"Une ville qui donne du plaisir permet d'alléger la fréquentation des massifs"

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le 18 Fév 2014
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"Une ville qui donne du plaisir permet d'alléger la fréquentation des massifs"
"Une ville qui donne du plaisir permet d'alléger la fréquentation des massifs"

"Une ville qui donne du plaisir permet d'alléger la fréquentation des massifs"

Est-ce pour se fondre dans l'horizon marin ou tout simplement pour trouver matière à pitance ? En tout cas, la propension de l'homme à vivre sur la côte se perd dans la nuit des temps. En revanche, ce phénomène de littoralisation, au sens de la concentration des activités humaines sur la bande littorale, a connu une brusque accélération après la seconde guerre mondiale. Professeur à Aix Marseille Université, Thierry Tatoni étudie les enjeux écologiques de ce phénomène sur la frange littorale de la métropole, des calanques de Cassis à la Camargue. "On trouve dans cet espace un patrimoine de biodiversité assez exceptionnel surtout dans les ...
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Commentaires

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  1. Le doigt dans l'Oeil Le doigt dans l'Oeil

    “Une ville qui donne du plaisir permet d’alléger la fréquentation sur les massifs naturels” Tout ça après avoir lancé le parc naturel, machine vendeuse d’espace naturel …
    Le doigt dans l’Oeil

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  2. Anonyme Anonyme

    “La propension de l’homme à vivre sur la côte se perd dans la nuit des temps”. Rien de plus faux : la côte provençale était jusqu’à une époque relativement récente le lieu de tous les dangers : razzia des “barbaresques” en quête d’esclaves, air malsain,pauvreté des terres, manque d’eau, paludisme dans certaines régions comme la Corse où les terrains du bord de mer jusque dans les années 60 ne valaient rien. L’intérieur des terres c’était la (relative)sécurité. L’engouement pour le littoral est récent. Aménager le centre ville permettrait d’alléger la fréquentation sur les massifs? Là aussi, rien n’est moins sûr : une partie non négligeable de la population ne se rend jamais dans les massifs même si l’offre en jardins publics à Marseille est quasiment nulle.

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  3. Anonyme Anonyme

    Ne pas confondre les massifs avec le Bois de Boulogne

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  4. Marius Marius

    L’internaute le doigt dans l’œil” (pseudo bien trouvé !) peut-il expliquer en quoi le Parc National des Calanques serait une “machine vendeuse d’espace naturel” ???

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  5. JL41 JL41

    « Une ville qui donne du plaisir permet d’alléger la fréquentation des massifs »
    Cette affirmation est-elle vérifiée ou est-ce une façon de parler qui pose le chercheur, à moins qu’elle ne le décrédibilise ?

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