“À Marseille, le traumatisme est un problème de santé publique”
Flavie Derynck est psychiatre à l'hôpital de la Conception et coordinatrice de la cellule d'urgence psychologique (CUMP) pour la région Sud. Elle en explique les missions et le fonctionnement, et insiste sur l'importance du suivi post traumatique à Marseille.
Manifestation des professeurs aux Cèdres, suite à une fusillade qui a touché un élève du collège Renoir
Articles liés
Commentaires
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.
Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
Je pense que les personnes les plus atteintes par le stress post-traumatique sont les policiers et les militaires. Existe t il des professionnels en nombre suffisant pour soigner leurs souffrances ? J’en doute et de plus leur laisser leur arme de service est une très mauvaise idée, le passage à l’acte est plus facile. Il doit exister un seuil où la mort et la douleur ne sont plus supportables. Les politiques, hommes et femmes devraient réfléchir, la parole dans les médias est leur métier mais réfléchissez . L’action à tout prix ne sert à rien. Les populations des quartiers défavorisés ont ėtė endeuillés, il faut développer leur suivi sanitaire, la santé mentale est malheureusement méprisée, cela fait peur. Pourtant, ces maladies se dėveloppent et sont difficilement guėrissables. L’accès aux soins existe dans notre pays mais les personnes qui en ont le plus besoin en sont elles bėnėficiaires ?
Se connecter pour écrire un commentaire.