Ville et État travaillent à la réintégration des lanceurs d’alerte de l’UHU
Ils sont quatre aujourd’hui à lutter pour obtenir leur réintégration au sein de l’Unité d’hébergement d’urgence dont ils avaient dénoncé les errances. Lors du dernier conseil municipal, l’élue socialiste Marie-Arlette Carlotti avait une nouvelle fois plaidé leur cause, maintenant que la structure d’hébergement des sans-abris a un nouveau gestionnaire, le groupe SOS. “Lors de cette séance du conseil, je me suis engagé à étudier les possibilités d’une réintégration de ces salariés injustement punis pour avoir dénoncé un système, explique Xavier Méry, l’adjoint (LR) en charge de la lutte contre l’exclusion. Avec le préfet délégué pour l’égalité des chances, nous avons abordé cette question avec le nouveau gestionnaire. Celui-ci réfléchit à une intégration au sein du groupe SOS au sens large.”
Le collectif des anciens salariés de l’UHU confirme qu’une telle proposition leur a été faite. Une majorité d’entre eux la refusent, partant du principe que si leur combat est considéré comme juste, c’est au sein de l’UHU qu’ils doivent être réintégrés.
Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
Commentaires
0 commentaire(s)
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.