trop sûrement, bref.
Tout le monde a sûrement raison…C’est pas gagné !
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