Déplacés de Calais à Marseille, des migrants soudanais sont déjà repartis
“C’était confortable et propre, chacun avait une chambre individuelle et nous partagions une cuisine, des toilettes et une douche”, indique Mohajir. Mais ceux qui choisissent de ne pas demander l’asile en France ne peuvent rester plus de trente jours dans un centre d’accueil et d’orientation (CAO). Il a donc fallu reprendre la route.
Mediapart suit des migrants soudanais, déplacés de Calais vers le foyer Adoma de la Pointe-rouge fin octobre. Le journal en ligne raconte le parcours de trois d’entre eux qui ont gagné Paris avec une envie d’Angleterre toujours tenace. Les journalistes expliquent les colis des Restos du coeur, les 4 maigres euros par jour et les rendez-vous administratifs qui s’enchainent, entre espoir et méfiance.
Source : MediapartCommentaires
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Comme chacun a pu le constater, le passage de ces quelques migrants à la Pointe-Rouge a mis le quartier à feu et à sang, comme le petit Moraine le fantasmait dans une lettre délicate publiée dans ces colonnes (https://marsactu.fr/bref/yves-moraine-ecrit-au-prefet-son-opposition-absolue-a-laccueil-de-migrants-dans-le-8e/).
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Ces jeunes errants ne veulent pas de notre aumône. Ils veulent travailler et certainement retrouver un membre de leur famille en Grande Bretagne. Nous ne pouvons que tenter de les aider.
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