Petit train et taudis : les deux visages du Panier
Labellisé quartier des créateurs, le Panier a gommé sa réputation sulfureuse pour devenir l’un des quartiers les plus prisés des touristes. Pourtant, derrière ses places pavées et ses boutiques de souvenirs, les îlots insalubres demeurent. Deux faces d’un même quartier qui s’observent de loin.
Petit train et taudis : les deux visages du Panier
Marius Rivière
Journaliste indépendant basé à Marseille, Marius Rivière est membre du collectif Presse-Papiers. Il travaille principalement pour la presse française et suisse et réalise également des reportages radio
Commentaires
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Nul autre qu’Adam SMITH n’a mieux défini le libéralisme si cher à GAUDIN et à ses comparses
‘Tout pour nous et rien pour les autres, voilà la vile maxime qui paraît avoir été dans tous les âges, celle des maîtres de l’espèce humaine.”
“Les membres d’une même industrie se rencontrent rarement par plaisir ou pour se divertir, mais leur conversation aboutit invariablement sur une conspiration contre l’intérêt général ou sur un accord pour augmenter leur prix.”
Adam Smith – 1723-1790 – Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations
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Cette formule est aussi celle de Macron et de LREM ! Logique qu’il fassent cause commune au deuxième tour des municipales pour la mette en oeuvre de façon plus méthodique encore.
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Quand la seule stratégie économique de la mairie est celle du développement du tourisme et de la création “d’éléphants blancs” et d’événements éphémères, il ne faut pas s’étonner que derrière le décor de théâtre on trouve de la misère…
Je suppose que cet article inaugure une nouvelle série. On attend “Stade Vélodrome ruineux et piscines en ruine : les deux visages du sport à Marseille”, ou encore “promotion immobilière effrénée et quartiers abandonnés : les deux visages de l’urbanisme marseillais”…
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Il y a quelques années, des apaches locaux avaient attaqué la diligence du petit train à coup de farine. Pas grand chose n’a changé depuis. Façades et taudis…
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exact, souvenir visible dans un bar de la place de Lenche
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Line Broccolichi… C’est un pseudo?
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Où comment marseille est devenue le bronze-cul de la France, cette dernière étant elle-même depuis quelques décennies le bronze-cul de l’Europe…
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Vous oubliez d’écrire dans cet article, d’ailleurs bien documenté, que les immeubles les plus pourris parmi les pourris du Panier appartiennent à la Ville de Marseille qui n’y a pas mis un centime depuis 15 ans. Idem dans Belsunce où on a été dans l’ obligation d’évacuer par sécurité les mitoyens de trois immeubles municipaux menaçant ruine, rue Bernard Dubois.
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