Menaces sur les oiseaux des îles et des calanques marseillaises
Commentaires
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.
Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
Le nombre de rapaces marseillais diminue car ça manque de charognes et les pigeons sont de plus en plus avertis, par contre y’a plein de faisans et de grues…
Se connecter pour écrire un commentaire.
Il faut multiplier les espaces protégés sinon nos enfants ne verront ces animaux qu’en image.
Pour autant, protéger un espace ne veut pas forcément dire le fermer au public, car la protection perdrait en grande partie son intêret.
C’est là toute la difficulté de la chose.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Hélas la sainte baume est soumise de plus aux promoteurs. Le maire du plan daups tien un double discour. Le PNR Ste baume depuis 20 ans en projet, toujours pas fait…
Se connecter pour écrire un commentaire.
Une raison de plus pour mettre en oeuvre le parc !!
Se connecter pour écrire un commentaire.
Lucide,pas mal,pas mal…,
Se connecter pour écrire un commentaire.
Lucide ,vous avez pu remarquer,que les espèces nuisibles sont toujours en expansion…
Se connecter pour écrire un commentaire.
Allez-y, combattez le solaire. Pendant ce temps-là, d’autres que vous vivent au milieu des centrales nucléaires.
Vous mériteriez qu’on vienne enfouir cette saloperie dans vos jardins, tiens.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Le Parc National des Calanques est une grande urgence.
C’est l’outil le plus approprié pour concilier la fréquentation humaine et la préservation de la vie animale et végétale.
Il faudra surmonter beaucoup d’égoïsme, d’ignorance péremptoire et de bêtise, mais il faut absolument le faire.
Se connecter pour écrire un commentaire.
J’ai récemment entendu sur France Bleu Provence Mme. Martine Vassal évoquer les « tonnes de déjection » (!!!) des oiseaux migrateurs sur Marseille, ce qui a justifié, selon elle, l’emploi de méthodes draconiennes visant à les « faire partir un peu plus vite que prévu vers l’Afrique »(soit dit en passant, manifestement, Mme. Vassal a beaucoup de mal avec les chiffres: elle nous avait déjà fait le coup des… 4 000 clients par jour (!!!) pour la grande roue qu’elle souhaitait voir « pérenniser » sur le quai des Belges, juste le temps de « virer » les pêcheurs de là…). Mais revenons à nos oiseaux: de passage environ un mois à l’automne et au printemps, ils font leurs petits cacas partout, c’est vrai. Cela salit les voitures, c’est vrai, nos très chères voitures (dans tous les sens du terme !). Mais ils sont aussi utiles, ce sont de petits prédateurs, ils contribuent à éliminer les moustiques, par exemple. Et puis, surtout, ils nous rappellent régulièrement que la nature existe, à nous, citoyens de la 3ème ville de France. De ma terrasse, j’avais souvent le plaisir et le privilège de les voir, matin et soir, se déplacer par groupes de plusieurs centaines, en faisant des magnifiques volutes dans le ciel marseillais. Au bout de « ma » rue, il y a un grand arbre, un de leur repère, le soir venu. Cet arbre, je l’ai appelé « le bar des oiseaux »: jacasseries et bruits… de la nature me rendaient gai et apportaient un peu d’humanité à nos rues polluées. Que du bonheur un peu retrouvé pendant quelques instants. Hé bien non, certains ont décidé de les chasser à coups de tirs de je ne sais quel outil destiné à faire d’autres types de bruits dérangeants. Alors en rentrant chez moi j’entendais, à la place de « Cui-cui-cui-cui-cui »: « PANPANPANPANPANetREPAN ». Qué tristesse ! A la même époque, en France, on organisait un classement des villes. Certaines sont arrivées en tête du peloton sur le thème tant à la mode du « développement durable ». Marseille, dommage, n’en était pas. Nous, on a opté pour le tir durable, hé oui, car certains élus pensent qu’en éloignant durablement les oiseaux migrateurs, la ville sera plus propre, nos chères voitures préservées… et nos enfants, eux, vraiment aseptisés ? Tout cela ressemble au pseudo-problème des chèvres du Rove: elle ne peuvent plus paître transquilles, ça dérange paraît-il certains propriétaires de villas alentours (elles sont gourmandes et n’ont pas appris à lire les limites de propriété. Tant pis pour elle, il a fallu les chasser. Ainsi, dans quelques années, on aura plus qu’à manger du Camembert chinois, la Brousse du Rove ne sera plus qu’un mauvais souvenir pour certains ! Moi, j’irai en Corse, manger du Brocciu frais, je deviendrai donc un migrateur !!!
Se connecter pour écrire un commentaire.