SNCM : quatre offres "sérieuses" de reprise sous le couperet européen
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Commentaires
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La SNCM et le mythe de Sisyphe . On injecte de l’argent , çà vogue quelques mois , et on recommence . Toute autre société aurait été mise en faillite d’office mais il est difficile et il faut trop de courage pour s’attaquer à un système MAFIEUX . Ma fille et son compagnon ont travaillé sur le Danielle Casanova puis sur le Napoléon mais , usés par le comportement de leurs “collègues” de travail , ont démissionné tous les deux . Leurs commentaires acides sur leurs vies à bord permettraient de remplir un livre … Avec la moitié du personnel effectuant son travail , cela serait amplement suffisant . Mais à Marseille les maîtres chanteurs sont les rois . Pour mes prochains détracteurs , j’ai travaillé 40 ans et 40 heures par semaines : pas de RTT , pas 5 semaines de congés , … et à la retraite à 62,5 ans . La France va mal car plus personne n’est responsable de rien : “c’est toujours la faute aux autres” . Pour critiquer ou contester un employeur , encore faut-il avoir le “derrière propre” .
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« C’est d’abord une affaire de perception. Ne pas être de gauche, c’est quoi ? c’est un peu comme une « adresse postale ». Partir de soi, la rue où l’on est, la ville, le pays, les autres pays, de plus en plus loin. On commence par soi et dans la mesure où on est privilégié et où on est dans un pays riche, on se dit « Comment faire pour que la situation dure ? ». On sent bien qu’il y a des dangers et que cela ne va pas durer. Oulala la Chine …comment faire pour que l’Europe dure encore, etcetera. Etre de gauche, c’est l’inverse. C’est percevoir d’abord le pourtour des choses. Le monde, le continent, l’Europe, la France, la rue de Bizerte, moi. C’est un phénomène de perception, percevoir d’abord l’horizon. Ce n’est pas par générosité, ni par morale, c’est une question d’adresse postale. Tu vois à l’horizon, tu sais simplement que cela ne pourra pas durer, ces milliards de gens qui crèvent de faim et cette injustice absolue. On considère que ce sont là les problèmes à régler. Et ce n’est pas se dire simplement : il faut diminuer la natalité. C’est trouver des arrangements, les agencements mondiaux. Etre de gauche, c’est souvent que les problèmes du tiers monde, sont plus proche de nous que les problèmes de notre quartier. C’est vraiment une question de perception. Pas de belle âme. C’est ça d’abord être de gauche pour moi». Gilles Deleuze
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– 1 000 € EMPLOIS !!!!
Sacré plan social a prévoir sur Marseille !!!
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